Les courses d'un Géant [PV Loucia]

Cylou entra dans la place du village de Bourg Clocher. Peut-être y avait-il un commerçant ayant quelques objets rares et précieux. Le Géant se frailla un chemin entre les échoppe. Il entra dans une boutique appelée "Chez Loucia". Lorsqu'il entra, il du se pencher légèrement et faire attention où il se déplacerai pour ne pas se cogner au lustre. Un client se trouvait devant la vendeuse, une charmante jeune fille qui semblait douce et accueillante. Le client tentait d'acheter une sorte de sablier. La jeune fille regarda l'homme étaler sa monnaie et fronça les sourcils.

"Il manque deux milles rubis, vous vous moquez de moi? Vous croyez que parce que je suis une femme je suis écervelée?"

L'homme essaya d'intimider la jeune fille en sortant un couteau pointu. D'un geste incroyablement rapide, la vendeuse dégaina une casserole de sous le comptoir et frappa de toutes ses forces la tête de l'homme qui tomba au sol. D'un geste de la main, elle renversa les rubis.

"Sortez de ma boutique et ne revenez plus."

L'homme fit mine de ramasser ses rubis et saisit le sablier aussi vite qu'il put avant de foncer vers la sortie. Tout allait si vite que la vendeuse n'eut le temps de comprendre la scène que quelques secondes après. Le voleur courut vers la sortie tandis que Cylou s'appliquait à refermer la porte sans la faire éclater. Entendant les bruits de pas, il s'était retourné et avait frappé de son poing le ventre du voleur qui perdit instantanément conscience. Il récupéra ensuite le sablier et jeta l'homme hors de la boutique avant de refermer la porte avec douceur. Il s'avança alors vers le comptoir et remis le sablier aux mains de la vendeuse avant de s'incliner.

"Veuillez m'excusez pour le dérangement, mon nom est Cylou, enchanté de vous rencontrer."

Encore une belle matinée au Bourg-clocher! Cela faisait longtemps que Loucia n'avais pas dormi dans un vrai lit et le matelas bien moelleux de son amie Anju lui avais donné du panache.
En effet, le groupe des indigo-go faisait une retour plein de panache dans la cité, et cela aurait été une erreur de ne pas installer un stand pour l'occasion. Ainsi Loucia eût la bonne idée de demander à ses amis Roméo et Juliette de lui confier leur magasin le temps des festivités, et leur rendre leur magasin le soir pour installer une tente pour les marchés nocturnes.

Finalement, ce ne fût pas la meilleure des journées, il n'y avais pas beaucoup de clients mais cela était compréhensible, beaucoup d'habitant s'attelaient à monter la scène à la place du clocher pour la grande occasion.
C'est ainsi que Loucia se retrouva à écouter le baratin d'un de ces charlatans qui embobinaient les gens avec de belles paroles.

Mais la marchande avait du flair et refusa de suite de servir l'offre qui désirait un vieux sablier en cristal où y était gravé un symbole antique.

Loucia:"Il manque deux milles rubis, vous vous moquez de moi? Vous croyez que parce que je suis une femme je suis écervelée?"

L'homme fit mine de partir mais brandit une arme, Loucia attrapa alors le premier objet qui lui vint en main et le désarma avec une aisance déconcertante.

Loucia:" Sortez de ma boutique et ne revenez plus!"

La jeune mage rangea alors sa casserole, et fût surprise de ne plus voir le sablier sur le comptoir, l'homme commençaient à partir avec. Cependant un homme le stoppa et jeta l'homme hors de la boutique, il s'approcha alors du comptoir posant délicatement le sablier devant la marchande.

Cylou: "Veuillez m'excusez pour le dérangement, mon nom est Cylou, enchanté de vous rencontrer."

Loucia attrapa le sablier et le posa sur une étagère.

Loucia: " Ce n'est rien! Au contraire je ne saurais comment vous remercier, ce sablier est une ancienne relique appartenant au peuple des gérudos, il paraitrait que la déesse Din enferma un peu de son essence dans ce sablier pour figer l'époque où elle créa les terres arides, ainsi le sable s'écoule du sablier de la même manière que Din créa le désert."

La marchande eut alors un léger temps d'arrêt, puis afficha un sourire gêné

Loucia: "Excusez-moi, je failli à tout mes devoirs, puis-je vous être d'une quelconque aide?"

" Ce n'est rien! Au contraire je ne saurais comment vous remercier, ce sablier est une ancienne relique appartenant au peuple des gérudos, il paraitrait que la déesse Din enferma un peu de son essence dans ce sablier pour figer l'époque où elle créa les terres arides, ainsi le sable s'écoule du sablier de la même manière que Din créa le désert."

Intéressant. Peut-être avait-elle quelque chose de spécial?

"Excusez-moi, je failli à tout mes devoirs, puis-je vous être d'une quelconque aide?"

Cylou ne pouvait pas mieux tomber. Au vue de ses observation, si quelqu'un pouvait lui fournir ce qu'il cherchait.

"Eh bien, j'aurai voulu savoir si vous n'auriez pas un objet rare et magique. Voyez, je suis un guerrier fort puissant, mais lent et maladroit. Auriez vous un quelconque article ou une information sur un artéfact comblant de défaut-là?"

Il attendit la réponse de la marchande qui réfléchit avant de lui réponde, le laissant chercher des yeux parmi les articles et les étagères.

Cylou répondit positivement à la marchande

Cylou: "Eh bien, j'aurai voulu savoir si vous n'auriez pas un objet rare et magique. Voyez, je suis un guerrier fort puissant, mais lent et maladroit. Auriez vous un quelconque article ou une information sur un artéfact comblant de défaut-là?"

Loucia commença alors à se faufiler parmi les nombreuses étagères improvisées que lui avaient prêtés ses amis, elle observa un assortiment de masque, le masque du lapin était tout à fait approprier pour la rapidité!
...
Cependant, en jetant à nouveau un coup d'oeil au géant qui l'attendait au comptoir elle refuta l'idée, des oreilles de lapin auraient étés vraiment ridicule sur un homme aussi grand et puis elle douta sur les moyens de l'homme, un article sûrement trop cher.
Quelques minutes passèrent à nouveau et la marchand arriva avec une bouteille contenant une liqueur au teint orangé, le posant sur le comptoir.

Loucia: "Voilà, au meilleur prix que je puisse vous proposer, cette bouteille contient une mixture rendant plus rapide pendant un certains moment, c'est le meilleur que je puisse vous proposer! Ce n'est pas très pratique une fois épuisée et je ne garantie rien contre la maladresse, cependant il vous sera plutôt facile d'en demander à certains apoticaire, même si je pense que mon mélange reste le meilleur!"

"Voilà, au meilleur prix que je puisse vous proposer, cette bouteille contient une mixture rendant plus rapide pendant un certains moment, c'est le meilleur que je puisse vous proposer! Ce n'est pas très pratique une fois épuisée et je ne garantie rien contre la maladresse, cependant il vous sera plutôt facile d'en demander à certains apoticaire, même si je pense que mon mélange reste le meilleur!"

Une liqueur rendant plus rapide? Interessant. De plus, elle semblait vraiment doué pour ce genre de potions. Loin de vouloir envennimer la situation et jetant un regard à ses poches vides, il regarda à nouveau la marchande, priant pour que le ciel soit avec lui.

"Pour la question du paiement, je voudrai vous proposez quelque chose. Voyez, ma culture ne considère pas la monnaie et je n'ai donc rien pour payer"

La vendeuse fronça les sourcils, ce que le Géant avait vu maintes fois dans ce genre de cas. Il s'empressa d'ajouter:

"En réalité, nous accomplissons des services pour nous rembouser de nos dettes. Aussi ma proposition est la suivante: Auriez-vous des tâches à me confier? Peu importe le nombre ou la qualité, du moment que l'argent que je vous économise rachète le produit. Si mon travail vous conviens, vous pourrez m'offrir votre liqueur. Qu'en pensez-vous?"

Cylou tendit une main tremblante à la vendeuse. Elle hésita un moment et se décida à la lui serrer. Cylou attendit ce qu'il devait faire.

Cylou: "Pour la question du paiement, je voudrai vous proposez quelque chose. Voyez, ma culture ne considère pas la monnaie et je n'ai donc rien pour payer"

Rien pour payer? Le géant était donc venu les mains vides et avait cependant demandé un produit? Loucia prix cela pour une mauvaise blague et commença à froncer les sourcils, cependant le géant s'empressa de continuer sa phrase:

Cylou: "En réalité, nous accomplissons des services pour nous rembourser de nos dettes. Aussi ma proposition est la suivante: Auriez-vous des tâches à me confier? Peu importe le nombre ou la qualité, du moment que l'argent que je vous économise rachète le produit. Si mon travail vous conviens, vous pourrez m'offrir votre liqueur. Qu'en pensez-vous?"

Cylou tendait une main tremblante à la vendeuse, on pouvait vraiment lire sur son visage sa gène. Loucia laissa couler un blanc, pour le plaisir, puis serra la main du guerrier avec un sourire franc et amical, la marchande n'avais vraiment pas idée de ce qu'elle pouvait bien lui faire faire...

Loucia: "Et bien, le célèbre groupe des indigogo va faire un concert ce soir et je compte vendre dans la rue même. Cependant, malgré la superbe place que j'ai pût dégotter, je doute encore que mon chariot soit pratique pour mettre en valeur ma sélection spéciale pour cette soirée.

Un blanc s'installa alors que les yeux de la marchande brillait, Cylou ne semblait pas cerner ce qu'elle mijotait.

Loucia: "Vous me semblez plutôt fort et un minimum habile de vos mains, vous allez m'aider à monter un stand improvisé et sur mesure pour l'occasion! Viens, suis-moi!

La marchande partie vers la sortie, tournant une vieille pancarte affichant maintenant "fermé" aux personnes à l'extérieur du magasin, elle amena le géant dans le quartier opposé, une fois au pas de l'auberge, la givrée pointa son chariot.
Aux côtés de celui-ci se trouvait une pile de bois qui n'attendait qu'à être installé.

Loucia: "Bien entendu, il va falloir déplacer tout ce bois vers l'emplacement de ma vente, pour le matériel j'ai déjà deux ou trois hommes de mains qui doivent nous aider dans les installations. Tu te sent à la hauteur?"

Loucia: "Et bien, le célèbre groupe des indigogo va faire un concert ce soir et je compte vendre dans la rue même. Cependant, malgré la superbe place que j'ai pût dégotter, je doute encore que mon chariot soit pratique pour mettre en valeur ma sélection spéciale pour cette soirée.

Elle s'arrêta un instant, il voyait le problème, mais en quoi pouvait-il l'aider?

Loucia: "Vous me semblez plutôt fort et un minimum habile de vos mains, vous allez m'aider à monter un stand improvisé et sur mesure pour l'occasion! Viens, suis-moi!

Elle partit femer la boutique et l'emmena auprès de son chariot et d'une pile de bois.

Loucia: "Bien entendu, il va falloir déplacer tout ce bois vers l'emplacement de ma vente, pour le matériel j'ai déjà deux ou trois hommes de mains qui doivent nous aider dans les installations. Tu te sent à la hauteur?"

Cylou: "Oui, Madame."

Le Géant se pencha et ramassa la pile en une fois. Il y avait peut être beaucoup de bois, mais le poids était moindre pour Cylou. La vendeuse semblait un peu surprise.

Cylou: "Maintenant, guidez-moi jusqu'au lieu de ventes, s'il vous plaît.

Il voulut pousser le chariot en tenant le bois envoie un seul bras, mais Loucia le chassa et partit devant avec le chariot. Bien que l'endurance du colosse était légendaire, la jeune femme était vraiment rapide. Surprenant... Ils arrivèrent ensuite jusqu'à un coin de rue où du matériel était posé sur le sol. Les passant ne jetaient pas même un regard en direction des bouts de bois, des banderolles et des deux arrivants. Loucia se tourna vers le Géant.

Loucia: "Commences à monter le stand du mieux que tu pourras. Je te laisse ici, je dois aller chercher du matériel et les ouvriers qui te prêteront main forte. Tu peux commencer à travailler et à garder cet endroit en nous attends. A tout à l'heure!"

Elle s'éloigna ensuite en adressant un sourire au colosse qui commença à assembler le stand. Il travailla des heures durant à assembler des poteaux, aiguisant parfois le bois de son épée magique pour lui donner une forme satisfaisante. La banderolle de Loucia s'éleva bien haut en quelques heures de travail. Le Géant entreprit de commencer à monter le comptoir quand il entendit une voix l'appeler. Il se tourna vers la voix et vit Loucia arrivant en sautillant de joie, émerveillée par sa banderolle. Derrière elle, les deux ouvriers se hâtaient, le souffle court.