La Tour Des Dragons [PV Istomir]

Spoiler:

La journée qui suivit cette seconde nuit de débauche dans les bras du bellâtre nommé Istomir, un drow aux cheveux argenté, la belle Senja était rayonnante car elle était une femme comblée, malgré l'interdiction incroyablement douloureuse de mettre leurs amour au grand jour car c'était impossible de voir une femme de la haute société hylienne, héritière d'un empire finanier d'élevage de dragon pour les troupes du roi, demie-dragonne, reine de ses créatures qui tombait follement amoureuse d'un drow provenant de la sixième famille la plus puissante d'Outre-Terre, maître d'arme, quasiement imbatable au corps-à-corps et qui avait fuit à la surface. Leurs histoire défiait les limites de l'imagination, surtout depuis que la belle et incroyablement naïve Senja avait des ailes de dragon parant ses fines épaules. Mais le temps était venus aux amoureux, seigneur des profondeurs de la terre et souveraine des cieux, de se quitter. La belle demi-dragonne était assise sur la rembarde de son balcon, la lavande l'entourant alors que Istomir se enchait sur elle pour lui donner son dernier baisé avant leurs prochaine rencontre. Un baiser brûlant, passionné, insistant qui trahisait son goût de rester, son goût de lui faire l'amour de cette manière ni bestiale et sanguinaire comme Andalos Damnias, un accro à la douleur qui avait été la première fois de la belle et délicate guerrière mais non plus de cette manière délicate qui fessait de Senja une fragile petite poupée de porcelaine qui risquait de se fendre et briser sous la moindre de ses caresses comme le cadet de Andalos, Astadan Damnias. Istomir avait le meilleur des deux mondes, cette sensation parfaite, pile ce que le Trésor d'Altiméria recherchait. À mi-chemin entre le romantique délicat et le maître sanguinaire, il était l'incarnation parfaite dans un corps délicieux des plus fou fantasme de la grande et mince demoiselle blanche comme neige dont les ailes repliées dans son dos frissonaient.

-Istomir... Tu n'as pas à t'en aller si tu ne le veut pas..., murmura la demoiselle de son soufle court au creux de l'oreille de son amant secret.
-Je n'ai pas le goût....mais tu ne peux pas continuer d'aller chercher mes repas, faire nettoyer mon linge. Ils vont se douter de quelque chose, si ce n'est pas déjà le cas, répliqua l'elfe noir

Senja baissa la tête vers le sol de marbre du balcon, pensant rapidement à une idée qui n'éloignerais en aucun cas son amoureux d'elle. La cavalière voulait vaincre des sorcières comme avec Fernall, des canidés au pelage noir comme la nuit comme avec Sigma et l'autre homme... Quel était encore son nom ? Elle voulait se baignée nue dans le lac Hylia, chevaucher des dragons de mer, des dragons célestes, des tigre géants. Elle voulait une vie d'aventure et de combat sanglant, elle voulait voir La Tour du Jugement, où elle devait se rendre si elle voulait rejoindre les terres des dragons. Malheureusement, la salle des dragons du Temple du Feu était complètement bouché par des éboulis imbougeables. La visite astrale à mon paternel m'avais indiqué la Tour du Jugement, dans le désert complètement à l'ouest d'Hyrule, si je voulais atteindre rapidement la terre des dragons. Senja eue un éclair de génie. Elle releva soudainement la tête, plongeant ses yeux bleu acier dans les profondes prunelles lavandes de Istomir.

-Viens avec moi à la Tour du Jugement, Istomir, ce voyage physique et non astral que je dois faire vers mon père passe par le désert Gérudo pour atteindre les terres des dragons. Vient avec moi, mon oiseau de nuit. Je veut faire ce périple avec toi.

Un lourd silence pesa et comme si le vent voulait rendre l'air plus respirable et moin étouffant, il se leva doucement, glissant dans la lavande et sur la peau de Senja alors que cette délicate brise qui siflait tranquillement apportait aux sens olfactifs d'Istomir l'odeur de vanille et de lavande de la peau de la belle. Lorsque Istomir, qui s'était détaché de l'étreinte de la dragonne, reprit parole, il remit son capuchon en place d'un geste naturel et fluide. Senja protesta sur le coup mais se tue lorsque l'elfe leva une main pour la faire taire, sa voix résonnant sur le balcon du flanc du Mont du Péril.

-Senja....allons-y. Mais je t'interdit de retiré ma capuche comme tu m'interdit d'aller voir derrière ton armure., posa comme condition le drow

Pensant que c'était le moindre prix à payer pour êtr aux côtés de son prince charmant, Senja sauta au sol, posa un baiser papillon sur les lèvre du guerrier, entrant dans la cha,bre pour enfiler ses vêtements d'aventurière, cet ensemble qui ne restregnait en aucun cas ses mouvement. Elle attacha solidement le paréo, ce voile diaphane qui entourait sa taille et commença à s'armer alors que l'homme qu'elle aimait fessait de même. Le silence dérangeant était éfassé par la joie silencieuse de la cavalière, allégeant cette pression atmosphérique incroyablement opressante. La dame avait mis ses éternelles demies-épées contre ses cuisses et avait échangé sa combinaison arc/flèches contre son épée-bâton auquel Istomir avait redonné vie. Le poignard, jugé inutile et encombrant par la guerrière resta contre le mur du Trésor d'Altiméria. Lorsqu'elle sortis, elle était l'image même d'un ange salvateur. Une cape blanche de soie dissimulait depuis hier les ailes en membranes de la souveraine des dragons. Elle souria à son amoureux qui fut contraint de lui répondre tellement son bonheur débordant était contagieux. La belle embrassa une énième foit son amoureux qui était prêt et lui demanda, incroyablement sérieuse.

-Tu préfère la voie des airs ou celle de la terre, mon oiseau de nuit ?
-La voie des airs. On se sent si libre. Tu ne trouve pas?

Aussitôt, Célastra, fidèle et imposante monture, aparut sur le balcon sur lequel le couple avait reprit place. La souveraine des dragons monta à la suite d'Istomir, la cape de la belle calée sur le côté alors que ses ailes se gonflaient d'air frais en même temps que le destrier féminin. Le couple, accompagné par la lune comme un phare, montèrent au-dessus des nuages qui couvraient le ciel nocturne et la dragonne commença à planer pour pouvoir au moin endurer jusqu'un peu plus loin que le lac Hylia sans être trop à bout de force. Les vents siflaient aux oreilles du duo alors que Senja resserait ses bras contre la poitrine d'Istomir non pour se retenir car elle avait plus d'expérience avec la chevauché aérienne que son compagnon mais pour simplement le toucher et le tenir contre elle.

Célastra atterri au lac Hylia pour qu'elle puisse se reposer.

D'où vient ta dragonne? Je veux dire, quand est-elle devenu un compagnons? demandais-je en caressant les écailles de la dragonne, en espérant qu'elle le sente.....

- Je l'aie eue alors qu'elle n'était qu'un œuf. Elle n'as que quelques années, elle n'est même pas un dragon adulte. Les adultes on trois fois sa taille ! Oh et les frères Damnias m'ont offerts un œuf de dragon aux écailles noires à mes vingt-deux ans. Je l'ai toujours sur moi, il es pas encombrant et lorsque je serait prête, je pourrais le faire éclore mais j'avais pour objectif de le faire éclore dans les cieux ! *sourit* Et aussi de te l'offrir. La première année, il reste petit et il commence à grossir rapidement durant la deuxième et les suivantes. Célastra n'as que quarte ans, voilà pourquoi elle ne peut pas encore parler comme d'autres dragons

Que quatre ans?? Et....m'offrir...un dragon?????

- oui et oui ^.^

Je le préférerais bleu ciel, cyan si tu préfères...... Content

- Le dragon, ou la dragonne, qui sortira de l'oeuf portera les couleurs de ton coeur

**Hmmm...**

Senja se déshabilla...elle voulait prendre un autre bain nue.....?

- Allez viens. L'eau est très bonne!

Personne en vu.......j'y alla donc, nu aussi. Après quelques minutes, nous sortîmes de l'eau. Et je dis, sans y penser:

Senja. Te voir nu me donne le goût de te faire encore l'amour et te rendre heureuse.

- Pourquoi te retenir, mon oiseau de nuit ?

Parce que...nous l'avons fait il y a quelques heures....

- Oui mais ai-je dit que je m'en lassai?

La dragonne partit, nous laissant en intimité et nous refirent l'amour sur la berge. Après avoir tout les deux atteint...l'apogée, nous restâmes quelques minutes collés, à ce dire comment on s'aimait puis nous nous réhabillâmes. Je remis ma capuche, au grand désarroi de Senja, qui était rayonnante et heureuse. La dragonne revint peu de temps après.

Allons-nous faire ça souvent?

-Je l'espère bien. Ce fut si....parfait!

Peu avant qu'on reparte, des voix se firent entendre derrière nous.

Mais que vois-je? Senja Siranis d'Altiméria?

On a pogné le jackpot les gars! La rançon sera immense pour elle!

Ils étaient 6. Je me plaçai devant Senja.

N'essayez pas de toucher dame Senja ou vous connaitrez le courroux de mes lames.

- Mais Istomir, je ne vois en aucun cas pourquoi nous devrions nous émoustiller pour ses rats, ils ne valent même pas la peine que l'on les écoutes. Ils ne sont même pas un défi

Des surprises, il y en a partout. La preuve, je suis, tu sais ce que je suis, bienveillant. Ne jamais sous-estimer ses adversaires. Tes entraineurs ne le t'ont jamais appris?

-Oui, ils me l'ont appris mais il de toujours plaisant de provoquer des bâtards de l'ouest

La dragonne partie!? Bon...... Je sortie mes lames secrète fraichement aiguisés d'avant hier. Je vais garder mes cimeterres pour plus tard et les sortirais au besoin. Je regardais leurs armes. Un long sabre, une massue,une halbarde, deux épées moyennes, une longue épée ainsi qu'un archer. Je ne voulais pas laisser cet archer nous tirer dessus pendant qu'on se bat. Je lui tirai alors une balle dans la tête par surprise....mais pourtant d'une façon nonchalante. Les autres sursautèrent au coup de feu ainsi qu'en voyant leur archer s’effondrer comme une merde, mort au sol.

D'où venait se coup de feu!?

De moi. dis-je a remettant une balle dans mon pistolet secret

Mon espèce de....

Tu n'as pas à me traiter de quoi que se soit. Vous ferriez la même chose si vous le pouviez.

Ils nous foncèrent dessus. Malgré la taille de l'arme, ce fut celui avec l'hallebarde qui fut sur moi en premier, l'abattant, à la verticale, de haut en bas. Je ne fis qu'un pas vers l'arrière et l'hallebarde s'enfonça un peu dans le sol. Je donnais un coup de pied sur le manche pour l'enfoncer plus et plantai ma lame secrète gauche dans son cou alors qu’instinctivement, en même temps, je tirai une balle en arrière de la tête d'un autre. Après avoir terrassé les trois autres facilement, Senja tenta de rappeler sa dragonne, mais ne vint point.

Très loyal ta dragonne....elle n'est même pas revenu et ne réponds pas à ton appel.........

- Je ne comprend pas, je ne la sens même pas, d'habitude, même si elle en Termina, je la sens...

On fait quoi alors?

-On marche ^.^

..............sa vas être pénible dans le désert à pied....

-Je peut appeler Anarkia mais je ne crois pas qu'elle peut supporter nos deux poids. Elle a cinq ans seulement, elle n'as pas fini de grandir

Elle est déjà géante pour un tigre.......................

La guerrière essuya lascivement le sang d'un des hommes qui avait éclaboussé sur sa peau pâle, fessant un contraste morbide sur le corps diaphane de la douce cavalière. Celle-ci réajusta sur ses épaules sa cape blanche recouvrant ses ailes et commença à marcher vers la rivière qui s'enfonçait dans la pierre, sondant les profondeurs du lac. Un dragon des mers surgits de la surface lisse. Ses écailles noires comme la nuit luisaient sous les premières lumières de l'aurore. Senja, sans attente, sauta à la base de son cou, une bulle d'air l'enrobant pour lui permettre de rester au sec et respirer sous l'eau. Un second dragon marin apparut devant l'elfe qui suivit le mouvement de son amante. Les deux monstres marins foncèrent dans la rivière, remontant le courant fort qui hurlait aux oreilles des deux cavaliers, l'air marin et iodé enveloppant leurs voyage à travers l'eau, tout l'écosystème marin apparaissant sous leurs yeux alors qu'ils nageait avec des poissons remontant le courant eux aussi vers le désert, qui n'était probablement pas leurs objectif premier. Senja s'endormis alors qu'elle dépassait sur un rythme régulier une tortue de mer de forte taille. Lorsque la demoiselle rouvris les yeux, elle était allongée sur l'autre côté du pont de bois, sur la terre aride et brune de la Vallée Gerudo. En contrebas rugissais la rivière et à ses côtés, Istomir, les jambes pendant dans le vide, admirait ses cimetières. La jeune guerrière se releva et interpella son compagnon de quête en commençant à s'engager dans le chemin creusé à même la roche.

-Que connais-tu sur le désert, Isto ?
-Rien en fait...sauf que c'est très chaud, il y a du sable partout, certain qui veulent te "manger"
-Une chance que je connaisse les Gerudos ou on serait oubliés de se faire enfermer dans leurs forteresse

Avec le soleil bien installé, le duo traversa sous la lune de bois accueillant les visiteurs alors que les femmes gardes regardaient passer le duo de visiteurs inconnus sans bouger, reconnaissant la silhouette et la chevelure unique de la belle Senja. Une délégation de ce peuple étaient venus il y a quelques années à Altiméria et la petite avait rapidement noué une amitié durable avec ce peuple féminin. Le duo traversa le chemin, admirant les haut murs de la forteresse Gerudo mais passant leurs chemin vers la grille qui, à la demande de Senja, s'ouvrit pour laisser passer Istomir et le trésor d'Altimeria. Une garde remis des grappins à chacun des deux aventuriers, donnant pour seule explication "La mer de sable". Senja aurais plus qualifier cette étendue de sables mouvants un fleuve plutôt qu'une mer mais elle n'avais pas baptisé le désert alors elle se la fermait. Elle enfila agilement le grappin à son bras avant de s'aventurer dans le désert et se retour à des Istomir.

-Besoin d'aide ?

Il y avait du sable mangeur presque partout, il y avait quelque endroit où le sable n'était pas du sable mangeur. Et à ces endroits avaient des poteaux de bois planté. Après s'être servi du grappin, je dis:

C'est ben utile ces gogosses là!

Après l'avoir utilisé 3-4 fois, les poteaux disparurent pour faire place à des chemins de métals dont leur piliers semblaient toucher le fond des sables mangeurs. Il y avait une pancarte:

Citation :: Nous nous sentions vraiment "BS" (hrp: les Québecois vont comprendre xD) d'avoir seulement mise des poteaux pour éviter les sables mouvants donc nous avons décidées de mettre ses structures de fer pour traverser.

P.s: Évitez de mettre vos mains, si vous n'avez pas de gants, sur les rebords, elles brûles.

Nous nous mirent en marche. Cela semblait plus sûr que de passer par-dessus les sables mangeurs...euhhh...mouvants avec le grappin et de risquer de le lâcher. Par contre, il y avait certaine structure à-moitié engloutie, nous forçant à marcher en funambule sur les parties encore hors du sables et d'autres fois de sauter de partie à partie émerger. Le moindre faux pas pourrait nous être fatal. De ce fait, peut-être que le grappin était plus sûr...? Je regardai autour de moi. Du sable et du sable à perte de vu.

J'espère que la terre des Dragons c'est plus verdoyant que ça............et plus hospitalier.

La tour se voyait à l'horizon.

Lorsque la Tour du Jugement apparût, Senja crut tout d'abord à un mirage. Elle occilait sous les vents arrides transportant du sable du Désert Gérudo. La belle mis sa main en visière alors qu'elle avançait toujours parmis ces structures de fer. Elle était derrière Istomir qui venait de faire une remarque désoubligeante à propos de la terre des dragons. La jolie petite demoiselle haussa les yeux au ciel et continua sa progression. Le sable autour d'eux bougeait bien trop vite. Alarmée, Senja sonda le creux de ses sables et percut l'énergie d'un amphibien de bonne taille qui n'avait aucune ailes. Un reptile sans pattes non plus, un immense serpent. Mais mystérieusement, cette créature sanguinaire n'avais aucune intention hostile. Elle fessait même les créatures trop téméraires reculer, protégeant le duo. Le sang de la guerrière identifiait cette bête inconnue comme un dragon des sables. Sa vitesse de mouvement fulgurante était fascinante. La bête monta sur les sables, comme s'il ne s'agissait que de l'eau et glissa dessus avec aise. Senja pris son élan et sauta sur le dos de la bête qui grogna d'appréciation. Alors que Senja fermait les yeux et s'accrochait fermement à la bête, celle-ci se mouvait plus rapidement sur le sable, se dirrigeant inexorablement vers la Tour du Jugement. Assise sur le seuil de a porte de ce donjon en plein désert, Senja discutaient avec des serpent alors que Istomir gravissait les marches menant aux portes. Le soleil commençait tout juste à tomber.

-Nous devrions dormir ici pour ce soir, Istomir.
-En plein désert? Il fait hyper chaud pour dormir
-Crois-moi, tu n'auras jamais chaud la nuit, dans un désert. Nous allons entrer dans la Tour demain aux aurores.
-Si tu le dis...

Senja commença les préparatifs, détachant sa cape de coton pour l'étendre au pied d'un pied d'estal monté d'une flamme apaisante qui crépitait. Ses ailes craquèrent délicieusement alors que celle qui les appartenais les étendais largement. Les serpent du désert infestaient le sol au pied des marches alors qu'ils repoussaient tout visiteurs indésirable. La demie-dragonne était assise sur la rembarde du petit balcon, ses longues ailes l'enrobant comme d'une couverture auto-chauffante alors que la nuit dans le désert s'était bien instalé. Istomir dormais déjà. À contre-coeur, elle sortis de son cocon de chaleur et alla rejoindre son amoureux sur sa cape, utilisant ses longues ailes en membranne comme couverture pour couvrir son corps et le sien.

Avant même que le soleil ne soit levé, le duo un peu incongrus pénétrais dans la Tour abandonnée depuis bien du temps. La cape de coton de la jolie Siranis jonchait le seuil du grand hall où brûlait quatres flammes bleues magnifiques projetant leurs lumière surnaturelle sur les colones encadrant le hall. Senja, prenant le lead, entâma les marches, suspicieuse. La grille d'or était ouverte, les laissant passés directement dans la prochaine salle. Il y avait quelque chose qui clochait. Lorsque la belle posa pied devant la grille, celle-ci se referma immédiatement. Senja attrapa Isto et ils passèrent juste. La guerrière se releva et avanca vers la prochaine salle.

Nous ne pouvons plus sortir.

Senja ne répondit pas et avança. Je la suivis. On entra dans ce qui ressemblait à une salle de repos qui était surement pour les gardes, avant. Il y avait deux Stalfos.

Hé regarde!

Cool! Cela fait longtemps que je n'ai pas violé de prisonnière!

Tu ne peux plus violer et la prison est fermée....

Merde c'est vrai!! ARG !

..............

Ils sortirent leurs armes. Je sorties mes cimeterres. Je les mis en tas d'os vite fait. Mais alors que Senja allions poursuivre notre chemin, ils se reformèrent....

Attends....je suis toujours vivant?!

Putain...! Non nous le sommes pas.

Pourtant je parle toujours!

Cal**s! Depuis le temps que nous sommes comme ça, tu pourrais au moins te rappeler que nous sommes des morts-vivants sacrament!

..........................................................AH OUI C'EST VRAI!!!

..................

Comment je fais pour te supporter moi....!?

Ils commencèrent à s'engueuler. Moi et Senja leur donnèrent un coups de pied qui les firent tomber dans du sables mouvants. Il commencèrent à s'enfoncer.

C'est de ta faute!!!

Ma faute!? C'est toi qui n'est qu'un ost.......

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase. Cela faisait du bien au oreille!

Comment des squelettes qui n'ont plus leur cerveau ni même de muscles depuis bien longtemps font pour parler et se déplacer???

- Bonne question.

Nous entrâmes dans la salle suivante. Le pont ou la passerelle qui devait servir jadis à éviter de tomber dans le sable ou un gouffre, si il n'y avait pas de sable ici avant, était largement brisé au milieu. C'était trop loin pour pouvoir sauter par-dessus le trou, nous tomberions dans les sables mouvants. Fallait-il vraiment qu'il en ait partout!? Je vis un lampadaire au plafond. Si nous aurions une corde, nous pourrions l'entourer autour du lampadaire et se balancer pour atteindre l'autre côté. Je dis à Senja de rester et je retournai dans l'autre pièce. J'y trouvais une chaîne. Cela va faire l'affaire. Je retournai à côté de Senja et envoyai la chaîne qui s'entoura autour du lampadaire.

Tient-toi bien à moi.

Nous sautâmes. Je tenais fermement la chaîne. Nous atteignîmes l'autre côté du pont /passerelle. Je tirai sur la chaînes jusqu'à temps qu'elle se déroule et l'amena à moi. Elle pourrait encore servir. Il y avait trois portes de nous. Une devant, une à gauche et une à droite.

À toi l'honneur de choisir la porte.

Sans vraiment attendre mon accompagnateur, je suivit mon instinc qui me disait de toujours ouvrir tout droit devant moi. Mes pieds décolèrent du sol et se posèrent l'un devant l'autre en une course éfrénée que je ne contrôlait plus. Les ennemis avaient beau aparaître, avant même qu'ils n'aient le temps d'ouvrir la geugle ou leurs machoire décharnées, leurs têtes roulaient au sol sous le coup rapide de mes lames. Ce n'était plus moi qui contrôlait mon corps, je répondait à l'appel d'une pulsion qui se répendait dans mon sang comme un délicieux venin. Ma peau vibrait littéralement, manquant d'imploser à chaque tournant trop sec que je prenait, mes pieds glissant contre les dalles de pierre alors que je m'aggripais au mur pour reprendre mon élan, ne vérifiant pas si Istomir me suivait car je le sentait, dans mes os, dans mon coeur, dans mon âme. Il était derrière moi et il me suivrait jusqu'à ce que je m'éffondre car j'avait largement moin d'endurence que lui. Je grimpait quatre à quatre des marches démolies, ne fessant pas attention au goufre sans fin qui m'attendais si je manquait mes sauts assurés, dottés d'une agilité qui avait tout d'un animal. Non de la grâce sauvage d'un félin s'appretant à pourchasser sa proie mais de la violence tiré de l'agilité et la légèreté du vol sans efforts d'un dragon millénaire. Mes ailes me permettaient une stabilité sur les piliers chancelants inée. À aucun moment mon compagnon ne ralentis le pas. J'avais attéris en effectuant une roulade sur un palier dont le couloir qui menait à ce cul-de-sac était inexistant. Il était encore debout, au loin, inategnable. Et pourtant, si nous aurions voulus, nous n'aurions pas pu faire demi-tour. Et nous étions tombés sur un cul de sac. Mais pourtant, je regardais paisiblement Istomir me rejoindre sur la fin de ce couloir sans portes, me jettant un regard un peu inquiet, son soufle court me surprenant alors que je n'éprouvait aucun rythme cardiaque accéléré alors que le sien s'afolait.

-Tes yeux...

Je fronçait les sourcils sans comprendre et pris un morceau de verre d'une lucarne dont il ne restait que le fargement qui se tenait dans mes main que je fit refleter dans la lumière intense du soleil. Mes prunelles n'avaient plus rien d'humain. Les pupilles étaient désormaient verticales comme tout reptile et leurs couleurs bleu acier avaient pris une teine qui donnait des frissons dans le dos. Bizarrement, je n'éprouva aucune crainte, comme lorsque j'avais apercut mes ailes dans la glace de mon salon en Altiméria. Je fit valser le morceau de verre dans le vide et pourtant il glissa contre un sol invisible. Bingo. J'attrapa la main de mon amant et le guida sur se sol invisible, mes ailes prêtes à nous faire reculer si jamais je mettai sans le savoir un pied dans le vide. Nous atteignîmes l'autre partie du couloir, qui comportait qu'une porte, sans aucune peine si cela n'était que les oiseaux qui croassaient morbidement l'annonce de notre mort alors que nous marchions vers l'antre du mal incarné pour eux, la salle des dragons, condamnée quelques années après l'ouverture de la prison. Les informations me venaient dans mon esprit éveillé comme de l'eau coulant dans une rivière, comme si j'avais connus depuis toujours ses informations crutiales et importantes aux yeux de mon peuple. La porte elle-même était condamnée par des planches. Je m'effaca sur le côté du couloir et laissa Istomir s'occuper de la suite, sûre que il prendrais moin de temps que moi à enlever ses planches de la porte menant à la Salle des Dragons.

Je sortie un cimeterre et la levai au dessus de ma tête à deux mains, me préparant à abattre la lame sur les planches. Mais je restai planté là,comme ça, de nombreuses secondes. Senja me regardai, se demandant ce que j'attendais. Je bassai finalement ma lame et me tournai vers Senja.

Es-tu vraiment obligée d'y aller? Pour être franc, je ne veux pas que tu y aille. Regarde ce qui t'arrive. Des ailes qui t'ait sortie du dos et maintenant des yeux de reptiles. Vas-tu te réveiller un matin pis tu vas être devenu une vraie dragonne si sa continue!? dis-je, angoissé.

- Si c'est ce qu'il faut faire, alors je le ferais... Istomir, je suis sur le point d'apprendre ma vraie ascendance, ne serai-tu pas aussi excité que moi ?

En fait non, j'ai peur Senja. J'ai peur que tu deviennes une dragonne. Notre amour est l'un des plus impossible, mais là il deviendrait vraiment impossible.... Je t'aime. C'est vrai que tu es "juste" à moitié dragonne. Sa veux dire que tu vas être recouverte d'écailles!? Et quoi encore? Tu vas pondre au lieu d'accoucher!?

- Isto, peut importe qu'elle forme que j'aborde, je serait toujours Senja Siranis, ta belle et aimante Trésor d'Altiméria, non ?

Elle semblait vouloir essayer de se convaincre elle-même.....

La même......? Psychologiquement surement, mais c'est ton physique qui me fait peur.

Je m'approchai et embrassai Senja langoureusement.

Tu es parfaite comme cela. Bien que j,espère que tes yeux redeviendront comme avant, car il font un effet étrange sur ton magnifique visage, et cet effet fait peur aussi....

Elle ne répondit pas au baiser et regarda le sol.

-Mais je suis sure que si je ne traverse pas cette porte je vais le regretter...

Bon très bien.

Je retournai devant la porte et coupai les planches.

À toi l'honneur, je te suis.

Rep Isto

Senja baissa la tête dans un mélange de honte et de détermination alors qu'elle ouvrais en grand la porte d'un geste théâtral. Ses ailes repliés dans son dos frissonnèrent alors que ses yeux de reptiles s'élargissaient sous l'effet de la lumière du feu qui crépitait dans un grand bol en ivoire. Ce grand bol qui contenais des braises et un feu immortel était érigé sur une estrade au centre de la pièce gargantuesque circulaire dont les murs de pierres représentaient des dragons pourchassant des créatures mythiques, mettant à feu et à sac tout sur leurs passage dans leurs glorieuse lumière destructrice. Le bol était soutenus par quarte dragons dont les têtes étaient orientés vers les points cardinaux. Celui qui fessait plus ou moin face au duo était celui du nord. Le dragon de terre n'avais aucune ailes mais un corps fait pour les déplacements sinueux permis les hautes herbes ou, comme la vieille, dans les sables brûlants. Sa mâchoire inférieure gisait un peu plus loin en pièces, sa mâchoire supérieure toujours parée de ses crocs meurtriers fait pour déchiqueter sa proie en quelques secondes. La reine des dragons marcha vers la gauche, contournant l'estrade et la volée de marche menant au bol, se dirigeant vers le dragon des vents de l'est. Ce dragon-ci était encore plus menaçant que son confrère ses longues ailes supportaient le massif bol alors que ses pattes parées de griffes acérées étaient enfoncés dans le sol. Une grande partie de sa patte droite était absente et un vide séparais la patte du corps du reptile volant. Continuant son chemin, suivit par son amant de près, Senja se plaça devant le dragon du feu, celui qui représentait le sud. Sa peau craquelé donnait l'impression qu'elle était fait de lave, ce qui était le cas si ce n'était pas une statue. Il avait des ailes percés enflammées et sa tête était plus aplatie. Il était mince et extrêmement long, ses minces pattes un peut ridicule à côté du dragon de l'air. Il était ce que on appelais un dragon chinois. Finalement, le quatrième dragon, celui de l'eau, un puissant lévihatant compléta le quatuor des points cardinaux version reptile. Senja gravis les quelques marchés en posant naturellement une main sur la tête du dragon d'eau et de terre, penchant son buste au-dessus du bol, les flammes donnant une lumière malsaine et terrifiante à son visage angéliques. Pendant morbidement au bout de chaînes, l'autre moitié de la demi-sphère en or attendais que on enferme un malheureux dans la boule de braises pour voir s'il était digne des dragons. Comme une certitude qu'elle n'allait pas se brûler, Senja posa une main sur le métal brûlant mais ne se brûla pas et enjamba la sphère sous les protestations d'Istomir qui lui agrippa violemment les épaules. Senja perdus pied et glissa dans les braises ardentes. Alors que son frêle et magnifique corps était léché par les flammes et touchait le fond du bol, plus profond que elle aurais penser, le couvercle tomba sur son réceptacle et la chaleur s'occupa d'empêcher quiconque de soulever le couvercle, à moin que ce sot un dragon. Les cris d'Istomirs résonnaient creux dans la sphère qui contenais une Senja qui ne criais pas et ne ressentais la chaleur que comme une caresse apprécier ou une foyer après une journée enneigée. La seule chose qui brûlait était ses vêtements qui ne résistait aucunement aux flammes. Senja s'allongeât en boule sur les braises, se servent de ses ailes pour garder la chaleur contre elle et ferma les yeux. Sans oxygène, le feu s'éteindrait et les parois d'or de cette sphère refroidiraient rapidement. Mais autant qu'il y ait du feu, la demie-dragonne pouvait respirer, transformant se feu en oxygène comme les poissons transformaient l'eau en air. Le sommeil vint rapidement et le Trésor d'Altiméria sombra dans un sommeil bien mériter, le feu dénouant ses muscles et apaisant les maux de son corps car les maux de son cœur, c'était seulement celui qui se tenais hors de la sphère qui pouvait les apaisés d'une caresse, d'un baiser, d'un tendre mot murmurer dans la pénombre chancelante des bougies.

Alors que Senja tombais dans le bol d'or, les quatre dragons cardinaux s'animèrent. Le dragon chinois perça sa carapace de pierre et devint masse vivant de lave en fusion qui s'enroulant autour de la sphère. Le dragon de terre grimpa sur les chaînes et fixa de son poste d'observation considérablement en hauteur l'elfe noir, le lévihatant glissa au sol et se dressa sur ses pattes arrières devant Istomir, sa puissante silhouette le dominant sans problèmes. Le dragon aérien s'était écarté de la sphère et était sagement assis dans son coin, attendant la suite comme le chat qui guète la souris. La voix du dragon d'eau était d'outre-tombe et caverneuse, résonant dans l'entièreté de ses entrailles.

-Notre princesse peut facilement monter vers la terre des dragons mais qu'en est-il de son amant ? Tu as le choix, elfe noir...

Quatre portails se dressèrent devant le drow. Celui a l'extrême droite était un portail d'eau vivante qui représentait en couleur l'entrée de la Tour.

-Prend le portail de l'eau et sort de cette tour et tu oubliera tout sur les dragons et leurs princesse à demie-hylienne mais tu te rappelleras de Senja vaguement comme un souvenir lointain

Le portail de droite était une boule incandescente de feu qui représentait la maison d'Istomir en Outre-Terre. La voix juvénile et crépitante du dragon de lave s'éleva sans artifices.

-Le portail du feu te mènera à ton passé, tu oubliera jusqu'à ta montée hors de terre et tu pourrais sauver ton père

Le portail de gauche était un ramassis de poussière qui représentait derrière un Soul Caster souriant sur les berges du lac Hylia, la tête d'un mogoblin dans les mains. La voie du reptile de la terre était rassurante et paternelle, puissante mais réconfortante.

-La terre te mènera au temps ou tu n'avais même pas connus Senja

Le portail d'extrême gauche était des nuages blancs montrant le visage du père d'Istomir et les trépassés de l'histoire de l'elfe noir. Le dragon d'air ne pipa aucun mot. Le levihatan et sa voix creuse se dressa par-dessus les quatres portails.

-Préfère-tu sortir au pied de la tour sans souvenirs des dragons ?
-Préfère-tu retourner en outre-terre et peut-être sauver ton père ?
-Préfère-tu sortir d'ici sans souvenirs aucun de Senja mais continuer de vivre à la surface avec tes autres compagnons de quête ?
-Ou préfère-tu mourir ?

Les quatre dragons prirent forme hylienne et se postèrent devant leurs portails. Le dragon d'air était une magnifique ange avec de longs cheveux blonds comme les blés. Le dragon de terre était une Gérudo à la chevelure rousse. Le dragon de feu était un hylien à la chevelure de cendres et aux yeux bridés. Le dragon d'eau était un zora. Les quatre dragons étaient affreusement sérieux, impassibles, attendant la réponse du drow. Ils ne semblaient pas être dégoûter par le choix de leurs héritière. Pas tout de suite, en tout cas... Sur la sphère d'or de tenais une petite fille à la peau noire comme l'ébène et aux cheveux argentés d'où pointait deux oreilles pointues. Une elfe noire. Elle était silencieuse mais regardais Istomir sans expression mais elle ouvrit la bouche.

-Peut-être aussi veut-tu essayer nos épreuves pour suivre notre princesse dans la terre des dragons

-Préfère-tu sortir au pied de la tour sans souvenirs des dragons ?
-Préfère-tu retourner en outre-terre et peut-être sauver ton père ?

Mon père....

-Préfère-tu sortir d'ici sans souvenirs aucun de Senja mais continuer de vivre à la surface avec tes autres compagnons de quête ?
-Ou préfère-tu mourir ?
-Peut-être aussi veut-tu essayer nos épreuves pour suivre notre princesse dans la terre des dragons[/quote]

Je regardai la porte de feu. Mon père.... Je devais avouer que l'idée de le sauver est tentante.... Mon père qui m'avait sauver des mensonges et de l'endoctrinement de mon peuple. Mais je ne pouvais pas faire ça. Il n'y avait aucune garantie que je réussisse à sauver mon père, surtout que je vais tout oublier donc sa vas surement finir de la même façon. Et même si c'état le cas, je ne reconterais surement pas Soul pour la mission contre Danosso et après, sa soeur, Rhadia. Il n'arrivera pas à vaincre Rhadia seul, voire même Danosso. Et si tue Danosso, il ne pourra pas vaincre Rhadia seul, c'est une certitude, donc le futur que moi et Soul avons vu et empêchés arrivera... Non, les événements ce sont passés ainsi, je ne peux pas tout modifier, surtout car ces crétins vont me faire oublier! Je regardais la porte du Dragon d'air.

En gros, cette porte est un suicide gratuit? C'est quoi le but sérieux?!

Aucune réponse.

Et il y une 6ième possibilité: la porte derrière moi. J'ai juste à sortir.

Tu ne peux pas sortir

La porte est grande ouverte...

Ne franchis pas la porte

Pourquoi?

Tu ne veux pas le savoir

*T_T*

Bon très bien. J'affronte vos épreuves. Ce ne sera jamais aussi pire que ce Rhadia m'a fait subir, ohhhh sa jamais....

La fillette drow sauta sur ses deux pieds et tapa dans ses mains. Les quatre dragons colossal qui l'entourait formèrent rapidement un demi-cercle en arrière d'elle. La jeune elfe noire eue un grand geste théâtral remplis de dramatise et sauta au sol devant Istomir sans même tanguer. Les dragons qui avaient depuis un bon moment repris leurs formes reptiliennes en format réduit se posaient sur la silhouette de demie-portion de la mince et gracile elfe noire. Sur ses épaules, le dragon chinois de lave et le dragon d'air fixaient intensément celui dont ils devaient tester la valeur. Le dragon de terre rampait sur la jambe droite de la drow comme un bijou miroitant au soleil alors que le levihatant glissait littéralement sur la peau de la jeune fille. Ce qui était terrifiant chez cet enfant était trois perles de verre portant respectivement les emblèmes de Din, Farore et Nayru, les déesses d'or, qui tournoyaient autour de sa taille comme une ceinture d'astéroïde. Un quatrième globe, fait d'or représentait la déesse des cieux, Hylia. Les quatre globes tournoyèrent de plus en plus vite autour de l'elfe alors que les boules ne se distinguaient plus les uns des autres les dragons ajoutèrent leurs éléments respectifs et un grand portail mauve apparut devant les yeux d'Istomir. À l'intérieur de cette porte se trouvais une magnifique elfe blanche aussi jeune que la drow qui attendais Istomir dans sa robe blanche digne d'un mariage.

-Alors, tu viens ou non ? Je veux jouer moi !

Istomir franchit le portail qui se referma derrière lui. Il était au centre d'un cercle relativement large de galets blanc comme la neige. Le paysage qui les entouraient était, biensur, Outre-Terre, la ville de naissance et d'enfance du jeune Istomir. Des dragons de métal et des gardiens étaient dispersés un peu partout tout comme des boules de lumières et des baies lumineuses. Des fantômes se promenaient avec des lanternes qui éclairaient le sol et les patois des établissements qu'ils longeaient. La petite et pâle elfe regardait Istomir en dansant le long de la ligne.

-Bienvenu dans l'hypnéa des dragons, ser Istomir, je suis Aube, gardienne de la lumière et aussi jumelle de Crépuscule que vous avez rencontrer dans la Tour. Votre tâche pour gagner la confiance des dragons et prouver votre valeur est de remplir un réceptacle dragonnier de perles de lumières

La fillette se rapprocha de l'elfe noir et lui tendus un dragon en or pur dont les ailes, en anneaux étaient vides. Il devait il y avoir seizes anneaux ou plus. La mini elfe retourna à ses galets qu'elle dansait autour mais du côté d'Istomir. Il y avait une des perles de lumières non loin.

-Mais ne croyez pas cette tâche facile. Chaque perle ramassée gèle les gardiens mais pas pour longtemps. Un coup de leurs armes et vous êtes de retour ici à recommencer. Les fantômes que vous voyez en altitude, vous ne devez pas entrer dans leurs lumières ou ils activerons naturellement les gardiens pour vous attraper. Je serais toujours dans le cercle qui es un temp-mort à l'abris des gardiens si vous avez besoin de réponses à des questions

Sur ce, l'elfe sauta de l'autre côté de la ligne et disparue dans une pluie de plumes blanches. L'épreuve commençait.

Ma cité....Ventoborrazan. Comment ses dragons savais qui j'étais et où exactement je venais? Ben j'ai juste à demander.....

Comment vous faites pour savoir qui je suis et où exactement je viens?

La voix enfantine de l'elfe de lumière résonna de partout et nul part à la fois sans que je vois son enveloppe corporelle.

Les Gardiens savent tout, Istomir Dé'Arté. N'essaye jamais de mentir aux Gardiens car ils sentent la vérité et exhalent la vérité. Et tu transpire ton passé alors il es facile pour nous d'ouvrir la porte de ton esprit et y lire les ombres de ton passé sans laisser filtrer ton avenir. Oh, et nous avons décider de se divertir avec ta personne alors des anomalies qui peuvent te divertir et nous divertir dans l'hypnéa.

Je ne suis pas sûr d'avoir compris et quel anomalie...?

Je fis un test, je fis un pas hors de la zone sûre. À la seconde où je sortis du cercle/fleur, les gardiens prirent vie. Je reculai dans le cercle et ce fut comme si le temps était réinitialisé, les gardiens étant de retour à leur endroit de départ presque instantanément que je sois retourné dans la zone sure.

Y a-t'il d'autres zones sures comme celle-ci?

Non, c'est la seule. J'ai aussi oublié de te dire que si tu parviens à obtenir toutes les perles, tu dois revenir ici, même si tu es à l'autre bout de la ville et aussi qu'en ayant toutes les perles, ton temps ou les gardiens ne te pourchasses pas deviendra infini, mais tombe dans la lumière d'un fantôme et tu seras pourchassé sans pouvoir les arrêter puisque tu auras déjà toutes les perles.

Cette ville était énorme, il serait presque impossible, à moins d'être l'être le plus chanceux, de trouver les seize perles s'ils les ont cachées à des endroits au hasard, comme dans des maisons au hasard. Ils n'oserait pas....n'est-ce pas? Ils devaient bien en avoir cacher à des endroits qui me sont familier et les autres à des endroits un peu plus évidant. J'irais tout de suites chez moi, je suis convaincu qu'il y en a une dans la salle de ma mère (hrp: en quelque sorte salle du trone). Mais j'étais loin, 10min me séparait, et ce, dans le cas où les gardiens me forcerait pas à les contourner par 36 000 chemins. Je ferais mieux de trouver une perle avant d'y aller.

Je sortie donc de la zone et sans attendre, je me mis à courir et commença à rapidement à grimper le mur d'une maison. Un gardien arriva au pied du mur lorsque que je me hissai sur le toit. Je sautai sur un autre toit, puis un autre, voyant une perle devant la porte d'une petite tour. C'est alors que je vis une coupe de gardien atteindre les toits en sautant depuis le sol! Vith (f**k)!! Que je sois au sol où sur les toits, ils peuvent me suivre! C'est alors que je vis des lames commencer à passer à-travers le sol devant moi!?! Je freinai et je vis un gardiens différent léviter, ceux là vole et passe au-travers des choses! Maudit! J'esquivai ses lames et parvins à passer à côté de lui. J'augmentais ma vitesse grâce au peu de Soul Control que Soul avait eu le temps de m'enseigner. J'arrivai devant la tour. De nombreux gardiens arrivèrent soudainement,m'encerclant, mais j'eus le temps de prendre la perle avant qu'ils m'atteignent, les faisant disparaitre l'instant d'après. C'est là que je remarquai que les fantômes aux torches ne sont là que pendant les gardiens sont en mode passif. J'ignorais combien de temps durait ce répit. Je partis donc vers chez moi, ou plutôt vers mon anciens chez moi. Je restais le plus possible sur les toits. Je vis dans une rue une perle entouré par des fantômes qui tournai en rond autour. Je descendis sur la rue. je ne pris pas la peine d'éviter leur lumière pour prendre la perle car de toute façon, les gardiens seront réinitialisé. Ce fut après avoir pris la perle que j'évitai les lumières. En chemin vers ce qui fut ma maison, je trouvai 3 autres perles. Il y avait un fantôme placé devant la grande porte d'entrée, immobile. Je défoncerais bien une fenêtre, mais même dans l'hypnéa, il y avait ses épaisses grilles, sauf qu'il ne semblait pas y avoir leurs magies par contre, mais de toute façons, je ne pouvais pas enlever les barres, même si j'avais mes armes. Alors que je voulu passer à côté du fantôme et regarder si il y avait une autre entré, j'entendis sa lampe sonner. Je me retournai vivement et je vis qu'il venait dans ma direction!! Je me mis à courir, il me poursuivait! Même après 20m, je l'avais toujours au c*l!!! Bordel!! J'augmentai ma vitesse et éventuellement, finalement, je le distançai et il retourna lentement vers la porte. C'était le moment! Toujours en ayant ma vitesse augmenté, je le contournai de 10m et atteint la porte et entrai bien avant qu'il ne reviennent.

Fiou....enc**é!

Il ne devait pas rester longtemps avant que les gardiens ne reprenne la chasse. Je filais directement dans la salle de ma mère (cérémonie/trône/peut-importe). Comme je mis attendais, il y avait un perle en plein milieu de la pièce,MAIS IL Y AVAIT UN OS**E DE FANTÔME DONT SA CR**S DE LUMIÈRE EST SUR LA PERLE!!!! Je suis forcé d'être détecté, même si je prends la perle!!

**Ah ces enc**és de Dragons!!**

Je me souvenais que l'une des dragons gardiens avait dit que, ça l'air, qu'ils savent tout......

**Euuh....pas d’offense....**

Il y avait un gardien placé devant le bureau de ma mère, soit à environ 3m et demi-4m de la perle.... Ils courent plutôt vite, cela va être serré de sortir d'ici. J'augmentai immédiatement ma vitesse et fonça sur la perle, le gardien s'anima, je pris la perle, le gardien fut réinitialisé, mais se réanima immédiatement, car le fantôme était réapparue. Je me retournai sans attendre et couru et sortie de la salle, le gardien au c*l. En descendant le grand escalier, un gardien volant apparue d'en dessous des marches!! Le gardien derrière moi sauta pour m'atteindre alors que je me penchai pour éviter la lame du gardien volant. Juste avant que le gardien qui avait sauté me tombe dessus, je sautais à droite de l'escalier (le grand escalier n'est pas collé sur des murs à droite et à gauche). Je fis une roulade pour amortir ma chute et repris ma course. Je défonçais la porte d'entrée, pour me retrouver devant une armée de gardiens!!!!!!!!! J'évitai avec une précision parfaite, refusant d'échouer, de nombreuses attaques et je parvins à m'enfuir (en quelque sorte) dans la cour. Priant pour la clôture n'est pas sa magie dans l'hypnéa, je la grimpai, mais les gardiens sautèrent par-dessus. Je devais trouver une perle!!! J'en trouvai une après 2min de cette poursuite, qui me rappelais la fin du marais des morts. Je repris me souffle.

Je vis un peu plus loin une tour, avec une perle à son sommet. Mais la tour entière était entouré par une étrange barrière, m'empêchant d'aller chercher la perle. J'allai au pied de la tour et vis une petite ouverture dans la barrière, mais un chat.......un chat!? Ce devait être l'une des anomalies. Le chat bloquait ce trou, même si je le dégageai, je ne pourrai pas passer.... Je vis une étrange fleur sur un toit, un peu plus loin.

Spoiler:

J'allai la voir et lorsque je la touchai, je fut soudain recouvert de feu!!! Pourtant, je ne ressentis aucune douleur. Je remarquai que je pouvais lancer des boules de feu!? HEIN!?!?!? Je vais cramer le chat! Je retournai à la tour et mit le chat en feu. Miaulant de terreur, il alla dans la tour qui s'écroula!?!?!?!? Je n'eus pas besoin de fuir puisque la tour était tomber dans le sens inverse de où j'étais. Donc cette fleur de feu était là par exiprêt pour fouttre le feu au chat!?!?! L'effet de la fleur se dissipa. Je pris la perle qui était, comme par hasard, pas enfouis dans les décombres.

J'en trouvai une autre à Sargtlin-magthere, l'académie des guerriers. Bien sûr. (Hrp: désoler Senja, mais j'ai pu d'idée pour les autres perles). Tant de bien que de mal, je parvins à prendre les 8 autres perles et à retourner dans la zones de départ.

Et voilà! Et du premier coup!!

La jeune elfe de lumière, blanche comme neige, leva ses yeux luisants vers le guerrier. Elle jouait au solitaire avec des cartes à jouer dans la zone sans danger. Ses longues boucles blondes suivirent lascivement le mouvement lent de son visage lorsqu'elle se retourna vers l'elfe et appuyant pensivement un deux de cœur sur ses lèvres fines et blanches. Ses yeux examinèrent Istomir comme si elle pouvait lire son âme et ouvris la bouche.

-Alors nous sommes des en**lés ?, demanda innocemment la jeune elfe
-J'ai dis pas d'offense aussi, répliqua en souriant son interlocuteur

La fillette leva les yeux au ciel et se leva, ses cartes explosant dans un éclat de lumière alors qu'elle se débarrassait du jeu de patience et qu'elle avançait vers l'elfe adulte et qu'elle posait sa petite main gracile sur son avant bras.

-Bravo, Istomir, tu as gagné la confiance du peuple des dragons et l'estime des Gardiens
-Ce n'est pas comme si j'avais demandé votre respect. J'étais obligé de passer votre épreuve pour revoir Senja...
-Parlant de notre princesse, vous devriez aller la rejoindre avec les cinq autres Gardiens... Oh et Istomir ?
-Oui ?
-Ton feu ne peut s'éteindre que si toi tu laisse les autres arroser ta flamme

Sur ce proverbe mystérieux caché en conseil avisé, la petite Aube renvoya son hôte la où il avait entrer dans l'hypnéa avec un cadeau dans sa poche droite; une boite de velour blanche comme neige qui avait apparut sans que l'elfe ne s'en rendre compte. Crépuscule et les quatre autres Gardiens étaient sous leurs formes humanoïdes, penchés par-dessus la sphère d'or dont le couvercle avait été retiré par une des personnes présentes. En voyant Istomir, Crépuscule sursauta et le regarda d'un air incrédule, se reculant vers la seule porte de la pièce par laquelle Senja et Istomir étaient rentrés, s'y adossant en ayant l'air détendue malgré sa forme juvénile. Les Gardiens cardinaux descendirent de l'estrade en regardant solennellement le drow qui avait remonté dans leurs estime. L'elfe grimpa les marches menant à l'estrade avec appréhension, lentement mais sûrement. Lorsqu'il se penchât au-dessus de la sphère, il vit une Senja totalement hylienne, sans ailes et ni écailles de dragons. Il es à spécifié que les flammes avaient brûler ses vêtements. Toujours inconsciente dans les braises froides contre sa peau brûlante, l'hylien aux yeux bridés souris à l'elfe dont la chaleur intense de la sphère fessait suer et s'avança de la sphère, plongeant ses bras pour prendre comme un bébé une jolie hylienne à la peau diaphane qu'il venait tout juste d'extraire littéralement d'un four. Le zora s'avança en contournant avec précautions Istomir et posa une main sur la cheville de Senja, son corps ardent se recouvrant d'une mince pellicule d'eau qui fit tranquillement descendre la température corporelle de la femme. La Gerudo, aidée de l'ange, tissa une magnifique robe simple pour vêtir leurs princesse. La seule qui regarda le spectacle sans rien faire était Crépuscule qui n'aimait pas du tout la manière dont le drow regardait sa princesse. Lorsque Senja fut à une température convenable et habillée, elle fut remise encore inconsciente à son compagnon de vie alors que les Gardiens cardinaux ouvraient un portail et s'y engouffrèrent, suivit par le duo et, fermant la marche, une Crépuscule bougonneuse. Le portail donnait sur une chambre ovale qui comportait une bibliothèque, un sceau d'eau, un lit, une fenêtre aux volets fermer et aucune porte visible. Les Gardiens n'étaient nul part à être et Senja était toujours inconsciente. Sur un parchemin croustillant et s'effritant était écrit en encre écaillée et vielle d'une écriture toute en longueur et en frivolités un message de bienvenu à La Tour Des Dragons, dans la cellule 900-R. Cette aventure commençait bien...

Mais qu'est-ce que!? Qu'est-ce qu'on foutait dans une cellule!? Surtout qu'il n'avait pas de porte visible...! Attends....la tour du jugement était fermé depuis des lustres non?? Alors pourquoi tout d'un coup l’endroit semble comme neuf? Le portail, nous a renvoyer dans le passé??? Je couchai Senja sur le lit et avala la moitié du seau d'eau, l'épreuve m'ayant assoiffé. J'avais envie de boire le seau au complet, mais peut-être que Senja en voudra. Je m'assis sur un chaise et patienta qu'elle se réveille.

------Un peu plus tard------

Senja se réveilla. Je l'aidais à s'assoir.

Sa vas? Qu'est-ce qui t'es arrivé?

La chaleur était si accueillante et si moelleuse que m'y suis assoupie et j'ai eue un étrange rêve... Où sommes-nous, Istomir ? Cela ne ressemble en rien au désert Gérudo ou à la Tour du Jugement...

En fait si cela ressemble à la tour du jugement, mais dans le passé....

Qu'est-il arrivé pour que nous soyons propulsé dans le passé d'Hyrule ?

Les dragons m'ont fait passé un test pour voir si je méritais leur confiance. En fait, j'ai fait le test car j'étais obligé de le faire pour te revoir. Après l'avoir réussis, ils nous ont fait traverser un portail.

Interessant... Alors le pays des dragons serait en fait situé dans le passé ?

Ou sa existe juste pas, c'est une métaphore?

Comment peut-tu dire que cela n'existe pas si tu peut le voir de tes yeux, l'écouter avec tes oreilles, le sentir avec ton nez, le goûter avec ta langue, le sentir avec ta peau et le ressentir avec ton cœur ?

Car c'est le passé....? Ou peut-être pas. Peut-importe.

Je montrai à Senja le seau d'eau.

En veux-tu? J'ai déjà bu la moitié, mais si tu en veux pas, je vais boire le reste. L'épreuve m'a assoiffé.

Sert-toi, je suis tarie comme l'eau d'une rivière à marée basse sur les berges d'un fleuve

Après avoir quasiment calé l'eau, je cherchai un sortie, un passage secrète, une porte caché, n'importe quoi! Après un moment, je demandai à Senja de débarquer du lit. Je poussai le lit y découvrit une trappe en dessous.

Allons-y

Les hommes d’abord

Hein? C'est pas les femmes d'abord?

Oui, mais là, qui sait s'il y a des pièges.

Nous descendirent une échelle. Un tunnel de 10m de long était en bas. Puis une autre échelle.... Mais qui montait...au plafond? Je poussai le plafond qui se révéla être une tuile sur un plancher. Nous sortîmes dans une salle qui ressemblait à un gymnase. Je sentais quelque chose dans ma poche. Je sortie une petite boite. Ce n'était pas à moi..... Lorsque je l'ouvris, plusieurs personnes entrèrent dans le gymnase, ressemblant clairement à des gardes.

Des détenus tentent de s'enfuir!

Je lâchai la boite pour prendre mes armes. La boite, lorsqu'elle entra en contact avec le sol, s'ouvrit et un collier en sortit. Lorsque les gardes virent le collier, arrêtèrent de courir vers nous pour nous attaquer et me saluèrent comme les militaires saluent leurs chefs!? Cela me rappelle lorsque j'étais en Outre-Terre.

Lorsque Senja avai plonger dans un sommeil dans la chaleur ardente des braises et des flammes de la sphère d'or, elle aussi avait vécue de son côté une expérience. Elle n'était pas comparable ou identique à l'hypnéa ou le choix d'Istomir car elle avait vécut quelque chose de carrément différent. Elle avait ouvert les yeux sur un jardin florissant magnifique, gorgé des plus belles espèces végétales. La princesse des dragons était assise sur un banc en fer forgé, embrassant du regard le jardin encadré par de haut murs blancs. Elle était vêtue de voiles diaphane magnifiques qui étaient de toutes les différentes teintes de bleue, mettant sa silhouette gracieuse sous une forme plus fantomatique mais toujours aussi belle. Ses longs cheveux étaient remontés en un chignon compliqué et décoré d'un diadème en argent. Elle était pieds nus et avait un livre à la couverture en cuir dont les pages en parchemin étaient craquelantes déposé à ses côtés sur le banc. Son père apparut derrière des vignes dont les raisins de cristal scintillaient sous la lumière du soleil. Il était toujours si bel homme et jeune que lorsque Senja lui avait rendus visite avec Moon Shadow la dernière fois. Sa mâchoire carrée, ses vêtements simples mais nobles, sa carrure assurée, sa démarche noble, tout de lui respirait la royauté et le respect. Il marcha vers sa fille unique, héritière du trône dragonnier, et posa le livre sur les cuisses de sa fille avant de prendre place à ses côtés. Sans bruits, il ouvrit le livre qui craqua sous ses gros doigts et l'encre diluée par le temps d'écriture gracieuse annonça Mémoires d'Un Roi Dragon. Senja posa ses fins doigts sur les lettres allongés et ressentis l'encre millénaire, pour le peu qu'il restait, comme une douce caresse visqueuse solide. En regardant le visage souriant bienveillant de son père, elle tourna la page.

Elen a donnée naissance à une magnifique petite fille. Elle es une vraie perle, une beauté innocente. Cela me détruit de devoir la laisser à sa mère pour qu'elle l'élève avec son mari en Hyrule, Dorion Siranis. Elle porteras le nom de famille d'un homme qui n'es pas son père et aura un prénom d'Hyrule. Au moin, elle vivra au Mont du Péril, en Altiméria comme une vraie courtisane. Les enfants dragons, lorsqu'ils vivent avec la communauté, meurent lors du Changement ou deviennent des dragons silencieux. C'es pire avec les demi-dragons comme ma nouvelle-née, elle a encore moin de chance de survivre au changement. Pour sa survie, je me doit de l'envoyé avec sa mère en Altiméria. J'aurais aimé garder toutes les deux ici mais pour la survie d'un enfant, de mon enfant, je dois faire une croix sur la fréquentation de cette cavalière de dragons silencieux jusqu'à ce que ma fille atteigne l'âge adulte. Je compte les jours d'ici là. Ici, elle serait nommée Sedjarasma Acropolis de la maison du Cristal. Elen a dis qu'un tel nom ne colleras pas avec la culture de son pays alors elle se contenteras de Senja Siranis.

Liam ou plutôt le Roi Liamdastaulian Acropolis de la maison du Cristal hochât la tête, la broussaille de ses cheveux blonds suivant le mouvement. Sa fille, Sedjarasma, lui souris et tourna la page, découvrant des confessions de l'homme pendant des années durant concernant Elen et Senja, les deux femmes de sa vie, pour reprendre ses mots. Les années passèrent avec les pages qui tournaient rapidement sous les doigts agiles et avec une précision chirurgicale. La lectrice, sous l'oeil surpris de l'homme qui l'accompagnait, cherchait un événement clé qui s'était passer pendant l'été alors que elle était encore une enfant. Elle trouva rapidement l'événement et les trois pages de confessions ornés de parties gondolés où l'écrivain avais laisser couler ses larmes. Le titre de cette confession portait le prénom de la dulciné du roi et deux séries de nombres. Les pages témoignaient du désespoir sans bornes de l'écrivain lorsque la femme qui l'aimait avait perdue la vie par un dragon silencieux lors d'un vol qui avait mal tourné et de son idée d'aller chercher lui-même sa fille pour ne pas qu'il lui arrive la même chose. Mais lorsqu'il avait poser les pieds sur son balcon, il avait entraperçu une scène qui lui brisa le cœur. La magnifique fillette qu'était devenue sa fille, toute en grâce, en douceur et en délicatesse était sous de lourds draps et parlait à voix couvert comme un tombeau à un homme mature qu'elle appelais papa et à qui elle disait "je t'aime" et pour qui elle souriait malgré sa peine et pour qui elle jouait d'un violon en bois peint bleu, instrument qu'elle avait troqué contre les lames tranchantes des épées. Le cœur brisé et la queue entre les pattes, le grand roi Liamdastaulian retourna dans son palais au cœur de la Terre des Dragons.

Les pages qui suivirent étaient d'une autre écriture qui témoignait à la place du roi de sa réclusion, de sa dépression et de son absence de plus en plus fréquente lors des grand événements et après, sa disparition totale de la vie sociale et politique des dragons jusqu'à ce que deux femmes fantômes lui rende visite. L'une d'elles était une adolescente et l'autre était plus vielle, dans la vingtaine. La lectrice de ses lignes ne venant pas du roi identifia ses deux visiteuses astrales comme elle-même et Moon. Quelques pages plus loin, l'homme reprenait apparemment sa plume et sa place dans l'actualité. L'annonce de l'arrivée d'une héritière ébranlait tout les murs de la citadelle, fessait trembler les eaux des Îles Solitaires et fessait crier les dragons des Tribues Sauvages. La Terre des Dragons festoierais l'arrivée d'un nouveau monarque. Le journal disparu des mains de la jolie demoiselle dont les yeux étaient toujours verticaux et jaunes puis que le dos était toujours paré de longues ailes. Son paternel lui pris la main, sans mots et l'entraîna au centre du jardin. Il pris son élan, sauta sur un banc avec puissance et se transforma dans son saut en une magnifique créature. Le reptile avait des écailles en cristal reflétant les rayons du soleil et ses ailes en fine membrane du même matériaux cristallisait les nuages moutonneux. Il rugit et Senja tomba sur les dalles de marbre du jardin, prise de terribles soubresauts. Sa peau se parsemât de poussière de cristal alors que son dos se cabrait sous la douleur du premier changement. Ses ailes s'allongeaient encore plus, arrachant un cri à sa gorge dont la geugle changeait de forme et dont les dents s'allongeaient et s'aiguisaient. Quelques douloureuse minutes de torture physique plus tard, se tenait dans le ciel du jardin astral deux grands dragons en cristal volant sous la voûte étoilée. Senja traversa les étoiles et ouvris les yeux dans la Tour du Jugement version ancien. Elle n'avait aucune idée où ils étaient parce que lors du voyage avec Moon, elle n'avais vu que le palais de la Terre des Dragons. Lorsqu'elle vit Istomir, elle avait presque voullus lui sauter au cou mais son air grave refréna son geste. Elle remarqua qu'elle n'avait plus d'ailes. La salle circulaire était en fait une cellule. La princesse s'étira longuement en répondant aux répliques de son compagnon, sentant des os dans son corps qui n'y étaient pas avant. Lorsque l'elfe poussa le lit imposant et dévoila une trappe, la demoiselle l'invita à descendre. Elle était encore désorienté de l'expérience qu'elle venait de vivre et ne pensait pas que c'était très utile sur le moment de déconcentrer son amoureux pour lui annoncer qu'elle avait virée dragon dans un rêve. Lorsque les gardes les hélas de manière pas très chaleureuse et passive, Senja avait porté instinctivement ses mains à ses armes qui étaient manquantes. Surprise, elle se laissa distraire et ne remarqua pas le collier ou les gardes qui saluaient solennellement comme des soldats l'elfe. Je dévisageât l'elfe en question.

-J'ai manqué quelque chose ?

J'aurai espéré que tu me répondes....

Pourquoi me saluèrent-ils? J'ai vraiment manqué un bout. Senja aussi il semblerait. Il fallait dire aussi que les gardiens Dragons avait disparue, sans nous donner d'information. Je me penchais et pris le collier. Je me redressai. Les gardes étaient toujours plantés là, me saluant. Il attendait que je leur disent d'arrêter?

Euuh...repos?

Effectivement, c'est ça qu'il attendait. Cette journée n'en finissait pas, surtout que je n'avais aucune idée de qu'est-ce qui ce passait. Ce voyage à la tour du jugement dont on pensait ne serait que pour Senja puisse savoir la vérité sur elle est devenu un véritable bordel incompréhensible. Elle qui se ramasse dans une boule, les dragons qui, pour le fun, prennent forme humanoïdes et me "force" à passer une épreuve et maintenant, on se ramasse ici sans explication que ce soit. Un véritable bordel incompréhensible dont j'espère va bientôt devenir compréhensible avec une explication claire et précise de qu'est-ce qui ce passe depuis qu'on est dans la tour!!! Depuis le début, j'ai suivi Senja, mais j'aimerais savoir ce qui ce passe.

Je tendis le bras tenant le collier, le tenant dans ma main de façon à ce que les gardes la voient comme il le faut.

On peut bien savoir ce qui ce passe ici? Car je comprends plus rien, déjà que je ne comprenais pas grand chose. On est allés dans la tour du jugement, j'ai dû affronter une épreuve des "gardiens Dragons" ou je ne sais quoi. On a passé un portail pis on est apparue dans une cellule, les gardiens Dragons étaient nulle part. Et maintenant vous me saluez après avoir vu ce collier dont je n'avais pas plus tôt...! C'est quoi ce bordel!? Oh pis les gardiens Dragons on dit qu'elle était leur souveraine.

Istomir, calme-toi, tout ne se règle pas par la bagarre. Messieurs ! Approchez, ordre de votre prochaine souveraine!

Ils rirent de Senja, je frappai le garde le plus proche qui tombait par-terre.

Ne riez pas d'elle!

Il répondirent tous: "Oui monsieur!"

J'ai dis quelque chose de drôle ? Istomir ? Ai-je compter une blague sans m'en rendre compte ?

Non je ne penses pas

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