Présentation de Sayuka [De retour cette fois-ci ! (Finish !)]

Sayuka est une femme de vingt-six ans comme toutes les autres. A quoi ressemble-t-elle? Est-elle bizarre? Non. En aucun cas, elle est étrange ou encore bizarre d'après le mot que vous avez employé. Elle ressemble à n'importe quelle jeune femme vivant ici. Elle est certes suspecte dans sa façon d'agir, mais cela ne concerne pas cette partie. Commençons donc par le début, voulez-vous bien.

Vu de l'extérieur, elle ressemble à n'importe quelle fille, la forme de son visage, les traits fins qui le dessine sont comme là pour en donner l'impression... l'impression d'une femme facile et sans défense. Pourtant il en est tout autre, sa peau d'une couleur tannée et beige s'accorde à merveille à la forme et la structure de son visage. Ses lèvres sont fines et dessinées d'une jolie manière; son nez est droit et sans bosse apparente; ses yeux sont légèrement en amandes et ont toujours les paupières à demi-fermées laissant étinceler l'éclat de défi et de force de son regard bleu/améthyste. Voilà ce qui la différencie des filles faciles, montrant qu'elle est bel et bien une femme forte au niveau du caractère. Son regard semble amical à vrai dire, mais étrangement ses yeux expriment un sentiment des plus simple: une envie de dormir qui se manifeste presque souvent, avec en plus une force de caractère digne de la fille qu'elle est, exprimant toujours une forte étincelle dans son regard violet. Ses yeux ont beau être d'une simplicité commune, ils n'en restant néanmoins d'une couleur fascinante: une couleur aussi profonde que l'améthyste ou encore que la nuit étoilé, jouant avec l'intensité qu'ils ont parfois à travers certains regard qu'elle lance.


Ses cheveux sont d'un couleur variable selon l'éclairage ou l'endroit où elle se pose, variant dans le blond très clair qui ressemble plus à une teinte blanchâtre mais très claire, mais ses propos sont tout autre, elle déclare elle-même que ses cheveux sont blond avec des reflets blancs, bien entendu les avis change parfois selon les personnes qui la croise, car elle est tout sauf discrète avec cette crinière hirsute qui tombe en cascade tout le long de son dos, pourtant deux voire plusieurs autres mèches viennent devant son visage, dont deux longues mèches venant encadrer son visage fin, ainsi qu'une autre mèche descendant sur son visage, mèche rebelle comme on les appelle. Bien entendu Sayu' attache toujours ses cheveux en queue de cheval pour ne pas que ceux-ci la gêne, bien qu'elle préférerait les garder libre, mais comme toujours elle essaie de les attacher autant que possible pour ne pas être gêné en plein combat, ou encore lors des voyage. Laissant ainsi sa longue frange et ses deux longues mèches être libre au contraire de ses cheveux à l'arrière qui sont attachés.

Sayuka mesure environ un mètre soixante quinze et possède un corps plutôt bien proportionné et entretenu, un corps plutôt agile et souple, avec en plus une dextérité dans ses mouvements qui font d'elle; un adversaire dangereux. Ses doigts sont plutôt agile, bien que sa main droite est souffert par rapport aux répercutions de ses entraînements acharnés à la maîtrise des lames étant plus jeune. La paume de sa main est entièrement recouverte de cicatrice dû à un maniement trop quotidien, mais ceci n'est pas sa première ni sa dernière cicatrice, son corps en est recouvert, ceci à une explication, étant d'un caractère bagarreuse auparavant elle a enchaîné les combats à tout bout de champ et pour n'importe quoi. Une simple bousculade pouvait être un motif pour se battre, mais avec le temps elle est devenu plus sage et réfléchit, bien qu'à présent elle se battrait volontiers pour défendre l'honneur d'un compagnon d'arme. Les seuls cicatrices plus ou moins importantes qu'elle porte sur elle se dispose à deux endroits différents: une cicatrice sur l'épaule qui barre sa colonne vertébrale jusqu'au creux de ses reins d'une zébrure grise, ainsi qu'une autre plus petite qui part de son cou pour descendre sur le haut de sa poitrine, de vieux souvenirs qui la rendent nostalgique.

Ses habits sont assez simple dans l'ensemble, portant bien évidemment un équipement adapté, ainsi qu'une tenue correcte : une chemise blanche, avec bout des manches de léger rajouts de dentelle. Par-dessus celle-ci un pourpoint en cuir sans manche, avec sur le côté un laçage qui maintiens tout ce la en place, un haut sans trop de fantaisie comme elle peut le voir un peu partout. En guise de bas elle porte un pantalon brun, voire noir, qui est lacet sur le côté, un bas très simple, bien qu'il soit déchiré de manière à laisser une jambe dévoilée. A ses pieds une paire de cuissarde des plus normales, de couleur brune, elles montent jusqu'au-dessus de ses genoux, cachant une partie du pantalon et de sa peau. A ses poignées des bracelets de cordelettes de cuir, avec un bandana sur son poignée droit. En parlant d'accessoire, à ses oreilles elle possède des piercings, aussi sur son visage et avant-bras vous pourrez apercevoir des peintures de guerre, qui sont plus des tatouage qu'autre chose, un trait verticale en-dessous de son oeil droit, avant un autre trait horizontale, qui vient former une croix.

En tant que futur "Brute" elle se doit de posséder une arme, non ? Eh bien son arme à elle est plutôt simple, enfin pour elle car cette arme elle l'a vu tant de fois, sans pouvoir la toucher. Toujours en évidence sur la cheminée de la maison, toujours à émettre une certaine étrangeté qui fascine toujours les clients de sa mère. Pour Sayu' c'est une arme qu'elle voit tellement de fois que cela en devient normal. Änatö est un marteau de guerre qui se transmet de génération en génération: la poignée de l'arme est assez longue avec tout autours un tissus noir qui permet un adhésion plus facile à l'utilisateur, son pommeau ne possède en aucun cas d'accessoire futile comme certaines armes sur le commerce, elle a simplement une forme cubique pour y poser convenablement la main. La tête du marteau en lui-même est plutôt imposant, mesurant dans les un mètre trente de largeur et dans les quatre-vingt centimètre dans la longueur. C'est un poids de couleur argenté avec à la naissance de celle-ci des runes anciennes qui parcours toute la tête, une arme sauvage et ancienne, avant que la famille Hyrukane l'obtienne et se la transmette pour ainsi de suite en changer le nom. Änatö est en quelque sorte une arme qui n'a jamais vraiment servi. Non ne pensez surtout pas que cette arme sert écraser les pastèques, bien sur que non ! La plupart du temps elle sert simplement d'ornement décoratif dont personne n'a l'autorisation d'y toucher, même pas Sayu', mais avec le temps sa mère en a convenu de lui donner cette arme en lui racontant bien entièrement l'histoire de cette arme.

" Ce marteau; par le passé de nos ancêtres, fit couler le sang de nombreuses personnes. Par le passé, le monde a voyagé pour commercer. Par le passé, les guerriers ont passé leur temps à rechercher des armes d'exceptions. Notre ancêtre l'a bien trouvé, lui, il a fait escale dans un petit village du pays, un simple village de mineur où de grande forge y était implantée, d'après leur structure et leur forme c'était des forges Gorons. Notre ancêtre à trouvé au hasard cette arme sur une caisse usée, le forgeron la lui donnait volontiers contre quelques rubis, mais ce que ce forgeron ne lui avait pas dit, c'était que ce marteau n'était pas ordinaire, il avait tué bon nombre de personne, certes, mais il possédait en son sein un pouvoir des plus dangereux.

Vois-tu sur sa tête massive les lettres qui forme le mot "ÄNATÖ"? Eh bien Änatö fut un immense Dragon d'acier que les guerriers ont piégés, mais lors d'une bataille immense il se libéra et tua l'un des puissants épéiste, bien évidemment cette petite anecdote n'est qu'un faible ramassis de plusieurs histoires que j'ai pu lire dans les livres. Ce marteau... est un tueur, il possède le pouvoir et la colère de l'ancien serpent antique. Dans les mains d'une personne quelconque il devient une simple arme pour décorer son salon, mais lorsque quelqu'un possédant certaines aptitudes le manie, il peut délivrer son pouvoir, laissant sa rage se déverser dans les coups qu'il inflige. Ce marteau est la prison éternelle du grand serpent Änatö, que notre famille garde en son sein. "

« La nature fait parfois de drôle de chose, mais la vie, elle, est bien cruelle avec les hommes. La vie est un courant d’eau très trouble, elle est la caractéristique de l’âme humaine, se dressant sur ses pieds, à sa main droite l’épée qu’elle nomma « Mort » et à sa gauche son bouclier « Destin », elle avança parmi le monde de l’Homme, volant, fauchant, tuant, réquisitionnant, kidnappant la vie, l’âme des créatures qu’elle rencontrait. Elle était la roue de bonne aventure, un rouage du Temps, tout ce quelle faisait, était de récupérer ce qu’elle avait engendré, elle se devait d’elle-même de récupérer ce que ce monde avait créé car tel était son rôle, elle se devait de récupérer l’âme de toutes ses créatures. De son casque de chevalier, Vie se devait de surveiller la corde dorée des humains car elle était la paire de ciseau qui pouvait à tout moment couper le fil de la vie d’un être. D’une paire de ciseau aussi noire que le néant, l’allégorie de la vie sectionna la corde dorée d’une personne, c’est à partir de ce moment là que tout commença. »

Une vie parmi les hommes et femmes de son village. D'un village natal assez loin et trop futile pour s'en souvenir. Un courant d'air parmi les astres chancelant. Une vie parmi des gens qui ont tous le coeur sous la main. Il ne faut pas chercher, tous sont si niais, tous ne comprennent pas que le monde peut être dangereux, mais quel mal y a-t-il à ne pas s'en rendre compte ? Quel mal y a-t-il à ne pas remarquer que tout ceci n'est qu'illusoire ? Rien, ceci n'est pas grave en soit, mais simplement inconscient de tout. Mais revenons-en au point de départ. Il n'y a pas grand-chose à dire, sur la demoiselle et surtout la narratrice n'aime pas énormément les histoire longue et pompeuse, alors on va faire vite et claire, malgré que ça sera un massacre sur le simple fait d'avoir un physique et une psychologie immense comparé à l'histoire, mais on va essayer de faire grand.

Sayuka est née parmi les villageois d'un hameau assez méconnu et vivant simplement de ce qui les entourent, c'est à dire de leur culture et de la chasse. Que dire de plus ? La demoiselle a vécut dans une atmosphère très heureuse pendant plus de dix ans, après cela, elle a dû s'adonner à l'Art de la taille. Certes, son village est méconnu, mais il faisait des livraisons de pierres, un village de tailleur de pierre assez petit et qui aidait souvent d'autre village pour reconstruire ou construire des ponts ou habitations. C'est avec son père qu'elle a appris à manier la masse à deux mains, un outil qui était appréciable pour le faite d'écraser et de détruire des blocs de pierre pour ensuite les tailler. Elle aurait pu devenir forgeron avec sa poigne et sa force à pulvériser et taper sur les pierres, - force qui s'est développée avec les années, elle n'est pas si "abusée" que ça - mais elle n'a jamais voulu partir dans cette branche de l'Art de maîtriser le métal, préférant rester dans celui de la pierre, bien que plus tard tout allez changer.

Vers ses seize ans, elle a pu tester sa force sur une bande de brigand qui n'avait pas choisit le meilleur village pour piller et détruire. C'est ici que la première pierre vers un avenir de combat fut installé et mise en place. Un combat qui lui a laissé de nombreuses cicatrices sur le corps, mais elle est fière d'avoir put être utile, et d'un esprit bagarreur, elle n'aurait pour rien au monde raté ce combat, cette attaque. Non, cela avait été le point le plus important de son adolescence pour prouver à son père qu'elle avait bien assimilé tout ce qu'il lui avait appris. Au moins, ils étaient tous d'accord sur un point, elle allait bientôt quitter le hameau pour poursuivre sa vie, elle ne pouvait rester dans un endroit retiré de tout contact extérieur. Tous étaient d'accord pour ne point garder une telle furie ici, une telle explosion de force dans le village, si bien même qu'ils ont tous opté pour le fait qu'elle aille au prochain village avec ses parents lors d'une cargaison de pierre. Un épisode que j'aurais bien voulu passer dixit la narratrice ~ Mais passons. Arrivé au village après un journée et demi de marche, son père lui a simplement expliqué de manière direct ce que tous avaient décidé, de plus cela n'était pas grave, elle pouvait choisir. Soit rester, soit partir, c'était à elle de choisir, un choix bien vite fait. C'est bien pour cela peut être que son géniteur lui donna Änatö : un marteau de guerre qui se transmettait de génération en génération, une constitution solide et d'un acier assez sombre, ce marteau était assez lourd et gros au niveau de la tête d'arme pour Sayuka, un nouveau jouet pour elle ? Que dire, n'était-elle pas une brute ? Après tout c'était un magnifique cadeau. Un cadeau assez encombrant certes, mais avec les moyens du bord, cette arme pu trouver une place dans le dos de la jeune demoiselle : une sorte de harnais qui maintenait attaché au dos de l'adolescente le marteau sans pour autant gêner lorsqu'elle le "dégainait", il n'était pas un fardeau pour elle, non au contraire, il était un atout.

Bien entendu, les années passèrent et elle était devenu en quelque sorte spécialiste de la masse à deux mains, du marteau de guerre en quelque sorte, laissant sa force être canalisé par les effets dévastateurs d'Änatö, le serpent de fer et de la destruction, car il était le symbole de la jeune demoiselle qui maintenant âgée de vingt-six ans, était plutôt connu sous le caractère de grande brute qui ne sait pas jauger sa force. Toute comparaison à Amy est proscrit dixit la narratrice qui ne vise personne ~ Après tout, elle est une guerrière de première ligne à présent, combattant volontairement pour son clan, tant qu'il y a des adversaires à faire voler - Home Run ~ -, Sayuka sera toujours là pour combattre, après tout elle n'est pas une brute pour rien.

Combattre, vagabonder, voyager est devenu la routine quotidienne de cette jeune femme, alors bon, que faire à part éviter de l'énerver ? La narratrice se souvient très bien du Zora qui a volé, que de souvenir ~ encre une fois je m'écarte du sujet, mais il n'y a plus grand chose à dire, à part peut être un retour en force ?