Chateau d'Altiméria

Etnies:Et mince, encore lui.

Tapion:En attendent qu'il reprenne ses esprits on a pas le choix.

Etnies:A l'attaque!

Ils s'élancèrent sur Abysson qui évita facilement au début. Puis ils se mirent à attaquer en même temps. Abysson se prit une volée de coups puis Riposta, envoyant ses adversairs par terre. Il s'approcha d'un boitié muni d'une serrure et sortit la clef autour de son coup avec un sourir narquoi.

Tapion et Etnies:NNNNNOOOONNN!!!!!!!!!!!!!!!

AbysChaos : Faut pas rêver ! Je viens juste de commencé a m’amusé ! Alors commençons les choses sérieuses !

Abysson rangea sa clé, sortit son Kesshoo et courut vers les deux guerriers, ces dernier se préparèrent a riposter mais au dernier moment AbysChaos déclancha une attaque spécial de son masamune : Eclaire du Dragon roi
Abysson fit tournoyer son masamune au dessus de lui et des spectres foudre en forme de dragon apparurent autour de lui, puis il abaissa sa longue lame et les spectre allèrent traversé le corps des deux aventuriez tandis qu’une autre partie des spectres se combinèrent au masamune, pour finir AbysChaos enchaîna son combo final, il attaquait avec souplesse et comme volant dans les aires, la lame du masamune déchirait le fer des armure et coupait la peau comme du beurre. Finalement AbysChaos sortit ses ailes et s’envola au dessus d’eux et pointat son masamune vers eux.

AbysChaos : Subissez les foudres du Dragon Roi !

Les spectres se concentrèrent dans le masamune et l’ange du chaos concentrait également sa propre énergie avant de libérer d’un seul coup toute l’énergie retenue qui se dirigea vers Etnies et Tapion qui n’eurent pas le temps d’esquiver. L’immense vague d’énergie en forme de dragon les percutât brutalement les endommageant sérieusement et les éjectèrent plus loin.
Doucement Abysson se pausa sur le sol de marbre détruit par l’attaque.

AbysChaos : Oh non ! Un si beau marbre …..

AbysChaos s’avança d’un aire glorieux vers les corps de Tapion et Etnies allongés au sol.

Soudain le corps d'Etnies disparu du sol.

AbysChaos: Ou est tu sale vermine?

Une voix lui répondit, mais on ne pouvais pas dire d'ou elle venait.

Etnies: Je suis partout, dans l'air, dans les murs et même à l'interieur de toi, je suis l'eau.

Le sol se mit alors à trembler et de petit geyser sortir du sol et de mur, l'un d'eux frappa AbysChaos.

Etnies: Tu ne peux pas me voir, ni me sentir et encore moins me frappé, mais moi je le peux!

AbysChaos: Pff salle petite peste … c’est ce qu’est exactement l’énergie chaotique ?

Une voix retentit autour de lui

Etnies : Non et je m’en fiche …

AbysChaos :… Ah …. Dommage … Tu réfléchiras à deux fois avant de vouloir jouer au plus malin !

AbysChaos sortit sa lance du chaos et frappa avec au sol

AbysChaos : CHAOS DELTA !

Tout à coup la pièce se chargea en énergie chaotique et des rafales d’éclaires de chaos se répartissaient dans la salle quand tout à coup la voie d’Etnis retentit de nul par :

Etnies : Quesqu’il se passe ? ARG !

Tout a coup le corps d’Etnies réapparu au centre de la pièce se faisant électrocuté par les foudres chaotique. Avec un sourire au coin de la bouche AbysChaos arrêta son attaque.

AbysChaos : Tststs … L’énergie chaotique est l’antimatière personnifiée ! Donc il m’a suffit d’envoyer une minuscule surcharge d’énergie chaotique pour localisé les matière vivante t'elle que toi pour leurs envoyé un déch...

A ce moment précis AbysChaos tomba évanouit au sol quand on vit derrière lui Tapion tenant dans sa main une bouteille cassée de cuvé Goron.

Tapion : Pfiou …. Maintenant faut attendre que le vrai Abysson reprenant ses esprits.

Etnies: On risque d'être tranquille un moment.

Pendant qu'il disait cela AbysChaos c'était mis abougé et il se transforma soudain en Abysson.

Tapion: Il revient a lui!

Tapion:Et mince j'y suis aller un peu fort, il est bien sonné. Il risque de se réveiller dans une heure.

Etnies:J'ai une idée pour le réveiller.

Tapion:J'ai lu dans tes pensées je crois...

Ils ouvrirent la porte des sources, empoignèrent Abysson et le jettèrent dans la source. Abysson ressortit trempé et Tapion le secha.

Abysson:Lequel d'entre vous a eu cette idée stupide!

Tapion et Etnies:Ben...

Et ils siflotèrent.

HS: un petit poste pour repartir la quête.

Etnies: Bon on n'a pas que cela a faire.

Tapion: Etnies a raison, ou va-t-on Abysson?

Abysson : Bonne question... sauf érreures nous devrions trouvé des saphirs vers la source zora.

Enties :Alors c'est partit !

C'est ainsi que la compagnie repartit en route vers la prochaine pierre

Abysson fesait les cents pas dans la salle du trône tandi qu'un unique soldat était immobile devant lui. Soudain abysson s'arrêta nêt devant l'homme paniqué.

Abysson : Et combien a-t-il volé dans nos caisses ?

Le soldat parut paniqué et baissa la tête

Soldat : 600 000 Rubis Sir

Abysson devint soudin pâle puis sa couleur vira au rouge.

Abysson : Bande d'incapable ! Sa se remarque 600 000 Rubis !

Soldat : Désolé Mylord mais on a éssayé de l'intercepter mais ilm a ture 23 de nos hommes.

Cette fois les trais d'Abysson faisait lire une grande rage.

Abysson : Soit .... Soit.... Je vait m'en occupé personnelement, soldat, allez montez Vràl !

Tout à coup le soldat devint d'une blancheur absolue.

Soldat : B-Bien monssieur !

Le soldat quitta la pièce toujours aussi éffrayé. Vràl le dragon d'Abysson avait la facheuse habitude de n'obéire qu'a à Abysson, aussi bien que parfois il dévorait quelque soldat qui tentait de le faire obéir.
Puis Abysson sortit de la salle du trône et s'arrêta sur le balcon, il regardait la lave en fusion au pied du château, soudain un homme arrivea sur le balcon et tandi un bout de tissu à Abysson.

Soldat : Seigneur, comme vous me l'avez demandé nous avons retrouvé un morceau de tissu de la tunique du voleur.

L'ange du chaos se tourna face au soldat et prit le morceau de tunique.

Abysson : Très bien soldat tu peut disposé !

Abysson prit le morceau de tissu et tourna le dos au soldat qui s'en alla.
Cinq minute plus tard des " Fffrr " se faisait entendre dans les environs, Abysson étira un long sourir, puis les " Fffrr " se raprochèrent et un grand wyverne noire s'élevait devant le balcon. Le wyverne rugit puissament avant de se posé sur le balcon. Abysson caressa la tête du semi-dragon avant de prendre place sur sa selle.

Abysson : Bien Vràl ! Il est temps de partir à la chasse !

Abysson tandi le morceau de tissu devant les puissants naseaux du wyverne qui en renifla l'odeur, puis il rugit encore, décola du balcon et se dirigea vers l'ouest.

Depuis son retour du combat trois jour était passé, il c’était beaucoup reposé, il avait recruté quelques nouvelles personnes pour son empire, il devait le rebâtir, se qui serait un travail ardu. Encore couché dans son lit à baldaquin, Abysson restait songeur, l’empire devait subir de profond changement à présent que Chaos était à moitié mort, soufrant dans le vide. Abyschaos était à présent le dernier utilisateur du Chaos, lui-même trouvait fou qu’Elementair convoitait se pouvoir. Ce chasseur de prime ne comprendrait pas à quoi il s’exposerait, atteindre le pouvoir de tuer qui il veut n’importe où. Se qu’il ne savait pas c’est que tout les Dieux disposaient d’un tel pouvoir, alors pourquoi ne l’avaient-il jamais utilisé contre eux durant la bataille ? La réponse était simple : La Limite.
La Limite est une barrière a ne jamais franchir, la limite de l’interférence, si il ose utilisé se pouvoir, des lois beaucoup plus puissante que lui, et que les Dieux, s’abattraient sur lui, le détruisant. Car l’univers est régit par une multitude de lois matérielles, qui se doit d’être respecté, pour danger de perturber l’ordre fragile qui a été instauré. Mais Abysson n’allait rien dire à Elementair de ces limites dont il ignorait tout, dans le but de le tester, et même le seigneur d’Altiméria ne connaissait qu’un millième de ses lois qui dépasse l’entendement humain. L’univers est ainsi, régit par des forces et des secrets que les hommes ne peuvent comprendre.
Il attendait l’arrivé de Elementair, il avait trouvé tout se qu’il pouvait pour satisfaire la soif de se chasseur. Il jeta un regard furtif sur sa table de nuit sur laquelle étaient posé diverses choses…

Le regard d’Abysson ce perdit dans le font de la chambre où une ombre était adossé contre le mure.

Elementair : Tu es long à la détente, Abysson. Dit-il en avancent vers lui. Tu as ce que je t’ai demandé ? Demanda Elementair, debout au milieu de la pièce, les bras croisé, attendent une réaction de la part d'Abysson.

Sur le point le plus élevé du Château d'Altiméria, une silhouette se tenait, droite et sombre. Elle avait échappé a la vigilance des gardes d'Altiméria par divers subterfuges. Parmi lesquels de vaines promesses et divers changement d'identité. Mais finalement, il se tenait la. Sur la plus haute tour. Il sortit son cor et hésita un moment... S'il soufflait, le risque qu'il soit repéré et descendu en quelque seconde était a prendre en compte. Mais tant pis. C'était un risque qu'il était prêt a courir. Il portait une solide armure spécialement destiné a protéger des pointes.
Portant l'instrument a ses lèvres, il prit une longue inspiration et souffla. 3 coups, bref mais puissant, que tous, de chaque recoin de la Montagne a chaque lit de Cocorico. Autrement dit Altiméria et Assilfeen.
En contrebas, il vit les gardes s'agiter. D'aucun le pointait déjà du doigt, mais il avait rapidement prit son porte voix et hurla dedans a plein poumons :

Messager : Oyez Oyez Brave gens de tout horizon. Vous le savez tous, récemment, une grande bataille a opposé un groupe de héros a Chaos, le Dieu du Néant, pour la sauvegarde de l'humanité entière. Lors de ce titanesque combat, l'un d'eux a offert sa vie pour le salut et la victoire de tout les autres. Cet homme courageux, c'était Log. L'Alchimiste d'Ikana. Ainsi, vous êtes tous convié a ses Funérailles ou son sacrifice sera dignement honoré.

Il baissa le porte voix et constata que tout les soldats l'écoutaient. A ses premières paroles, ils avaient compris que ce n'était pas un ennemi et l'avait laissé finir.
Il les regarda de haut, sourit, puis leur adressa un signe de main et disparut...

Abysson fit mine d’être mourant et leva sa main pâteusement en direction d’un bocal remplit d’une substance brune disposée sur sa table de chevet. Sans attendre Elementair s’approcha de l’objet montré, s’en empara et l’ouvrit avec impatiente. Il plongea sont regard à l’intérieur et aussitôt il extirpa sa tête aussi loin que possible du mystérieux contenu, jurant à tout va.

Abysson : Oh excuse moi, c’est les déjections anales de Chaos, j’ai rien trouvé de mieux… Kof Kof Kof….

Elementair : Apparemment je n’ai pas été assez claire quant j’ai dit ce que tu devais me donné. Dit-il en posent un regard haineux sur Abysson après avoir jeté le bocal par la fenêtre. Je n’ai que faire d’objet aussi inutile surtout quant il choisi avec aussi peux de sérieux mais puisque c’est comme sa, tu ne me laisse pas le choix.

Abysson : Et que compte tu faire. Demanda-t-il toujours aussi détendu.

Elementair se plaça à coté du lit et souleva Abysson par le col, puis il prépara son bras comme pour donné un coups de poing mais au lieu le frappé le visage, il frappa le torse ; plus précisément là où ce trouvait le cœur. Quant le coup l’atteignit il ne s’arrêta pas et rentra dans le corps d’Abysson, comme si la peau, les muscles, les os s’étaient volontairement écarté. Perdent son air serein, il fut contraint par une force mystérieuse et indépendante de sa volonté à laissé la place à Abyschaos qui lui-même avait été obligé par cet force à apparaître.

Abyschaos : Comment ? Tenta-t-il d’objecté en attrapent le bras par lequel Elementair le tenait au col mais sans parvenir à en faire plus.

Elementair : Trois jours, c’est le temps nécessaire pour permettre à une âme de régénérer l’énergie du corps. Je savais que tu ne trouverais pas ce que je voulais alors je me suis dit : autant lui donné tu temps pour en obtenir plus ! Il retira difficilement son bras du corps d’Abyschaos qui se referma sans problème ni cicatrice. Puis, Elementair leva la main dans lequel il tenait une boule d’une matière semblable au verre, contenant une brume noir. De l’énergie pure, n’ecce pas magnifique ? Il sortie une petite boite dans la quel il y plaça la sphère.

Abyschaos : Tu me payera sa ! Cria Abyschaos sans pouvoir faire autre chose que de rendre la place à Abysson, trop faible pour maintenir le control.

Elementair : Sa m’étonnerai. Nous nous reverrons, probablement. Ravit d’avoir pu faire affaire avec vous. Sur ce, il avança vers la fenêtre et découpa le mure avec son épée avant de sauté dans le vide et de disparaître.

Abyschaos laissa subitement la place a Abysson qui se releva de son lit et s’approcha du trou par lequel Elementair s’était enfuit puis esquissa un sourire narquois. Soudain des battements d’aile se firent entendre et Vràl, le wyverne noir de l’empereur, s’était envolé jusqu'à la fente, tenant dans sa gueule béante l’insouciant petit chasseur de prime qui croyait naïvement qu’Abysson n’avait pas protégé ses arrières, gesticulant pour essayer de s’extirper des crocs de Vràl
Le seigneur d’Altiméria fit un mouvement brusque de la tête et aussitôt le petit dragon jeta violemment Elementair au pied d’Abysson le fixait avec indignation. Ce dernier soupira légèrement avant de soulever le tueur à gage par le col et l’envoyé balader jusqu'à coté du lit. Abysson dégaina alors Gunir la pointa sur son adversaire.

Abysson : J’avais préparé exactement se qu’il te fallait, il suffisait de demander et je te l’apportait…Mais à présent je vais récupérer se qui m’appartiens et peut-être que je t’offrirais se que tu désires…

Le visage perlé de sueur, Elementair se releva difficilement et sortit ses sabres bénits, attendant l’attaque adverse, n’osant prendre des initiatives. Abysson ne se fit pas prier et débuta le combat par une magie, Longinus, que son ennemi esquiva avec une certaine facilité, mais l’empereur était déjà sur sa cible, échéant les coups si rapidement que le chasseur de prime en avait du mal à en suivre la cadence. Finalement le seigneur d’Altiméria trouva un instant de faiblesse dans sa riposte, il pivota alors sur lui-même infligea un redoutable coup de pied à la tête, sonnant ainsi Elementair qui tomba sur le dos. Il saisit alors sa chance, il plongea sur le tueur à gage, sentant parfaitement sa propre énergie dérobée dans une sacoche attachée à sa taille et d’un mouvement d’épée vertical il abattu son épée contre la source de son énergie, broyant ainsi plusieurs objets. L’un d’eux émit un bruit de verre piller aussitôt une petite quantité d’énergie fut relâchée dans l’air.
Reprenant ses esprits le chasseur constata avec horreur que ses plans avaient échoué et sous un accès de colère il attaqua Abysson avec ses sabres, celui-ci esquiva mais se fit tout de même taillader au poignait droite, le punissant de son audace. L’empereur recula de quelque pas, essayant de bander sa plaie qui l'handicapait tandis qu’Elementair c’était relevé pour lui faire face.

Abysson : Si tu veux que je t’offre se que tu convoites montre toi plus agréable !


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[HS] Voila comment on fait du RP, Elementair. En ayant un respect de son adversaire et en préservant un équilibre, ne regardant pas toujours à son intérêt personnel et en laissant la parole à celui qui joue avec toi.

Elementair : Tu me fais bien rire ! Il se releva et avança en commencent à tituber vers Abysson. Tu penses réellement que je ne avais ne pas plant secours ? Importe quel idiot serrais faute toujours assuré arri…quant… Bafouilla-t-il avant de s’effondré face contre terre.

Abysson : N’essaye pas de jouer au mort, je peux sentir que tu es encore en vie. Relève toi ! Ordonna-t-il d’un ton sec.

???? : Physiquement en vie mais mentalement mort Abysson.

En entendant la voix d’Elementair venir de derrière lui, Abysson se retourna pour faire face à un autre Elementair dans l’encadrement de la porte, adossé contre, les yeux regardent attentivement une vielle montre à gousset en mauvais état qu’il tenait d’une main, comptent sur ces doigts de l’autre.

Abysson : Qu’est-ce tu veux faire ? Te battre à deux contre un ? Je sais que tu peux te dédoublé mais tu ne sera jamais assez fort pour réussir. Dit-il en regardent alternativement les deux Elementairs.

Elementair : De quoi tu parles ? Demanda-t-il d’un air surpris en rangent sa montre et de sortir un parchemin remplis, recto verso, de calcule compliqué. Abysson cru un instant voir son nom ainsi que plusieurs autre qu’il connaissait mais il ne pu en être sur.

Abysson : Ne joue pas les innocences ! Lança-t-il d’un aire menacent.

Elementair : Sa tombe bien : je ne joue pas. Et, à propos de jeu, voici les résultat sur mes recherche et expériences sur le corps/hôte de Chaos. Dit-il en montre l’autre lui toujours au sol.

Abysson : Tu veux me faire croire que ce n’était pas toi avec qui…

Elementair : Je ne veux rien te faire croire. Coupa Elementair en regardant enfin Abysson, celui-ci constata immédiatement que son œil gauche était injecté de sang. Si je suis ici c’est parce que ce truc c’est mis en tète de venir pour je ne sais quoi et de toute façon il est raté : son esprit est mort trente huit millième de seconde trop tôt, tu peu le gardé si tu veux, son corps ce désintégrera dans trois heurs. Tu ne pourras rien en tiré mais il ferait jolie en paillasson entre temps et avant que j’oublie…

Il s’avança vers le corps, le souleva par le cou, sorti une dague et ouvris le buste. Puis il lâcha la dague et plongea sa main dans la plais et arracha le cœur qui malgré cela continua de battre. Il posa le cœur sur un meuble à coté de lui puis ramassa la dague au sol avant de s’infligé une blessure identique que celle qu’il venais de faire sans montré aucun signe de douleur. Ecartent précautionneusement ces côtes d’une main révèlent un vide à la place de son cœur où il installa celui qu’il avais extrais et comme par magie, celui-ci s’installa comme si il avait toujours été là.

Elementair : J’aurais du prévoir plus d’azote, la plaie est en train de saigné. Bon sang : où j’ai rangé cette fiole de quark concentré ? Tu n’ais pas bien Abysson ? Tu es pâle.

Abysson : Qu’est-ce que tu viens de faire ??

Elementair : Ah oui : pour répondre à la question que tu te pose : ce corps est artificielle, il ne réagis pas de la même façon que le tien face au blessure ou à la perte d’organe vitaux. Et maintenant que j’y pense : tu pourrais me dire pourquoi mon petit jouait est venu ici ?

Abysson, essoufflé par cette de magie interdite, se mit à genou, jurant sur cette homme se tenant devant lui. Les yeux baisés, fixant les dalles d’améthyste sur lesquelles s’étalaient quelques gouttes de sang sortant de sa bouche. Son adversaire, le visage impassible, le regardait s’incliner devant lui, comme si il implorait son pardon. Les yeux de l’empereur sombrèrent dans le noir, perdant leurs couleurs vives et lentement un petit rictus s’éleva dans la chambre royale. L’homme à terre se releva en silence, le visage pâle fixant avec démence l’intrus.

Elementair : Tu te montres enfin.

AbysChaos : Désolé j’ai dû attendre le moment propice, mais vois-tu, je n’ai pas vraiment le temps de m’occuper de tes problèmes, malheureusement se fichu pacte m’entrave légèrement donc je vais te donner quelque chose d’égal puissance.

Elementair : Non sans façon, se que je veux je vais le prendre de force !

Elementair empoigna sa dague acérée à deux mains et la dirigea contre sa poitrine, mais le serviteur du chaos ne réagis pas et se contenta d’esquisser un sourire narquois tout en prononçant ses paroles :

AbysChaos : Chaos Assaku…

Et aussitôt un sceau encore inconnu se format en dessous du chasseur de prime, se qui le stoppa dans son élan. Le lanceur du sort s’approcha d’un pas assuré vers sa proie paralysée.

AbysChaos : Ceci est un sceau qui libère une telle énergie que tu es totalement piège sous sa pression, me laissant ainsi le temps d’en finir avec toi.

Plusieurs symboles indigo apparurent en cercle autour de l’ange du Chaos, formant un cercle parfait qui tournait à vive allure autour de leur invocateur.

AbysChaos : Gen’kai Yarisugosu !

Le cratère entier se mit à trembler provoquant l’incompréhension des soldats de l’empire. Les runes qui débordaient de puissant se détachèrent brutalement d’AbysChaos, se dernier fut violemment repoussé par la force de sa propre magie tandis que le cercle magique alla tournoyé autour de son adversaire toujours paralysé. Les signes mystiques se rapprochèrent du chasseur, tel un étau, puis une puissante lumière aveuglante inonda le cratère et quand l’adepte du Chaos pu ouvrir les yeux, Elementair était allongé au sol complètement inerte. Il appela alors ses gardes qui arrivèrent, totalement déboussolé par les derniers évènement et leurs ordonna de jeté l’être qui gisait à ses pieds hors du cratère. Les gardes, dans un élan de peur face à la mine intimidante d’AbysChaos, se dépècement de porter le corps inanimé pour le sortir de sa pièce, laissant l’empereur seul.
Il sortit alors sur son balcon panoramique et observa d’un aire hautain les flammes rougeoyantes sortir des gouffres de lave. La magie qu’il avait utilisé était de la magie runique, il avait fait en sorte de brisé la limite pour en concentrer toute l’énergie et la faire absorbé par son adversaire, lui faisant entré une énergie colossal en lui provoquant un coma temporaire. Bien que le prix était de perdre cette magie, il s’en fichait, car ses projets d’avenir étaient bien plus importants. Mettre au point ses ambitions lui demanderait beaucoup de temps, et il devrait faire très attention pour que son autre lui « gentil » n’en sache rien.

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Désolé Elementair de mettre fin à notre petit duel mais les choses doivent avancée.

Fin de la bataille de Chaos, prochain poste : Prologue de la guerre des clans

Précédent aux montagnes goron de Termina.

Au cœur du cratère du péril, au milieu des flammes ardentes, se dressait fièrement le nouvel empire d’Altiméria. Ce nouvel empire était à présent à la tête d’une terrifiante force militaire armée jusqu’au dents de…bouteilles. En effet, dans se volcan à la chaleur étouffante, dansaient, chantaient, riaient, buvaient des milliers de soldats qui étaient accompagnés par de magnifiques dragons pure sang qui partageaient leurs ivresse en buvant dans de grands baquets remplit de bière. Le but d’Altiméria étant de renouveler la symbiose de l’homme et du dragon en voie de disparition. Aux yeux d’un touriste cette armée semblerait inefficace, mais en réalité chaque homme se spécialisait dans un art spécifique avec cinq heures d’entraînement obligatoire par jour, le reste du temps les soldats s’enivraient, de plus la principale force de cette armée était sa stratégie dirigée par le plus brillant stratège d’Hyrule et Termina, Abysson. Ce dernier observait avec fierté, accoudé à son balcon, ses hommes profitant pleinement de leur vie, bien que ses derniers temps les agissements de son autre lui l’inquiétait, depuis ces dernières années il n’était presque jamais entré en contact avec lui, il ne s’expliquait également pas l’entaille qu’il avait aux doigts en se réveillant il y a quelques jours. Il leva la tête au ciel admirant le panache des nuages solitaires, extirpant de sa tête tout ces doutes infondés.
La journée passa, la fête se retira laissant place au sommeil profond des soldat, assommé par l’effet de l’alcool. À l’insu de tous, dans la chambre royale qui était balayé d’une douce brise, l’empereur s’était tiré de son lit et gravait d’étranges cercles aux motifs d’une complexité flagrante en consultant un étrange manuscrit. Une fois les préparatifs terminé il planta une lance en son centre et récitât d’étranges formules en une langue inconnue. Aussitôt l’imposant cercle dessiné se mit à luire d’une faible lueur blanchâtre quand soudain le seigneur d’Altiméria rugit de douleur et de son torse surgit un double lui, parfaitement identique. Le double qui venait d’apparaître semblait déstabilisé et ne comprenait pas la situation. L’homme qui avait provoqué cette magie retira sa lance, fit face à son clone et lui lança une épée à la lame orangée qu’il rattrapa un peux déconcerté. L’individu qui tenait une lance, et qui avait le visage plus pâle que celui qui tenait l’épée, prit la parole.

AbysChaos : Désolé de t’avoir réveillé.

Abysson regarda stupéfait son côté chaotique et le questionna.

Abysson : Pourquoi me donnes-tu Gunir ? A quoi rime cette mascarade ?

Son double le regarda, l’air amusé, et se daigna à lui expliquer la situation.

AbysChaos : Ceci est une magie antique qui permettra au survivant de gagner totalement le corps qu’il partage avec son double.

Abysson : Que-ce que tu manigances à la fin !

AbysChaos : Ceci ne te regarde pas, cette magie là est une extension de la magie par là quel j’ai été créé et qui me permet de prendre totalement le contrôle du corps en éliminant l’âme de mon double. Alors maintenant que tu es prévenu, passons sans attendre aux choses sérieuses.

Il chargea directement Abysson, l’assaillant de coup de lance parfaitement enchaîné ne laissant aucun temps de répit à son adversaire qui tentait, tan t bien que mal, de dévier les coups avec son épée. AbysChaos enchaîna son attaque d’une magie rapide, des éclairs blancs faillirent l’atteindre, mais son rival contra l’attaque avec sa propre magie et créa une explosion. Une fumée opaque se dégagea du point d’impact et l’ange du chaos en profita pour passer à travers du rideau de fumée pour surprendre son ennemi, ce dernier, réagissant trop tardivement, ne pu évité le coup diagonal qui entailla son abdomen assez profondément pour qu’il tombe à la renverse. L’ancien serviteur de Chaos ne l’acheva pas, il se contenta le regarda dédaigneusement.

AbysChaos : Qui aurait cru que la victoire serait si aisée. Tu as perdu la main depuis toutes ces années…

Abysson perdant du sang, serra les dent, et se releva avec toute la force qui lui restait et fixa son double avec une mine désespérée.

Abysson : VAS EN ENFERT !

Dans un ultime élan, Abysson chargea son côté chaotique, brandissant son épée. Sa cible ne bougeait pas, le regardant chargé ayant pitié d’un tel acte suicidaire. Abysson tendit son épée, voulant embrocher son agresseur, mais ce dernier utilisa sa main libre pour s’en servir comme bouclier. L’épée de l’empereur transperça la paume de la main qui se referma aussitôt sur la lame, bloquant ainsi son clone lui laissant le temps de le tuer avec sa lance. Abysson ne cria point, sentant le métal glacial déchirer son corps, il se laissa sombrer dans son désespoir en regardant, les yeux terne, son propre visage.
AbysChaos se pencha sur lui et lui siffla à l’oreille les derniers mots qu’il entendrait.

AbysChaos : Sais-tu pourquoi tu ne me battras jamais ? Car, tout comme cette dernière charge, tu es incapable de haïr suffisamment pour tuer quelqu’un. Sens, sens en toi le désir avide de ma lance de te tuer…

L’empereur au bord de la mort, en écoutant cette dernière phrase, ferma les yeux et sentit la haine de l’arme planté en lui le dévoré. Puis les motifs magiques gravés au sol arrêtèrent de luire, et inexorablement, le corps d’Abysson se désagrégea en poussière laissant en se monde qu’un seul est unique Abysson. Celui-ci, qui ne semblait pas savouré une victoire si facile, reprit entre ses mains le rouleau qu’il avait rangé et le regarda, plongé dans ses pensées. Si tous les autres guerriers qui avaient combattu Chaos avaient perdu autant de leur capacité que son ancien double, cela serait une victoire sans goût qu’il remporterait. Il rangea alors le rouleau si précieux à sa ceinture et alla regarder par-dessus le balcon, cette armée pitoyable à ses yeux, qui dormait sans se soucier des combats à venir. Il pouvait à présent commencer les préparatifs pour le déclin du puissant empire d’Ikana.

Après plusieurs heures de marche, Elementair fini par arrivé devant le château d’Altiméria, premier étape de ces recherches. Arrivé devant l’entré, les soldat ne firent rien pour l’empêché d’entré, au contraire, l’accueille fut des plus chaleureux, plusieurs personne, soldat comme visiteur, appelait Elementair pour l’invité à ce joindre à eux mais il déclinait systématiquement l’invitation. Il fini par arrivé devant la porte du château où plusieurs personne buvait et jouait au carte.

Elementair : Je voudrais voir le chef de l’empire. Demanda-t-il en s’adressant à la personne qui semblait le moins soûl de la bande.

Garde : Désolé, il ne veut pas être dérangé en ce moment, d’ailleurs, on n’est même pas sur qu’il est encore dans le coin. Vous pouvez l’attendre en prennent un verre, installé vous et mettez vous à laissent en buvent avec nous.

Elementair : J’ai d’autre chose à faire pour l’instant. Je doute que lui signalé ma venu soit utile, de toute façon je reviendrait.

Garde : Ha ? D’accors mais vous êtes sur que vous ne voulez pas… ?

Elemntair : Non ! Les laissent à leur occupation il repartie vers l’entré sous les même demande des mêmes personnes.

Revenant sur ces pas et repartent du cratère, il reprit son chemin vers la deuxième étape de ces recherches.

Deux jours passèrent depuis sa discutions avec Iker, Abysson se tenait sur son balcon, équipé pour le combat. Il avait ces derniers jours fait exécuter diverses petites tâches sans grande importance qui faciliterait la tâche de la préparation de la guerre. Au pied du balcon toute son armée c’était réunie pour écouté l’annonce du seigneur.

Abysson : Mes fiers soldats ! Aujourd’hui est un grand jour ! Je viens vous proclamé officiellement la guerre contre l’empire d’Ikana !

La foule se mit à bouger, des chuchotements parcourant les troupes.

Abysson : Nous allons prendre de force le contrôle total de Termina et d’Hyrule et ainsi instauré un climat de paix et de fête pour un futur glorieux ! Réunissons, malheureusement par la force, nos pays sous la même bannière : celle d’Altiméria !!!

Puis soudain il prit un air joyeux.

Abysson : Chantons pour notre victoire mes frères :
Près d'un lac tout chou,
une tranquillité aquatique,
deux pyromanes jouent,
des effets de feu romantique !
Pour deux petit amoureux,
Une flèche ardente vole
vers un beau cœur heureux,
Oui c'est ça ! ça colle !
L'indice est sous ce spectacle
d'un cœur de feu, quel miracle !

Les soldats, qui avaient un profond respect pour Abysson, poussèrent des cris en signe de soif de combat.

Abysson : Les chiens d’Ikana caché parmi nous iront annoncer d’ici peu nos intentions à leur maître, mais ils arriveront trop tard !

A ce moment précis une vingtaine de chevaliers wyverne déjà préparés s’envolèrent des plus hauts étages du château, prenant le cap d’Ikana sous les cris d’excitations encore plus vif des nombreux guerriers.

Abysson : Préparez vous, nous partons dans une heure ! Nous allons détruire le dernier obstacle à la paix !

Les cris redoublèrent d’effort tandis que les soldats criaient le nom de leur empereur. Abysson sourit, c’était si facile de faire avaler un mensonge aussi gros avec des soldats qui admiraient tant son ancien double pour sa gentillesse. Il regarda le drapeau de son empire flotter et partit ensuite superviser les préparatifs.