L'après-midi avait très bien commencé. Le soleil radieux semblait rayonner de mille feux. La douceur de la brise d'hivers était désormais bien installé et ne semblait pas vouloir quitter cette terre que si un dodongo malodorant venait souffler. L'Elfe se ramassa à escalader la route du péril en compagnie d'Istomir qu'elle avait rejoint à la taverne la plus proche du mont suite à une lettre qui lui avait été envoyée. Cette lettre disaient qu'il avait reçu une mission : Récupèrer un joyaux qu'une princesse avait égarer à sa dernière visite au mont. Malheureusement, elle avait tenté de le récupérer, mais les gorons lui ont répondu qu'elle n'avait rien qu'ils désirent en échange. Ils allaient donc avoir à parlementer afin de le récupérer. Ce n'est pas du gâteau quand on sait que dernièrement ils sont tombés en rupture de pierres mangeables (leur seule nourriture). Les Gorons accepteraient peut-être de leur donner la mission d'en retrouver pour refaire leurs stocks. Ils montaient tout en évitant les chutes de pierres provenant du volcan en éruption qui semblaient si énormes qui les auraient bien tués tous les deux. Avec tout ça, L'Elfe avait quand même peur de la mort, n'ayant jamais eu de point de destin, elle pourrait y passer si les choses tournaient mal. Ils escaladèrent dans le silence le plus total (mis à part les cailloux qui menaçaient de leur écraser la figure) pour enfin déboucher sur l'entrée de la caverne des Gorons. C'était un grand trou en forme de porte gardé par deux gardes qui débouchaient sur un endroit tellement chaud qu'on risque de se bruler si on touche aux murs. Ils marchèrent lentement vers cette porte en ne regardant pas les pauvres gorons partant à la recherche de quoi se nourrir. Ceux-ci se retournèrent un à un pour regarder fixement l'elfe et Istomir descendre vers l'entrée. Arrivé devant la porte, les gardes dormaient à point fermé (une garde très productive). Ils pénétrèrent alors dans la caverne.