Mission: Le grand voyage [Pv L'elfe, Sephiroth, Aryllya, Arquero]

Je pense m'être mis d'accord avec l'autre taré, je me contente de te peloter, en privé bien sûr, et je t'explique la situation. Tout le monde y trouve son compte n'est ce pas ?

Aryllya écarquilla les yeux devant une telle question, elle qui pensait que Sephiroth était un être renfermé, malheureux, mais sain d'esprit, et aucunement obsédé, sauf peut être par le combat, mais là...Elle commençait à se demander si ce n'était pas sa vraie nature, la démoniaque, qui remontait à la surface...Peut être avait-il juste essayé de gagner sa confiance durant tout ce temps mais qu'il avait finit par perdre patience...Ou alors autre chose...Il avait prononcé un nom étrange tout à l'heure...
Comme si il était une autre personne...Bien différente du demi-démon...

Aryllya fit un sourire, mais un sourire franchement anormal...Sephiroth, la seule partie restante de Sephiroth dans ce corps, recconnu aussitôt le rictus sadique des démons. Aryllya se transformais et ça, ce n'étais pas bon. Mirko cria de loin:

-Que tout le monde s'éloigne, elle va péter un plomb! Cette forme, la plus développée, est absolument IN-CON-TRO-LA-BLE! Que tout l'équipage autre que le mec étrange qui n'est pas Sephiroth mais qui as le meme corps, se BARRE!

L'équipage obéis à son ordre. Aussitot, Aryllya poussa un hurlement furax et se transforma. Ses yeux habituellement noir en forme fachée devinrent écarlate, ses cheveux noir. Elle grandi d'au moins deux pieds, dépassant maintenant la créature. Elle appella aussitôt Aruka, l'épée des anges, qui n'avais pas sa forme normale. Elle avais,au lieu de ses ailes blanches, des ailes faites de motifs de fer. L'émeraude ronde qui se tenais habituellement entre les ailes avait changé de couleur, elle était maintenant d'un rouge sang. Et la lame! Elle avait une longueur d'pée normale, mais s'enéchappait une puissance maléfique dont Sephiroth devais inévitablement s'Inquiéter... Le bandeau vert s'envola, révélant la pierre du front de la princesse. Rouge sang, les tatouages qui habituellement formait une sorte de courrone avais maintenant changé pour former un motif ressemblant à celui des ailes de son épée. Elle paratient de l'émeraude au milieu de son front et lui finnsaient aux joues.

-Voici Deamon Aryll... La dernière fois qu'elle est sortie...C'étais à la mort de son frère. Depuis, l'ile où elle était sortie d'Aryllya est dépourvue de vie. Bonne chance... Je viendrais à tes funérailles...C'est que la seule façon de la calmer, c'est de l'embrasser...Et que la personne qui le fasse ne sois pas un mec qui veut la tuer,mais quelqu'un qui veut l'aider. Ça, c'est le vrai Sephiroth!

Le démon ouvrit des yeux curieux en voyant Aryllya se transformer, grâce aux souvenirs de Sephiroth, il découvrit rapidement que c'était une nouvelle forme, sans doute encore plus puissante...Puis il écouta ce que Mirko disait...Alors comme ça, cette gamine, bien que maintenant plus grande que lui, pouvait soi-disant le tuer ? Quelle bonne blague ! Tellement drôle qu'il en éclata de rire sous les yeux doublement stupéfait de l'équipage et d'un Kitsune inquiet...

"Ahahahahahahahah, vous réussiriez presque à me faire pleurer de rire..Alors comme ça, je serais plus faible que cette morveuse qui n'atteint même pas le véritable niveau de l'autre taré, et tu pense qu'elle pourrait me tuer ? Moi ? Deathbringer ? C'est si drôle que j'en aurais presque envie de vous épargner...Mais pas de chance pour vous, je n'ai pas besoin d'esclaves, et seules les filles m'intéressent...Et ce maudit demi-démon avait raison, l'autre à un regard exprimant un intellect proche de celui d'une huître dans le coma...Donc il n'y a qu'elle...Cette...Deamon Aryll..." Il ouvrit de grand yeux en se rendant soudain compte que ses formes aussi avaient grandies, très intéressant pour lui, il eut soudain un regard lubrique, qui s'accompagna d'un air idiot: "Au corps sublime, ouh, que c'est intéressant tout ça...Elles grandissent bien les jeunes d'aujourd'hui..." Puis il ferma les yeux et quand il les rouvrit, ils n'exprimaient plus que la haine, la mort...Les yeux d'un parfait démon...Qui ne s'arrêtera que quand sa cible sera morte et dépecée...

"Mirko ! Si tu veux sauver cette gamine, je te conseille de l'embrasser toi-même, car là...Elle me défie, une arme à la main...Et elle n'a aucune chance...même Sephiroth pourrait la tuer si il y mettait de la bonne volonté...Et je suis lui suis très largement supérieur...En tout points ! Et tant qu'elle me fera face, je la combattrait, et mes adversaires ne survivent jamais à mes attaques...Vous demanderez à l'autre taré quand il sera revenu..."

Une aura écrasante se fit soudain sentir, Deathbringer venait tout simplement de se mettre en garde...Dans une position tout à fait différente de celle du demi-démon :
Ses pieds étaient très écartés, son bras gauche qui tenait le Masamune était beaucoup plus en arrière et la main droite glissait le long de la lame jusqu'à ce que le terrible combattant ait le bras tendu...Il annonça une dernière chose, très importante selon lui...mais sans doute tout aussi capitale pour les matelots...
"Que personne n'intervienne...Surtout pas toi, Valna'ir, j'ai vu ton pouvoir...Et il ne te sauvera jamais de ma cruauté...Si il se passe quelque chose de bizarre, tu seras responsable...C'est clair ? Et si j'ai un doute, je coule le navire...Sephiroth possède assez de pouvoir pour le faire, mais sans doute pas en un seul coup, et vous n'aurez jamais le temps, qui que ce soit, pour m'interrompre, alors si quelqu'un me dérange, vous finissez tous au fond de la mer..."

Puis il sourit et se remit debout, avant de s'assoir et de chercher quelque chose dans son petit sac, puis il sembla mettre quelque chose dans le pommeau du Sabre Démoniaque, puis il ferma les yeux et se concentra, ce qui ne l'empêcha absolument pas de murmurer pour lui même :
"Tu auras au moins récupéré une arme intéressante...Matéria Psycho-dimension, Monde spirituel parallèle !" La sphère maintenant enchâssée dans le manche du katana géant se mit à lui d'une lueur étrange, tandis que Deamon Aryll sembla soudain perdre connaissance...tout comme le Démon...

Il se retrouvèrent, face-à-face, dans un monde vide, complétement blanc...Puis Deathbringer expliqua brièvement son action :
"Pour faire court, j'ai utilisé une Matéria pour projeter nos esprits dans un monde parallèle, ainsi nous pourrons nous battre sans être dérangés..." Cette option sembla ne pas déplaire à son adversaire...Par contre ce qui allait suivre avait peu de chance d'en faire autant...
"Je te propose un pari : Si je gagnes, tu est à moi, autant ton corps que ton âme...Si je perds...Hé bien...Je suppose que tu récupérera ma tête...Mais faudrait déjà que tu puisse battre un Démon qui fit autrefois trembler les Dieux...Mais qui sait ? Peut être qu'avec beaucoup de chance...Tu pourras me toucher..."
Il se remit en garde, prêt à réagir, conscient qu'un humain ne pouvait même pas le voir se déplacer tant il était rapide, et bien qu'elle ne soit pas humaine, elle, elle était à sa forme finale...Lui, n'était même pas transformé...En cas de besoin, les techniques secrètes...c'est pas ce qui lui manquait...
"Oh, juste une dernière chose, nous sommes peut être dans une dimension parallèle et ce sont peut être nos esprits qui se battent mais les blessures sont réelles...

(hrp: ça commence à être gossant. Sérieux, arrete de toujours sous-estimer les autres!)

Je te propose un pari : Si je gagnes, tu est à moi, autant ton corps que ton âme...Si je perds...Hé bien...Je suppose que tu récupérera ma tête...Mais faudrait déjà que tu puisse battre un Démon qui fit autrefois trembler les Dieux...Mais qui sait ? Peut être qu'avec beaucoup de chance...Tu pourras me toucher...

Aryllya sonda l'esprit de son adversaire, et rit à l'une de ses pensées. Forme finale? Mais quel idiot! Cette forme était incontrôlable, mais pourtant...c'était l'une des plus rationnelle! La jeeune fille décida de,comment dire....Montrer sa puissance! D'une voix moqueuse, elle invoqua deux de ses "amis".

-Deamon Safrina, Deamon Mirko!
Aussitôt, les deux interressé apparurent sous leur formes démoniaque. Safrina était identique à l'habitude mais...elle portait ue épée un peu plus petite que Masamune et se léchait les babines,les yeux n'ayant plus d'iris ou de pupille, n'étant plus que deux grand espace rouges. Quand à Mirko, lui était à sa forme maximale....Un dragon noir, Aux yeux de saphir.

(hrp: Et vlan, dans les dents!)

Deathbringer regarda les deux nouveaux venus d'un air relativement étonné, il ne s'attendait pas à ce qu'un renard débile puisse se transformer en dragon...il s'attendait encore moins à ce que cette gamine puisse les invoquer ici...Mais bon...pour lui...Si il avait eu son vrai corps, il aurait pu l'éclater en quelques secondes...Mais là, il était coincé dans celui de Sephiroth, sauf que l'avantage, c'est que celui la peut se transformer pour augmenter sa force, alors si l'autre débile pouvait battre un dragon alors lui...

"Abruti, verrouille ton esprit, elle peut lire dans les pensées !" Le revoilà celui la...Mais il a raison, le démon bloqua son esprit pour empêcher quiconque de "voir" le dialogue mental qui allait bientôt avoir lieu...Même si il se doutait que ça allait encooore pour lui causer des problèmes...

"Qu'est ce qu'il y a encore ?" De toute façon, dès qu'ils se parlaient, ça finissait mal...
"Bien que Mirko ne soit pas une flèche, je l'apprécie, il me permet d'être sûr qu'Aryllya ne risque rien quand je m'en vais..."
"Qu'est ce que tu racontes débile ! Mirko est un faible, il sacrifiera sa vie pour Aryllya, certes, mais à part sous sa forme draconienne, il vaut pas un clou ! Et tu le sais bien !" Le soupir du demi-démon lui confirma qu'une fois de plus, ils auraient mieux fait de ne pas se parler...
"Il élimine les petits monstres, les trucs de faible envergure, comme les humains normaux, ça m'évite de le faire, de plus, Aryllya l'aime beaucoup. Si il meurt, surtout de ma main, elle ne s'en remettra jamais..." Le démon se mit à rire.
"Alors c'est bien simple, je n'ai qu'a les tuer tout les trois !" Il se crispa légèrement sous l'attaque mentale de son alter-ego, il ne tarda cependant pas à lui rendre la pareille en l'attaquant encore plus fort. Maintenant, ils s'engueulaient toujours autant, mais avec un sacré mal de tête de tous les Diables !

"Si tu veux te battre contre quelqu'un, quitte le bateau, trouve un endroit qui ne coule pas, et réinvoque la psycho-dimension, et on verra qui : Entre le Berserker et le Démon, est le plus fort ! Tu te souviens du Berserker ?" L'évocation de l'un de ses ennemis mortels fit frémir le porteur de mort...Oui...Il s'en souvenait...
"Donc si je comprend bien, tu est prêt à risquer ta vie, son esprit, et même ton âme, juste pour protéger cette gamine qui de toute façon finira par t'abandonner quand elle verra qui tu est vraiment, ou lorsqu'elle arrêtera son voyage, alors que tu pourrais régner sur un pays, que dis-je, sur un continent entier ?"
Il laissa ses paroles faire effet, Sephiroth est quelqu'un d'imprévisible...Impossible de dire comment il va réagir...Il s'assura que son esprit était bien verrouillé, et attendit la réponse du Guerrier Noir, malgré ce qu'il avait dit, il avait envie de se venger des Bersekers...Et le demi-démon en était un...Et sa réponse fut rapide:

"Qu'est ce que je ferais d'un continent ? J'ai passé un marché avec elle, je la protégerais tant que je serais à ses cotés, et cela implique également que je dois la défendre contre les monstres de ton espèce !" Quelle réponse amusante...
"Si moi, je suis un monstre alors toi, qu'est ce que tu est ? Tu n'est plus humain, mais tu n'est pas un démon, et tu ressemble à un ange lors de tes transformations..." Il savait où frapper, le problème c'est que le guerrier était aussi au courant de ses points vulnérables...C'était d'ailleurs l'une des raisons qui faisaient qu'ils ne se parlaient jamais...C'était trop compliqué, et ça faisait sacrément mal...
"Contrairement à toi je n'ai qu'une parole, donc je la protégerais, et dans cette dimension, je peux intervenir de plusieurs façons, alors choisi :
Tu annules le sort et me laisse la place, ou en tout cas, arrête de mettre le bazar; Tu annules le sort, et va t'isoler pour qu'on puisse s'affronter, sachant que l'un de nous deux mourra; ou tu te bats contre Aryllya et ses amis, sachant que je peux intervenir soit en te ralentissant, soit en m'invoquant moi-même, ce qui fera que tu devras quand même me combattre. Alors: Choisi !"

Quel enfoiré ! Il reconnaissait bien là Sephiroth...Soit il laissait tomber le combat et se tenait tranquille, soit il se battait, contre le Berserker ou contre les trois gamins et ce maudit faux-démon...Avec son corps d'origine, peu importe la forme du Guerrier, il l'aurait écrasé, mais là...Si un combat commençait entre eux, l'un des deux ne verra pas le jour se lever...Et il ne voulait pas prendre le risque qu'ils se détruisent l'un l'autre...
Après une rapide réflexion, il décida de faire connaître son choix à son opposant...
"C'est bon, je vais annuler le sort, par contre, je ne te céderais pas la place !" Visiblement cela convenait a l'homme à la cape noire, car la guerre mentale s'arrêta.
"Très bien...Mais ne fout pas le bazar, tu est libre de tes mouvements tant que tu ne m'attires pas d'ennuis..."

S'étant enfin mis d'accord, Deathbringer respecta les conditions et annula son sort, puis, tout redevenant normal, il s'adressa à l'équipage :
"Je vais à la cale, si vous avez un problème, descendez me chercher...Mais si vous m'avez dérangé pour rien, je vous tue ! Est-ce clair ?" La simple présence de Sephiroth mettait mal à l'aise, il faisait même trembler les matelots lorsqu'il s'entraînait ou les regardait, mais Deathbringer lui, imposait par sa seule existence, une pression funeste qui faisait comprendre à quiconque étant à proximité que la Mort suivait cet homme, et qu'elle faucherait celui qui oserait braver le démon.

"Je ne m'attendais pas à ce que tu reste sur le bateau..." Ils avaient gardés leurs esprits fermés, pour pouvoir garder leurs pensées pour eux.
"Je pensais que tu tenais beaucoup à cette gamine, elle est bien moins forte que nous, et je doute qu'elle soit classé en génie, mais la dernière fois que je t'ai vu t'attacher à quelqu'un, s'était il y a presque neuf ans..." Le dialogue mental était pour une fois, sans violence, comme entre deux amis.
"Elle est gentille et à un coté naïf plutôt...charmant comme on dit..." Il s'arrêta quand il entendit le démon rire d'une façon étrange...
"J'y crois pas, Toi, Sephiroth, tu aurais craqué sur une gamine ? Moi qui pensais que tu étais incapable d'aimer...Finalement, cette petite aura eu un effet positif sur toi..héhé..." Son insinuation n'était ni discrète, ni élégante...
"Idiot, elle est adorable, mais elle m'est juste sympathique...De plus, je suis là seulement à cause du marché..."
"Tu est un guerrier hors-pair, impitoyable et un très bon tacticien, en revanche tu mens aussi mal que tu n'est fort...Je sais qu'elle t'es plus que juste "sympathique", ho, je dis pas que tu en est amoureux...Mais je pense que tu resteras avec elle...même si elle te libérait de ton marché..."
"Verrouille ton esprit ! Je n'ai pas envie qu'elle entende un truc pareil..." La dernière phrase de Deathbringer aurait-pu être entendue si quelqu'un avait cherché à écouter ses pensées...

La conversation mentale continua, en esprit verrouillé, pour que personne n'entende les différents commentaires provocants du démon envers son alter-ego...

Mirko avais tout entendu, il se rua sur Aryllya pour l'embrasser, annulant ainsi la transformation démoniaque. Il lui transmis alors la dernière phrase de DeathBringer.

"Tu est un guerrier hors-pair, impitoyable et un très bon tacticien, en revanche tu mens aussi mal que tu n'est fort...Je sais qu'elle t'es plus que juste "sympathique", ho, je dis pas que tu en est amoureux...Mais je pense que tu resteras avec elle...même si elle te libérait de ton marché..."

Aryllya fondit en larmes. Cette phrase infâme. Cette phrase. Cette parole douloureuse qu'avais prononcé Cloud avant de tuer Ichigo, la créature venais de la répéter, à quelques mots près. La déchirure ,la peine, la douleur du départ de son frère, il y as longtemps qu'Aryllya n'avais plus senti cette plaie dans sa poitrine. Et voilà qu'une simple phrase venais de la raviver, plus forte qu'avant. Sur le pont, l'équipage muet regardais le petit être fragile qui se mourrait de chagrin, qui , la tête entre ses jambes, pleurais oute les larmes de son corps.Même Mirko n'y pourrais rien. Seul le doux son de l'ocarina magique pourrait calmer sa peine, mais elle n'étais pas d'hmeur à en jouer. Elle se retira dans sa cabine et s'y enferma à clé. Là, elle continua de pleurer. Pendant les jours qui suivirent, elle refusa de manger, de boire, de vivre sa vie. Elle pleurais, pleurais, sans relâche, tel un torrent infatigable.

------5e jour------

Deux jours s'étaient écouler depuis l'attaque du Kraken et l'apparrition de DeathBringer mais heureusement, il ne sortait pas de sa cabine mais je me demandais quand Aryllya sortirait de la sienne. Une tempête faisais tanger beaucoup le navire mais pas assez pour qu'on risque de chavirer dùy à l'imposante taille du navire. Moi et les autres on était pas obliger de gérer le navire à cause qu'on était pas des matelots. Juste les guerriers charger de défendre se navire. Cela me convenait parfaitement car je ne voulais pas me mouiller jusqu'au os durant cette tempête. J'avais pris une cabine pour 2 car je voulais surveiller l'elfe pour qu'elle ne fasse pas de connerie! Je me leva et me dirigea vers la porte.

Où tu vas durant un temps pareil?

Je ne vais pas sur le pont. Je descend à la cale me chercher de l'alcool.

Malgré le fait que le navire tanguait beaucoup, je parvins à la cale sans planter. Je trouva une bouteille de vin ben fencer (chic). Je retournai à la cabine de moi et l'elfe. Une fois à l'intérieur, je me rassis et je bu directement dans la bouteille à petite gorgée car une coupe tomberait à la moindre tangation et on était en pleine tempête. J'espérais qu'on ne se ferait pas attaquer durant cette tempête et surtout si...j'aurai bu toute la bouteille...je ne serais...disons...pas en état de combattre. Je dis à l'elfe:

Tu en veux?

arquero ne pouvait pas dormir pour cause la pluie qui rafale sur le pont il décida d'aller plus bas pou ne plus entendre le bruit et se rappeler le sons des vague dans l'eau alors il alla a la cave et a sa grande surprise il trouva Valna'ĩr et l’elfe qui hésitât a prendre de l'alcool mais arquero lui ne se demandais pas la question si il prenais du vin il pris une coupe et le remplis mais étend donner que c'étais la première fois au deuxième verre il était déjà a la phase saoul et radoteur

-salut les *hic* gars sa va *hic*

Et puis il parlait et parlait de tout et de rien pendant des heurs Valna’ĩr lui était toujours pas encore saoul mais avait déjà la moitié de son vin fencer vide et l’elfe riais de ma pauvre gueule et puis je ne me sentais pas très et bien j’ai vomi ses ce qui arrive a tous consommateur qui commence trop vite et puis je suis sonnée a terre k-o les deux autre mort de rire Valna’ĩr celui la ne m’étonne pas mais l’elfe n’avait pas bue moi k-o Valna’ĩr au capacités affaiblie quelle belle équipe nous faisons mais traite de bavardage c'etait la dernière fois que je buvais et le lendemain j'étais sur de me lever avec la gueule de bois mais pour l'instant je suis rester sur le planche



/hrp ses dur 10 ligne quelqu'un a truc et il y a 1285 caractère et sa va dépendre de la résolution d'écran pour les 10 ligne hrp/

Deathbringer s'ennuyait...Son alter-égo n'était pas très causant, et personne ne voulait se battre avec lui. Comme il n'y avait pas de livres, le temps passait lentement...
Alors il se leva, c'était vraiment insupportable de rester comme ça sans rien faire ! Le Démon prit la porte et sortit dehors, peu importe la tempête !
Au contraire, que le climat soit aussi chaotique lui plaisait, ça lui rappelait un peu l'Enfer...Ah, l'Enfer...Quel monde charmant...Enfin, pour lui en tout cas...
Il marcha sur le pont, le corps de Sephiroth ne craignait pas les intempéries, encore moins lorsque c'était lui qui était aux commandes...Il s'approcha de quelques matelots :

"Quel temps splendide ! N'est ce pas ? Peut être voulez-vous un peu d'aide ?"
Il poussa les marins et s'empara de la corde qui descendait du grand mat, il ne savait pas à quoi elle servait, mais il suffisait apparemment de tirer dessus...Il chassa les derniers qui étaient encore accrochés à la corde, ils disaient qu'il fallait au moins six hommes pour juste tenir le cordon, et au moins le double pour le tirer !
Cependant, aucun ne protesta lorsqu'il annonça tranquillement que celui qui restait à moins de trois mètres de lui serait exécuté.

Le Démon attrapa la corde d'une main et commença à tirer, quand il lui sembla entendre quelque chose craquer, avant de se faire engueuler par "l'Autre" :
"Moins fort ! Tu vas arracher le mat si tu force autant !" Quoi ? Pourtant ça semblait costaud...
"Je croyais que tu y connaissais rien en bateau...Me serais-je trompé ?"
"J'y connais ptet rien en navire, mais je sais que l'architecture humaine ne résistera pas à la force d'un démon de ton niveau ! Surtout avec cette tempête !"

Il n'avait pas tort...Il avait entendu dire un jour que si le mat central cassait, le bâtiment était foutu tant qu'on ne le réparait pas...Mieux valait éviter alors...Il relâcha donc la corde, ne serrant qu'assez fort pour ne pas qu'elle parte, puis il s'adressa aux matelots : "Faut faire quoi ?"
Les marins, surpris sous le fait qu'il tenait la corde d'une main sans aucun effort, répondirent un peu plus tard d'une voix hasardeuse, puis Deathbringer suivit leurs conseils sans problèmes, il trouvait ça presque..."amusant"...Il resta donc sur le pont, aidant ici et là...Ce n'était pas par bénévolat mais parce que ça l'occupait...

Arquero m'avais carrément pris ma bouteille de vin. Il ne bu que deux coupe mais il était déjà saoul mais moi,qui avait bu la moitié de la bouteille, je commençais à peine à ressentir l'effet de l'alcool. Avec le navire qui tanguait,il n'en fallut pas longtemps pour qu'Arquero plante par-terre. Moi et l'elfe nous étions mort de rire.

On dirais bien que les zora ne supporte pas l'alcool! Ha ha ha!

Hic...très drôle...Hic!

Effectivement!

Moi et l'elfe rire de plus belle.

Bon assez de vin pour ce soir.

Je serrai la bouteille de vin.

Arquero était encore par-terre. De toute évidence, il ne voulait risquer de replanter! Un matelot entra dans la cabine avec 2 plats de poulet rôtie.

Bonne appétit. Mais savez où ce trouve arquero?

C'est alors qu'il failli marcher sur ce dernier.

Mais qu'est-ce que tu fous là toi?

Arquero ne répondit pas et le matelot soupira.

On dirait bien qu'il va se passer de souper pour ce soir.

Un grand bruit secoua le bateau.Les matelots qui accoururent constatèrent que la porte de la cabine d'Aryllya n'était plus qu'un tas de brindilles...Elle se dirigea vers les deux souls, les gifla et remontais sur le pont. Là, elle vit qu'un tempête faisait rage. Et finalement, elle arriva près de DeathBringer...(hrp: ça va faire mal....) Elle le gifla cinq fois, lui foutu un coup dans le plexus, lui foulais un poignet et se mit à lui taper dessus en criant de rage. Puis, quand tous crurent qu'elle s'étais finalement calmée....Elle le cribla de coup de pieds à l'endroit où ça fais mal. Pour finir par prendre un grand baton de bois et l'y frapper!

"Ah, j,aimerais pas être lui en ce moment. J'espère qu'il n'avais pas l'intention d'avoir des enfants! ricana Mirko.

Tout en tappant sur "L'Autre",La jeune fée hurlais:

"ÇA, c'est pour avoir voulu me peloter! ÇA, c'est pour m'avoir provoquée et ÇA, c'est pour m,avoir rappellé la mort d'Ichigo, espèce d'idiot!"

Chaque ÇA était souligné d'un grant coup de baton entre les jambes.

(hrp: j'espère que t'avais pas l'intention de te reproduire!)

Aryllya revint soudain à elle,et se mit à pleurer. Mais étrangement, c'était de joie! Elle s'avança vers la rambarde et recconut alors les falaises d'un île qu'elle chérissait particulièrement... L'île de L'Aurore! C'est là où le héros des vents avait grandi. C'est aussi là où, quand elle avais quatre ans, elle s'est réveillée, ne se souvenant pas du tout de son enfance. Elle sauta à l'eau,mais avant même de toucher la surface, elle se transforma en une jolie colombe! D'Un rose éclatant, elle virevoltais, toute heureuse. Elle se posa près de Sephiroth,reprit son apparence normale et lui murmura:

"Bienvenue sur l'île de l'Aurore. C'est ici que j'ai grandi. C'est aussi ici que j,ai rencontré mon frère pour la première fois, quand il est revenu nous porter, à moi et à ma Mamie, le corps de ma défunte mère. C'est dans la tour d'observation, là-bas, que j'ai passé mon enfance. C'est dans ces forêts que je fut formée par mon père adoptif, Otto-sensei, le maitre d'arme. C'est sur ces plages que j'ai appris à lire,écrire et compter. Et surtout, c'est cet endroit que je rêvais, depuis que je t'ai rencontré, de te montrer.

Elle sourit et revint sur le bateau. Elle dit alors au capitaine:
"Nous sommes complètement à l'arrière de l'île. Continues de longer les falaises vers la gauche,il y as un petit port ou nous pourront jeter l'ancre. J'ai besoin de revoir ma Mamie et mon maître d'arme tant aimé.

Aryllya débarqua alors sur le port et fut assaillie par les souvenirs de son enfance oubliée sur l'île, de ses quatres ans à ses douze ans. En effet, durant ses dernières années en mer, la jeune fille n'avais plus qu'un vague souvenir de sa vie.

(hrp: Seph, je redis mon histoire, mais c pour les autres, surtout. Tu peut ne pas lire le récit.)

Récit:

J’ai grandi sur une petite île, aux frontières du royaume. On l’appelle l’île de l’Aurore. C’est l’endroit où j’ai vécu, aussi loin que je me souvienne. De tous ses 8 habitants, personne ne connaît mieux l’île que moi. Je vivais seule dans ma petite cabane depuis ma plus tendre enfance. Au deuxième étage, les maisons sont reliées par des petits ponts de bois que j’utilisais très souvent pour aller chez Mamie. Il y avait aussi Antanasia et ses petits frères, et Otto, le maitre d’armes qui m’avait appris à manier l’épée. Plus loin, si on monte sur le joli petit pont de pierre, on a deux choix. Soit on monte sur le bord et qu’on saute de pierre en pierre pour se rendre chez Youri, le marchand, soit on traverse le pont, on suit le petit sentier qui mène à la passerelle vers mon endroit préféré, la tour d’observation. C’est l’endroit où j’allais pour mieux me cacher d’Antanasia et ses frères, car depuis mon enfance, ils se moquaient de moi. Pourquoi? J’ai sur le front une émeraude. Ancrée dans ma tête, elle ne s’enlève pas. Elle fait partie de moi. Et parfois, au soleil, un signe apparaît dans le joyau. Un signe dans une langue inconnue, n’ayant aucune signification dans la nôtre. Aussi, depuis ma tendre enfance se tient sur mon épaule une petite créature. Je ne sais d’où il vient, ni pourquoi il se tient avec moi. Un beau matin, je me suis réveillée et il était là. À sa vue, j’ai eu une étrange sensation de déjà-vu. Je savais comment il s’appelait sans vraiment le connaitre. Depuis, il se tient avec moi. Il s’appelle Mirko, et c’est un petit tamia, bien perché sur mon épaule.


Ce matin-là, je venais justement de me réfugier dans ma tour et, avec ma longue vue préférée, je scrutai les horizons, quand je vis au large un bateau. Un grand voilier majestueux, aux voiles neuves. À sa proue, une sirène tendait le bras, sculptée à même la coque du bateau. Un bras plein de promesses… Je me surpris à envier l’équipage de cette flotte majestueuse. C’est que j’ai toujours adoré l’océan. Ma chevelure d’un rose éclatant volant dans le vent du large, voir mon île disparaitre peu à peu jusqu'à ne plus être qu’un point dans l’horizon, m’endormir le soir, bercé par les vagues, en direction d’une terre inconnue… Tel était mon rêve. Tout en rêvassant un peu, je posai mon regard sur le nid-de-pie, dans lequel était installé un jeune garçon. À cette distance, tout ce que je vis de lui fut une chevelure d’un rubis éclatant. Puis, ma longue vue se leva vers le drapeau… Ce qui me fit paniquer. Le drapeau noir! Des pirates! Je descendis en catastrophe vers le village, et courut alerter Otto. À cette vitesse, nous aurions quelques heures pour nous préparer à leur arrivée. Mamie paraissait pleine d’espoir. Je me demandais pourquoi pendant quelques instants, puis un déclic se fit dans ma tête. Ce devait être mes parents! Dans sa jeunesse, ma mère avait abandonné son île pour partir diriger le bateau d’un beau pirate qui avait besoin d’un capitaine. Elle n’était revenue que pour m’y abandonner. Et si elle était revenue me chercher? Je partis pour ma cabane et je vidais mon coffre à la recherche de quelque chose pour cacher mon émeraude. Je ne devais pas les effrayer, ou ils partiraient sans moi. Je vidai le coffre sans rien trouver. Affolée, je me précipitai chez Youri. Il aurait surement quelque chose! En effet, il me trouva un bandeau d’un vert lime qui faisait ressortir mes beaux yeux bleus, comme ceux de Mamie. Puis je courus rejoindre les autres. Quand finalement le bateau accosta, je pus mieux distinguer le jeune garçon. Il faisait la même taille que moi. À peu près mon âge, ses yeux était…Du même bleu que les miens! Comment était-ce possible? Il prit soudain la parole, me sortant de mes réflexions.
« Y a-t-il une jeune fille nommée Aryllya ici?
Je répondis en même temps qu’Antanasia.
— Moi, c’est moi! »
Perplexes, nous nous regardâmes. Pourquoi voulait-elle me voler mon identité? Elle voulait sûrement me prendre ma place sur le bateau. Je devais absolument l’en empêcher! Elle ne devait absolument pas réussir. Je ne pouvais plus rester à l’Aurore plus longtemps maintenant que j’avais vu cette flotte merveilleuse.
— Euh… Alors, vous dites toutes les deux êtres la vraie Aryllya, dit le jeune pirate. Mais je sais qu’il n’y en a qu’une… qui est la vraie?
— J’ai entraîné la véritable Aryllya au combat physique et au maniement de l’épée, signala Otto. Testons-les! Celle qui réussira à gagner, ou du moins qui montrera les signes d’un véritable entraînement est Aryllya.
Je souris à pleines dents. Effectivement, depuis mon enfance, je m’entrainais au combat. Otto disait que, étant une fille de pirate, j’aurais sûrement à prendre la relève de ma mère. Ce jour-là, je devrais savoir me battre. J’adorais nos entraînements, toutes ces fois où il me prenait par surprise quand je marchais pour tester mes réflexes et mes bagarres contre un gros monstre en bois. Mais ce que je préférais, c’était le maniement de l’épée. Mon très cher entraineur me prêtait constamment la même épée, un beau sabre tout brillant à la poignée gravée. Il m’avait appris toutes ses techniques. J’aimais tant le voir arriver le matin avec mon épée et mon bouclier, quand il m’annonçait que nous allions nous entrainer dans la partie forestière de la montagne, qui regorgeait de monstres. Il me faisait réviser mes apprentissages avant que nous nous avancions dans les bois pour jouer les exterminateurs. L’adolescent aux cheveux rouge prit un moment pour discuter avec ses marins, puis revint vers nous, accompagné d’un garçon peu costaud.
« Alors. Vous devrez combattre Rico, ici présent. Il n’est pas très costaud, mais il peut être redoutable. Celle qui sera la meilleure de vous deux sera forcément la vraie Aryllya. Nous nous installerons dans ce coin à feu de camp. »
Otto vint me voir, me rappela mes méthodes, puis nous nous rendîmes sur le terrain pour observer ce qui, je l’espérais, serait une cuisante défaite d’Antanasia. Effectivement, après quelques minutes, le jeune pirate la plaqua sans effort. Puis, il me fit signe de m’avancer. Je pris une grande inspiration et je me dirigeai vers le champ de bataille. Et le combat débuta. Nous restâmes là, à tourner l’un autour de l’autre pendant 5 bonnes minutes, chacun cherchant les faiblesses de l’autre, puis je me lançais. En trois minutes, je crois que jamais je n’avais reçu autant de coups. Ce mec était drôlement fort! Mais il était trop fier. Je fis mine d’être épuisée, il relâcha sa garde. J’en profitais pour lui sauter dessus. Je pris son bras, le passa par-dessus mon épaule tout en lui foulant le poignet, et je le mis à terre. Jamais je n’avais été capable d’appliquer cette technique sans fouler quelque chose à l’attaquant. Et ça, Otto le savait. On m’applaudit, mon maître bomba le torse, tout fier, et mon adversaire se releva en frottant son poignet…
Le combat à l’épée ne fut pas plus concluant pour Antanasia, qui fut bien triste de se faire battre en moins d’une minute…Je m’avançais ensuite. Je commençais par une piètre tentative d’attaque. Mon adversaire avait le désavantage de son poignet foulé, mais ce n’étais pas le poignet avec lequel il tenait son épée, alors cela ne changeait pas grand-chose. Nous portâmes quelque coup, puis il essaya de me frapper du tranchant de son arme. Je me baissais, fit une roulade qui se termina derrière par un bond derrière le jeune pirate, qui ne me vit pas venir. Je pointai mon épée et m’arrêta juste avant de le tuer, la pointe de mon arme ne fit qu’effleurer son torse. Et mon identité fut donc officialisée. Toute fière, je m’inclinais devant mon maître, puis devant Rico, le pirate qui avait subi les coups. Le jeune homme aux cheveux écarlate accepta enfin de se présenter.
« Je m’appelle Ichigo. Je suis le cadet de notre capitaine, la glorieuse Malika…Je suis ton petit frère! m’annonça-t-il. Nous étions en cap sur cette île, notre capitaine voulait rendre visite à sa mère, quand nous avons été attaqués. Miss Malika était cernée. Elle est sautée sur un ennemi et…Un autre en as profité. Au lieu de vous amener notre mère en vie, malheureusement, je dois vous annoncer que nous la ramenons, mais la vie l’a quittée en chemin. »
L’horrible nouvelle tomba comme une masse. Mamie fondit en larmes, Antanasia et ses frères baissèrent la tête d’un air grave, Otto et Youri tentèrent de consoler Mamie, et je sentis une larme rouler sur ma joue. Je n’avais jamais pu voir ma mère. Je n’avais aucune idée d’à quoi elle ressemblait. Jamais je n’aurai pu lui parler, lui dire que je l’aimais malgré son absence. Puis, je réalisai. J’avais un petit frère! Je compris donc la ressemblance entre lui et moi. Ensuite, comme ma mère était décédée, le bateau me revenait… Cela m’aida à surmonter cette épreuve. Mon jeune frère repris la parole.
« Tu dois savoir ce que cela veut dire. Tu dois venir avec nous. Tu est notre nouvelle capitaine. Prends le temps de faire tes bagages et de dire adieu à ceux qui te sont cher, tu ne reviendras pas ici de sitôt.
-Cher frère, lui dis-je, j’aimerais te présenter la mère de notre mère, qui m’a élevée et chérie. Faites connaissance! »
Ichigo enlaça Mamie pendant que je courais à ma cabane. Je sentis Mirko descendre de mon épaule, mais je ne m’inquiétais pas. Intelligent qu’il était, il avait dû aller chercher ses noisettes et avertir les tamias et autres créatures de l’île de notre départ. Je pris ma longue vue, mon sac à dos et ma gourde, et je les fourrai dans mon coffre. J’ouvris une petite caisse sous mon lit. Elle contenait un ocarina, que Mamie avait trouvé dans la poche de mon petit kangourou, que je portais quand ma mère m’avait déposée sur l’île. Il était la seule chose que j’avais d’elle. J’entendis des pas derrière moi. Je me retournais et vit Otto, qui me tendais l’épée et le bouclier avec lesquels je m’étais toujours entraînée et avec lequel je m’étais battue plus tôt. Je la pris et il me dit :
« Je savais que ce jour arriverais. Je ne croyais simplement pas que cela arriverais aussi vite. Va, mon enfant. Tu es destinée à de grandes choses. »
Je me rendis sur la plage et indiquais à deux des pirates où trouver mon coffre. Je sentis alors un petit effleurement sur ma jambe. Je me retournais et vit Mirko qui trainait, non sans difficulté, le petit sac de soie que je lui avais installé sur le dos après qu’il m’ait rejoins à ma fenêtre. Il l’avait rempli… de noisettes! Je ris, puis lui retirais sa charge. Le coffre fut chargé dans le bateau, et ma famille, les habitants de cette île qui m’avait vue grandir, se rassemblèrent sur la plage. J’enlaçais longuement Mamie, l’assurant que tout allait bien aller, que j’allais être correcte. Les petits frères d’Antanasia vinrent me voir et dirent :
« On est désolé, pour ta mère. Mais surtout, on est désolé de t’avoir énervé pendant toutes ces années. »
Je les enlaçais un à un, puis alla voir Antanasia. Elle s’excusa, puis me serra la main. Youri me fit un simple sourire, puis une petite accolade. Et finalement, j’allais voir Otto, mon cher maître, mon ami, celui qui avait été rien de moins qu’un père à mes yeux. Habituée à son incapacité à exprimer la moindre tendresse, je m’Inclinais et il fit de même. J’allais enfin monter, partir pour ne plus revenir. Au dernier moment, je me retournais, regardais cet homme que j’avais tant aimé. J’hésitais…Alors qu’Ichigo m’appelai, je courus et lui sautai dans les bras. Je pleurai en disant adieu à mon père adoptif, et je montais finalement sur le grand voilier. Mes matelots montèrent les voiles et finalement, le bateau s’avança vers le large. J’entendais les voix de ma famille d’adoption :
« Au revoir! saluais Youri. Prend soin de toi, Aryllya! hurlais la bande d’Antanasia. N’oublie pas de m’écrire! criais Mamie. Mais surtout, la voix d’Otto, qui me disais :
-Tu me manqueras, jeune Aryllya!

Fin du récit


Elle vit alors au loin son cher Otto, qui pratiquait son escrime sur le pantin de bois qu'il avais si souvent dû reconstruire par la faute de la petite fée... Il se retourna et l'apercut. Aussitôt, Aryllya courut vers lui et lui sautais dans les bras. Mirko partit vers la forêt. Il allais dire bonjour à ses anciens amis tamia! Aryllya regarda alors le sommet de la montagne plate et apercut son protecteur endormi. Il devrais rencontrer Otto, ça c'est certain...

[HRP: Valna'ïr vas devenir un simple pnj pour continuer l'aventure]

Le soleil plombait et le vent était presque inexistant. L'elfe avait décidé de monter sur la cabine afin de bronzer, mais comme elle se souvenait de sa dernière expérience sur un bateau, elle décida de garder ses vêtements. Le bateau tanguait et tanguait ce qui faisait vomir le pauvre Valna'ïr.


C'est tellement bon de passer du bon temps à l'air. J'ai vu des oiseaux qui survolaient le bateau vers des îles trop loin pour y toucher. Mon oncle m'avait dit que sur un bateau, il fallait vomir, mais je n'ai pas encore vomi sur aucun de mes voyages. Pauvre Val, il ne sait pas comment vomir sans s'en mettre dans les cheveux. Depuis à matin qu'il vomit. Sûre que le bateau tangue beaucoup plus que les autres jours, mais il est le seul. J'ai hâte de voir à quoi ressemble les terres que nous allons visiter. J'espère voir une grande citée comme Glagh, pour autant qu'on ne se fassent pas pourchasser. Je voulais enlever mes vêtements pour le bronzage, mais la magicienne m'avait dit quand nous avions débarqué que je ne devais plus. Je me pose une question: Est-ce que le démon et la fille sont en couple?


Le vent commença à se lever très rapidement ce qui fit trembler L'elfe par le froid. Elle entra dans la cabine afin de se réchauffer et s'habiller un peu plus. Elle prit ses sacs et sortie un pull-over. En sortant de la cabine, les aventuriers étaient en train de se battre contre des Mojos aquatiques.

Aryllya arriva sur la plage et ordonna auz Mojos de lâcher ses amis. Aussitôt, il se jetèrent à ses pieds, la couvrèrent d'éloge et retournèrent dans l'eau. Elle fit un sourire énigmatique à l'équipage et rejois l'Elfe. Elle lut son bulletin cérébral dans son esprit et lui expliqua la situation d'elle et Sephiroth.

"J'en suis amoureuse...Mais lui, je ne sais si il me considère comme une amie, une alliée, une tite crotte ou autre chose...Il est si énigmatique, je sais qu'il m'a caché quelque chose sur son passé...Il as un truc que je ne comprends pas. Il dit ne plus du tout être humain, mais ourtant, il sais ressentir la colère et la nostalgie. Alors il l'est..."

Aryllya sourit,perdue dans la contemplation de Sephiroth, doucement endormi sur le plateau de l'ile, à un kilomètre de hauteur d'eux, et ajouta:

"Tu sais, je sens que nous serons de bonnes amies. Tu peut m'appeller Aryll. Et le tamia, c'est Mirko.

Puis Aryllya retira son bandau, montrant à l'Elfe son émeraude au milieu du front. Personne ne l'avais vu sauf Sephiroth et elle. Elle laissa la jeune fille étrange regarder le joyau quelques minutes, puis remis la bande de tissu verte.

Hrp: On va dire que le rp se passe lorsque Moi, l’elfe et Ruben se sont échappés du château d'Hyrule donc l'elfe et Istomir se connaissent.

Lorsque je m'étais enfui du château d'Hyrule en compagnie de L'elfe et de Ruben, j'étais partie vers une destination aléatoire. J'étais arrivé dans un endroit appelé la Baie Zora dans une contrée appeler Termina. Je relaxais sur la berge lorsque tout à coup, une énorme bébitte me goba! (hrp: Une baleine xD). J'enfonçai un cimeterre dans la langue du monstre pour ne pas tombée dans son estomac. Le monstre plongea. Sa bouche semblait étanche...une chance car sinon je serai engloutie! Je m'accrochai fermement au cimeterre. Après ce qui me sembla durer une éternité, le monstre sembla se cogner durement sur quelque chose. La bouche du monstre ouvrit et je vis un quai! Je sortie le deuxième cimeterre et le plantai plus loin du premier. Je sortie le premier cimeterre de la langue et le plantai plus loin du deuxième et ainsi de suite. Je grimpai ainsi jusqu'a temps que je puisse me hisser sur le quai. Au moment où je m'étais hissé sur le quai, le monstre revenu à lui et retourna dans l'eau.

**Fridj wun draeval!** (Hrp: Juste à temps!)

Il y avait un énorme bateau sur l'autre quai. Je mis ma capuche pour essayer de cacher ma race. Je m'avançais vers la berge en regardant attentivement l'eau pour voir si le monstre voudrait se venger. Une fois de la berge, je m'éloignai de l'eau. J'étais sur une île. Cela ne faisait pas de doute. Je vis trois personnes. Ils parlaient entre eux. Je me cachai derrière un arbre.

Merde! Valna'ïr est tombé gravement malade!

Ouais je sais. Cela fait une personne de moins pour protéger le navire. Il ne reste plus que la fée, ce démon et cette idiote d'Elfe!

**Hein? Cette Elfe idiote? Ne dites pas que...!**

Le retour risque d'être très difficile.

Le retour à Termina se fera pas avant des mois.

Un homme inspirant l'autorité s'approcha.

Hé vous trois! Qu'est-ce que vous faites à l'écart!? Il reste beaucoup de chose à mettre dans le navire! Allez! Tire-au-flanc!

Ils s'éloignèrent. Je continuai mon chemin. Je vis deux autres personnes. Il y avait une femme et L'elfe!!! La femme enleva son bandeau et montra une émeraude qu'elle avait au milieu du front quelque minute puis elle remit le bandeau. C'est alors que je m'avançais vers les l'elfe et la femme. Je descendis ma capuche plus basse pour m'assurer que la femme ne voit pas que je suis un elfe noir. J'espère que L'Elfe va fermer sa grande trappe...! Si je voulais retourner sur Termina, je devais embarquer sur ce navire!

Salutions noble voyageur.

L'Elfe reconnu mes vêtements. Elle me sauta dans les bras ce qui fit tomber ma capuche! Mais quelle CO**E!!!

Istomir! Je suis contente de te voir!

La femme reconnu ma race. Je repoussai doucement L'elfe et je me tins sur mes gardes. La femme ne cria pas et ne s'enfuya pas. Je sentis que quelque chose de spécial allait se produire.

Aryllya hurla en voyant au loin un drow sur son île adorée. Nan mais, que fout-il là? Elle ne le craignait point, mais il venais de voir son émeraude...MERDE! Elle se fit violence et s'empêcha de le frapper, mais elle senti quelque chose en elle changer. Puis, une aura de lumière entoura l'ado de 14 ans(hrp: wtf la femme? jé que 14) Elle prit soudainement la forme d'une jeune fille aux cheveux blonds portant une lanter à la main et une robe truquoise. Mirko passa en moins de quelques seconde de amia à renard blanc. Aryllya, de sa voix cristalline de fée des égarés, dis:

"Toi,elfe des tnèbres au coeur pur, tu est destiné à un sort de héro. Chacun de tes pas sera guidé par la force pure de la princesse des voyageurs, fée des héros égarés et enchanterresse des terres sacrées. Ton coeur d'or et ton indiscutable courage t'on mené sur la voix de la lumière, et ils te guideront sans hésiter sur la voie de ton destin.


(hrp: un peu plus prestigieux que sephiroth...lol fail seph!)

Puis, Aryllya repris sa forme normale, tout comme Mirko qui devint un jeune homme ayant au sommet de son crane des oreilles de renar et arborant une queue du même animal. L'émeraude qu'arborait Aryllya au front était incandescante et brulante.

L'adolescente (hrp: dsl j'ignorais que ton perso avais juste 14) se transforma et me fit un discours qui m'étonnai.

Toi, elfe des ténèbres au cœur pur, tu es destiné à un sort de héro. Chacun de tes pas sera guidé par la force pure de la princesse des voyageurs, fée des héros égarés et enchanteresse des terres sacrées. Ton cœur d'or et ton indiscutable courage t'on mené sur la voix de la lumière, et ils te guideront sans hésiter sur la voie de ton destin.

Puis revint comme elle était avant. Ce petit discours me touchai. Contrairement au autre personne, elle ne s'était pas basé sur ma race mais sur que je suis vraiment... non en fait, elle le ressentait sans nul d'un doute car elle avait su qu'en me regardant que j'étais bienveillant.

Merci je suis honoré. Et je suis content de savoir que j'ai un destin de Héro qui m'attends.

L'adolescente parue contente que je lui dise sa.

Tu sembles contente.

Oui car le dernier auquel que je lui ai dis quelque chose dans le genre m'a envoyer promener.

Ah. C'est poche

Je sentis quelqu'un approcher. Je remis mon capuchon et je me cachai derrière un arbre. C’était le capitaine. Il s'approcha de l'adolescente.

Écoute Aryllya. On ne peut pas garder Valna'ïr sur le bateau. Ce n'est pas le mal de mer. Il est gravement malade. Tu connais quelqu'un qui pourrait le soigner? Nous reviendrions le chercher à notre retour dans quelque mois.

**Aryllya hein?**

Aryllya lui indiqua une maison. Le capitaine partit. Je retournai auprès d'Aryllya et de L'Elfe.

Écoutez. Je veux retournez à Termina mais il semble que votre navire part pour des contrés inconnu pour quelque mois mais votre quête m'intéresses. Je peux bien protéger le navire pour quelque mois. Le problème, si on découvre que je suis un Elfe noir quand nous serons sur le bateau, les matelots vont me lancer par dessus bord. Je vais me faire passer pour quelqu'un de timide ou au pire sinistre pour pouvoir garder ma capuche tout le temps. Alors ne dites pas que je suis un drow s'il vous plait.

Je jetai un regard dur sur l'Elfe qui signifiait: T'es mieux de fermer ta grande gue***!!

(hrp: 14 de physique mais elle peut en avoir 19 de mental..des fois.)

La nuit tomba sur l'ile paradisiaque, et tout les matelots partirent se coucher dans les petites huttes que les gentils villageois avait préparé pour eux. Aryllya, elle, dormirait sur le bateau. Trop intimidée par ses souvenirs d'enfance pour retourner dans sa chambre chez sa grand-mère, elle avait insistée pour rester sur le bateau. Elle ne réussis pas à s'endormir. Puis, elle décida de se lever. Elle monta sur le pont avec son ocarina. Accoudée à la rambarde, elle se mis à jouer de son ocarina. Soudain, alors qu,elle était au beau milieu de la musique préférée de son tamia, elle sentit une main froide se poser sur sa bouche,l'empêchant de crier. Elle observa un peu la main. Elle était fantômatique,et elle avais une légère transparence. Aryllya se retourna et étouffa un cri dans sa propre main. C'était Ichigo! Mais...Il étais...Mort!


"Les dieux m'ont accordés quelques minutes en ta présence pour t'aider, grande soeur.Je t'ai envoyé Sephiroth pour que tu sois heureuse, même si je ne suis plus de ce monde. Mais tu ne devais pas en tomber amoureuse. Je me suis rendue compte qu'il te rends plus malheureuse que d'autre chose. Je dois donc retirer de ta tête tout sentiments amoureux envers lui,et les empêcher de revenir.
-Ichigo...Après cela, te reverrais-je?
-Oui..À ta mort.

Sur ce, l'appariton envellopa Aryllya d'une aura d'un blanc pur, qui retira d'elle tout amour pour Sephiroth. Quand elle en sortit,Aryllya voyais le monde..d'un oeil nouveau.

J'étais assis accoter sur un arbre à regarder les étoiles. Les matelots étaient couchés dans des huttes. Moi Je ne voulais pas dormir. La nuit, j'étais maitre. Je peux me fondre dans la noirceur comme si j'étais invisible et m'approcher de gens sans faire un seul bruit. C'est alors que je vis Aryllya sur le pont du navire. Un fantôme apparu. Je n'entendis pas ce qu'ils se dirent. Le fantôme entra dans Aryllya et peu de temps après, il ressortit puis il disparut. Je me levai pis me dirigeais vers le navire tout en étant camouflé par l'obscurité. J'embarquai dans le navire. Aryllya était appuyé sur la rambarde derrière le navire. Je m'approchai d'elle et dis:

Sa vas?

Elle sursauta. Elle se retourna et dit:

Ah c'est toi L'elfe noir.

Je préfèrerais que tu m'appelle par mon nom... Je m'appelle Istomir Dé'Arté.

C'est un joli nom. Ça te va bien.

Merci bien...

Je me décidai de parler du fantôme.

J'ai vu un fantôme entrer dans vous et en sortir. Je suis juste venu voir si tu allais bien.

Oui je vais bien. Je vais même beaucoup mieux. Merci de te soucier de moi.

Je gardai mon capuchon au cas où un matelot viendrait sur le navire. Il y avait une sorte d'énergie entre moi et Aryllya qui semblait venir de nous.

Aryllya fit un sourire charmeur à Istomir,quand soudain, Sephiroth atterit juste devant elle. Étrangement, au lieu de la faire souffrir comme à chaque fois, il ne lui faisais plus aucun effet...La magie nouvelle de son frère avait marchée. Amusée, elle écouta les paroles du demi-démon.

"On a un problème...Et un gros ! Il y a une troupe de dix soldats sur l'île, et il vaudrait mieux les éviter...Sauf que si je ne trompe pas, ils se dirigent par ici, et si mes informations sont exactes, on arrivera pas à les battre avec seulement un Zora, Une elfe, toi, moi et ce type qui se cache...Mais eux, vont nous tomber dessus, d'ici deux ou trois heures je pense...Il faut se décider, soit on établit une position défensive, soit en largue les amarres !

-Figure-toi qu'on as aussi un démon millénaire qui peut se transformer en dragon géant, une folle furieuse sanguinaire à mes ordres et que malgré mon apparence frêle, je suis plus tenace que tu le crois. Mais si tu crois toujours bon de foutre le camp, alors occupe-toi d,aller réveiller les autres."

Elle lui avais parlée avec une arrogance nouvelle. Joyeuse, sa voix laissais paraître sa guérison de l'amour qu'elle portais au demi-démon. Elle ne le considérais plus que comme un simple ami. Rien d'autre. Cet Istomir, par cotre, l'intriguais...Il semblais si mystérieux...Aryllya se retourna, retournant à ses occupations, c'est à dire son ocarina.

On a un problème...Et un gros ! Il y a une troupe de dix soldats sur l'île, et il vaudrait mieux les éviter...Sauf que si je ne trompe pas, ils se dirigent par ici, et si mes informations sont exactes, on arrivera pas à les battre avec seulement un Zora, Une elfe, toi, moi et ce type qui se cache...Mais eux, vont nous tomber dessus, d'ici deux ou trois heures je pense...Il faut se décider, soit on établit une position défensive, soit en largue les amarres !

Figure-toi qu'on as aussi un démon millénaire qui peut se transformer en dragon géant, une folle furieuse sanguinaire à mes ordres et que malgré mon apparence frêle, je suis plus tenace que tu le crois. Mais si tu crois toujours bon de foutre le camp, alors occupe-toi d,aller réveiller les autres

Combative en plus d'être mignonne cette Aryllya.

Et en plus, qui voudrait abandonner cette charmente île et ses habitants à leur sorts?

Tout ce qu'on voyait dans ma capuche, c'était mes yeux lavande qui semblait briller de mon envie de combat. C'est alors qu'un cri de guerre s'éleva et nous les fimes descendrent. Je sortie mes cimetterres.

Aller réveiller les autres. Moi je vais les retenirs le temps que tout le monde soit prêt.

Tu va te faire tuer...

Faites ce que je vous dit!

Je partis vers les ennemies.

Aryllya vit les yeux lavande d,Istomir briller sous son capuchon et devina ses intentions.

Aller réveiller les autres. Moi je vais les retenirs le temps que tout le monde soit prêt.
Tu va te faire tuer...
Faites ce que je vous dit!

À ses paroles Aryllya se mit à paniquer. Mais quel con! C'etais du suicide! Aryllya se lança à sa poursuite. Elle finit par, essouflée,lui hurler:



ISTOMIR! ARRÊTE! TU VAS TE FAIRE TUER!

À ses mots, il se retourna. Ce qu'il vit alors, c'est une jeune fille aux cheveux rose pétant désemparée, désespérée. De beaux grands yeux d'un bleu de saphir rongé par l'inquiétude. Un regard suppliant, qui lui demandais désepérément de rester.

Istomir,reste ici! Fais-le pour moi, pour ma survie! Je ne pourrais me le pardonner si tu partais pour me protéger et que tu mourrais. Ne fais pas ça!