L'arrivée

Qui sais, et surtout elle ne m'a pas dis sont nom et elle s'est enfuite, de toute facon je ne vais pas laissé des personne se battre sans reagir.

Rolala dans quoi est-que je me suis encors fourré moi?

Herms pris sont arme et courru dans les escalié suivi de Divel.

Arrivé en bas il vis la salle ravagée et entendi des bruits dans la rue.

Si cette serveuse continue a nous posé des problemes sa va mal se finir...
J'espert que le sang n'a pas trop coullé en attendant.

Le chaos était maître dans le bar. Meubles, rideaux et verres n'étaient plus que poussières et décombres. Des corps par-ci par-là jonchaient le sol. Etaient-ils morts ? Uryan n'en savait rien, mais les voir dans ces postures de pantins désarticulés suffisait à vouloir les venger par le sang.

Elle marcha près d'eux, prenant le plus grand soin d'éviter d'écraser un de leurs membres par son poids. Mais elle s'arrêta rapidement, près du comptoir recouvert de débris. Trois individus seulement étaient à l'origine de ce massacre. Tous le visage couvert de masques sombres. Des hâbits épais et des capes aussi ténébreux que leurs intentions. Uryan les distinguait de façon floue or, elle pu remarquer qu'ils n'avaient pas d'armes, ni dans leurs mains ou leurs dos. L'un deux tenait une victime par le cou, son corps pendant lamentablement.

- Mirabel, non !!

Elle ne bougeat pas. Des questions surgirent en elle.

* Comment on-tils pu être la cause de ce désastre sans aucune arme ? C'est impossible. A moins que... *

C'est avec horreur que cette hypothèse de magie lui traversa l'esprit. A mauvais escient cela pouvait donner de grands carnages, tout à fait comme celui-ci.

- Qui...

Sa tête tournait, ses yeux se fermaient par moment. Que lui arrivait-il ? Uryan ne se posa pas la question plus longtemps et secoua la tête, dans le but vain d'éclaircir au mieux ses idées.

- Qui êtes-vous ? Pourquoi... Quel est votre but à faire ça ?

Voyant qu'il ne répondait pas elle prit toutes ses forces en main, serrant plus que jamais la garde de son épée.

- Je ne vous laisserais pas tuer d'autres innocents, sales monstres ! Ordures.

Sur cette injure enragée Uryan se lança à l'assaut du trio. Quand une voix de femme se posta de toute sa force.

" Toujours aussi téméraire à ce que je vois. "

Le masque dans la main droite et la gauche toujours serrant le cou de Mirabel.

- Eroraf ! Mais... Qu'est-ce que tu fais là ?!

La femme en question, d'une chevelure de feu et longue dressée en catogan balançait rageusement le corps de la serveuse sur le côté, se mit soudainement en colère.

" Ne dis pas mon nom avec autant de légèreté ! Cela fait bien longtemps que tu n'en a plus le droit... grande soeur. Et puis d'ailleurs ce n'est plus mon nom. Désormais on m'appele La pourpre. "

Elle regarda autour d'elle comme si elle venait d'arriver sur les lieux. Puis son regard se posa durement dans celui de sa soeur.

" J'imagine que maintenant tu sais pourquoi on me nomme ainsi. "

Cette fois ce fut le coup de grâce. Uryan tomba, les genoux claquant durement au sol. Son épée alla se perdre, glissant jusqu'aux ténèbres des restes d'une armoire.

Tout autour d'elle perdait de sa réalité se mélangeant au rire guttural de sa soeur.

Herms arriva dans la salle en courant, l'arme a la main.

Qui est tu? Pourquoi avoir tué autant de personne?
Je ne veut pas me battre mais je n'ai nul raison de laissé s'echapé un meurtrié

Si elle a tué toute cette salle je doute qu'elle se laissera arreté.

Mais bon je n'ai pas a me faire de sousi je suis pas seul et ce ne sont pas mes histoires.

Il saisi la serveuse par le coup et la releva.

Ecoutez je ne vous connais pas je ne sais pas se que je fais ici et je veux des explications... Je vous aide a vous débarassé d'elle et en echange vous m'expliquerais se que signifie tout sa...

Herms pris sa dague et la jetta devant les pieds de sa nouvelle enemie puis il courru vers elle en preparant un enorme coup d'épée.

Sob'stain, aide moi.

Eroraf esquiva en sautant en arrière

Herms la loupa de pres et son arme reya le sol au pied de son enemie.
Lachant sont arme il donna un coup de pied dans sa dague planté peut avant dans le sol. Elle fonça droit sur Eroraf et arriva contre sa main.

Une lumière violette la repoussa et elle alla transpercer un meuble non loin.

Ma dague a rebondi? De la magie... Mais a un niveau surprenant.

Eroraf envoya une salve de quatres boules magique sur Herms qui, pour l'evité s'acroupi. L'une des boules magique lui toucha la mains gauche il serra les dent pour ne pas hurlé.

Pui, profitant d'être a terre, il recupera sont épée de sa main valide et donna un coup vertical de toute sa force.
A nouveau Eroraf recula et esquiva sont coup.

Tam's air
Au moment ou l'arme toucha terre une lame violette transparante apparu et continua devant la lame.

Je ne sais pas qui tu est mais je connais aussi la magie, du moins, un petit peu.

Moins d'une seconde plus tard il n'y avais plus personne contre le mur, l'unique trace d'un coup d'épée tracé contre le mur temoigné du combat qui avais eu lieu quelque seconde au paravant.

Mince elle c'est enfuie. J'ai reussi à la blessé légerement à la main au moment de sa fuite mais ce n'étais pas suffisant pour l'arretée.

Herms lava son arme sur sa tunique puis en dechira un morceau pour bander sa main. Puis il alla recupéré sa dague.
Il s'approcha de la serveuse.

A toi désormais. Tu me dois des explication et des escuses pour se que je vien de subire. Ainci que des soins si tu en est capable... Ma main me fais encors mal et je ne connais pas les blessures magiques.

Les questions et autres choses glissaient sur elle. Rien ne parvenait à percer cette nouvelle torpeur provoquée par l'appariton d'Eroraf.

Uryan se revoyait main dans la main avec elle. A peine plus jeune qu'elle de cinq années, Eroraf était beaucoup plus pleine de vie que son aînée. Elle respirait et insufflait la vivacité. Elle avait beau être la plus jeune des soeurs de Uryan, c'était elle qui avait le droit aux plus forts des louanges. Uryan et Enid -la plus jeune de ses soeurs- restèrent ainsi dans l'ombre de cette petite flamme sur pattes. Malgré cela, la guerrière l'avait aimée, s'accrochant à elle comme la dernière feuille de l'été résiste aux affres de l'automne. Eles étaient toutes unies et s'aimaient jusqu'a ce que la mort les séprarent. Pas la leur, non. Mais celle de leurs proches et parents.

Depuis et progressivement, leur amour fraternel s'effilocha pour ne plus être que des lambeaux éparses.

Eroraf avait quitté Uryan dans un village, la convainquant qu'elle pouvait se débrouiller seule, sans être constament "épiée" par sa grande soeur. Le peu qu'elle avait entendu d'elle, Uryan apprit qu'elle était dans le commerce de masques. Rien de plus.

Le groupe de soeurs unies qu'elles étaient s'était totalement fragmenté. Plus rien n'en subsistait et jamais Uryan ne pensait revoir ni l'une ni l'autre. Du moins jusqu'à aujourd'hui.

Sa soeur était devenue une meurtrière, profitant de ce fait, pour se construire une renommée. Ses mots étaient durs mais moins que le ton qu'elle avait employé pur s'adresser à elle. Ses prunelles rouges et haineuses plantées dans celles d'Uryan. Et ce sourire comme amusé par ces actes.

Ce n'était plus qu'un monstre d'aversion.

* ... Aboutir à cette chose... *

Ce fut l'odeur du sang de nouveau versé qui ramena Uryan à la réalité. Ses yeux suivirent d'où cela venait. Elle vit la trace d'une brûlure supureuse sur la main que lui tendait un homme, comme en signe d'aide.

Distraitement et sans savoir pourquoi, Uryan posa sa main devenue glacée sur la blessure. Un frisson parcoura son corps pour passer à celui de l'homme. Elle stoppa juste au bon momnet ce contact physique.
La brûlure avait disparu. Or, la guerrière observait d'un air perturbé celui qu'elle venait de guerir, ignorant une fois de plus la question qu'il lui posait encore à propos de son identité.

* Qui est-ce ? *

Mais tout lui revint aussi rapidement. L'arrivée de deux nouveaux clients. Une dispute avec l'un au sujet de la salle de bain. La chambre. Le réveil. Puis Mirabel qui...

Elle se leva d'un coup, cherchant le corps de son amie. Oui, car maintenant elle savait, c'en était une.

Près des restes d'une poutre elle entrevit un morceau de chair entouré d'une couleur orangée. Uryan se jeta dessus. Mais elle avait beau y faire, le corps restait inanimé. La vie l'avait quitté emportant tout avec elle. Un scénario qu'elle avait déjà vu une fois, c'était pourtant suffisant...

Alors elle prit son amie dans ses bras et se releva ainsi, restant immobile, les yeux posés dans ceux devenus laiteux de Mirabel. Tout ce qu'elle savait c'est qu'elle ne supportait pas de la voir au sol, sans vie.

Les larmes ne coulaient pas. L'irréalité de la scène lui semblait tellement impressionnante qu'elle ne pouvait pleurer.

Herms regarda sa main, stupefait puis s'aprocha de la serveuse.

Elle est morte, elle ne reviendra pas. Ne reste pas a t'apitoyé sur son sort, les morts ne revienne pas et les pleurer ne changera rien, tu est encors en vie toi et si je n'étais pas intervenu tu aurrai pu perdre sa aussi.

Elle est sous le choc, je ne sais pas pourquoi je l'ai aidé mais je l'ai fait, je dois le faire jusqu'au bout. Et elle n'est pas une serveuse normal, elle a sorti des armes devant nous je ne sais pas qui elle est mais seul elle poura m'expliqué tout cela.

Herms s'agenouilla et passa le bras sur l'épaule de la serveuse.

Tu ne veut pas repondre a mes questions? Il ne sert a rien de continué a la regardé. Laisse la aller en paix.

Elle ne reagis pas? Je ne suis pas abitué a se genre de situation, que faire?

Herms se leva et posa une planche sur le cadavre de Mirabel puis pris une torche et y mis le feu.

Voici des funerailles pour ton amie, ainci tu saura que sont ames et libre et que son corps est retourné a l'état de cendre.
Il fut un temps ou la paix regnais partout. Mais les assasins devienne nombreux et ce n'est pas en restant clouer au sol que tu aidera quelqu'un.
Leve toi et vange se que tu a perdu, seul ainci tu acciérira la paix, du moins, dans ton coeur.

Les flammes continuère et bientot le batiment entier pris feu.

Herms tendi la main à la serveuse.
Vien allons ailleur ne te fais pas plus de mal que nesesaire.
Ton amie est morte ainci que toute les personnes presante dans cette auberge a par nous trois. Et sa tu ne le changera pas.
Il faut regardé vers l'avenir. Il te reste une vie a vivre aprés cela, mais il te faut l'accepté et je sais trop bien quel est la difficulté.

Elle aura forte expliquation a me donné mais cela sa attendra, elle n'est pas abituée a voir du sang... je me souvien ... mon père... Ce n'est pas l'heure d'y penser...

N'y a t'il rien d'autre que du sang et des larmes en se bas monde?

Erora et ses deux sbires s'étaient téléportés un peu plus loin. Ils allaient lancer une autre attaque en profitant de l'effet de surprise. Mais un homme encapuchonné était là, à les attendre.

Ephraim : Erora je suppose ? Vous allez emmener vos sbires loin d'ici et ne plus commettre aucun crime dans le secteur pour le moment.

Erora : Et qui es-tu pour me donner des ordres ?!

En seule réponse, la tueuse faillit se faire renverser par une rafale de vent suffisament forte pour être sentie à plusieurs kilomètres de distance. Erora n'était pas folle : elle perdait l'avantage de la surprise et n'était pas sûre de sortir indemne d'un combat où l'inconnu se joindrait. Elle aurait certainement beaucoup d'autres occasions d'atteindre ses objectifs. Elle partit donc pour une destination qu'elle seule connaissait.

Ephraim ne perdit pas son temps. Il se précipita vers l'endroit où il avait senti l'énergie d'Uryan. Il s'inquiétait beaucoup pour elle. Il s'étaient rencontrés plusieurs années auparavant, il s'en souvenait très bien. Leur rencontre avait été peu commune. Uryan avait, plus par réflexe que par volonté de tuer, enlevé la vie à un jeune garçon d'Assilfenn. Et, horrifiée par son crime, avait laissé sa vie entre les mains d'Ephraim en espérant de tout coeur qu'il la tuerait pour que justice soit faite. Le jeune homme n'en avait rien fait et lui avait malgré tout pardonné. Depuis le temps, un lien profond s'était tissé entre Uryan et Ephraim, si bien qu'on appelait Uryan " l'Ombre de l'Empereur d'Assilfenn ", c'est à dire la personne la plus à même de le soutenir dans le fonctionnement de l'Empire ou de prendre son trône si il était incapable de la conserver.
Ce qui inquiétait le plus Ephraim, c'était le " démon " qui habitait Uryan. Quand elle était à bout de forces, une puissance maléfique prenait possession d'elle et provoquait des dégâts le plus souvent irréparable. L'Empereur avait fini par trouver une technique de magie ancienne qui lui permettait de rendre Uryan à la normale si elle perdait le contrôle, mais il sentait qu'il n'en aurait pas besoin aujourd'hui.
Ce n'était pas du mage ou de l'épéiste dont on avait besoin aujourd'hui, c'était simplement de l'ami.

Il arriva enfin devant l'hôtel en flammes. La vue de cadavres en train de brûler lui arracha un haut-le-coeur.

Ephraim : Bon sang, offrez leur au moins des funérailles dignes !

D'un geste bref, il renforça le feu en utilisant une sorte de petite tornade, et en quelques minutes il ne resta plus rien de l'hôtel. Dans le ciel, les cendres des défunts effectuaient leur dernier pélerinage. Enfin Ephraim trouva son amie, apparemment encore sous le choc, appuyée contre la façade un batiment voisin en compagnie de deux inconnus. Qui étaient-ils ? C'était le dernier de ses soucis. Il courut jusqu'à elle et la prit dans ses bras. Car, l'espace de quelques secondes, en enflammant le batiment dévasté par la tragédie, il avait faillit croire que l'un des cadavres était celui d'Uryan. Cette dernière ne le repoussa pas, et sembla même heureuse d'avoir une épaule amie sur laquelle s'appuyer. Ephraim tourna la tête vers Herms.

Ephraim : Vous l'avez aidé n'est-ce pas ? Je ne sais pas comment vous remercier... Nous devrions aller parler plus loin. Je connais un bar où l'on ne sera pas écouté et où en plus le service est incomparable.

Ils se remirent donc à marcher lentement dans les ruelles, sans un regard derrière eux.

Encors un enemis?

Herms surpris de ce nouveau venu se presenta.

Je suis Herms, et mon compagnon est Divel, je n'ai pas aidé votre amie elle nous a cosé quelque souci et en voulant lui posé quelques questions nous nous somme attiré des ennuis.
Quand a toi tu debarque ici, tu dis etre son ami, mais la première des chose a faire serai te presenté, je n'aime pas les inconnu, ces dernier temps ils ont un facheuse tandance a m'attiré des enuis.

Sur les dernier mots il jeta un regard a Uryan.

Quand a elle elle ne nous a même pas donné son nom et nous aimerions savoir a qui nous avont a faire.
Mais actuelement je doute qu'elle veuille parlé, pour le moment allons nous reposé, ma main continue a me faire mal et la magie m'a épuisé je ne suis pas abitué a m'en servir... Mais je n'avais gère le choix.

Les villes me semblent de plus en plus agitée, je suis pas le seul qui s'attire des enuis ces dernier temps...

Herms suivi l'inconnu en attendant des reponces.

Divel regarda la blessure de Herms

Divel - Tu devrais t'inquieter de cette blessure, Dieu sais qu'elle sorte de magie elle a utiliser contre toi, peu être qu'on devras te la couper ta main.
Tu serais pas guerisseur toi par hasard, tu nous expliquera tous en chemin.

Le feu, le sang, les larmes. La situation actuelle se résumait à ces mots. Tout était à la fois vague et trop clair.

Mirabel était partie dans les flammes. Loin serait maintenant son rire et son mauvais caractère.

D'autres personnes aussi. Celles qu'elle connaissait plus ou moins. Enfin désormais cela ne serait plus le cas.

Le feu dévora entièrement le bar. Uryan le voyait mais ne réagissait toujours pas, tout comme aux questions et paroles autour d'elle. La chaleur, si proche, si attirante... Comment ne pas y resister ?

* Je n'ai plus rien à perdre. *

Un pas de plus et elle les aurait rejoint, tous. Mais le vent se mêla à cette histoire. Une odeur de rose sauvage lui collait maintenant à la peau. Impossible de ne pas le reconnaître.

*Ephraim.*

Elle en était certaine. Des voix résonnaient durement dans sa tête mais seule une franchissait sa compréhension. Rien qu'à entendre ce timbre familier, Uryan se sentait apaisée. Son empereur, celui qui avait tant fait pour elle par sa confiance et sa bonté était de nouveau près d'elle. Contre elle. La guerrière aurait pu rester éternellement au coeur de cette étreinte, mais quelque chose la contrariait. Peu à peu elle comprenait le sens des paroles de son supérieur et aussi les réponses qu'on leur donnait.

Des mots lui restèrent plus que d'autres.

Le prénom Herms suivit de Divel. Puis les mots "questions, ennuis et magie". Les premiers ne lui disaient que peu de chose, si ce n'est qu'elle les associa rapidement à des prénoms. Mais les suivants la firent réagir.

C'était pour elle des mots qui lui correspondaient parfaitement. Comme si ils suffisaient à son identité.

Uryan releva la tête juste au moment ou un autre individu parlait. Là les sens de ses paroles lui furent plus claires.

Citation :

- Tu devrais t'inquiéter de cette blessure, Dieu sait qu'elle sorte de magie elle a utilisé contre toi, peut-être qu'on devra te la couper ta main.

La jeune femme voyait rouge. Elle se fichait de la toute dernière phrase. De quel droit cet homme critiquait sa magie ? Et lui qu'avait-il fait pendant que les autres risquaient leur vie ? Pendant que Mirabel mourrait ? Rien. Absolument rien. Et pourtant il se permettait des critiques.

C'en était vraiment trop. Sa colère débordait, il fallait qu'elle s'écoule quelque part. Ou plutôt sur quelqu'un.

Il était parfait. Uryan fonça.

Arrivée près de lui et n'ayant d'autres armes ques ses poings et ses jambes, elle le frappa. Une fois, puis deux et trois. Les coups fusaient de part et d'autres. Sa rage explosait littéralement. Elle aurait pu utiliser la magie mais aveuglée par une rancune enfouie depuis trop longtemps, l'idée ne l'avait même pas effleurée.

- Tu vas payer pour tout ! Ordure !!

Hélas et comme c'était à prévoir, la guerrière blessa plus son propre corps que celui de son bouc-émissaire. Les extrémités de ses poings nerveusement serrés, saignaient. La peau étirée sous les coups jaillissant s'était ouverte, laissant la chair à vif. Quant à ses jambes, elles aussi en pâtissaient rudement. Nues sous la robe typique des serveuses, celles-ci devinrent rouges, non pas de sang mais juste des heurts répétés contre le les flancs de l'homme.

Pourtant Uryan ne cessait ce combat perdu depuis le début.

Encaissant difficilement les coups de la serveuse, Divel en eu assez.

Divel - Recule garce !

Il donna une enorme gifle à la jeune femme, ces gants en plaque d'acier lourde eu beaucoup d'effet.
Elle tomba à terre

- Explique-moi ton problème !

Il aurait dû le voir venir. Il savait pourtant qu'Uryan aurait sûrement besoin d'avoir un défouloir. Et pourtant il n'avait rien fait. Il était resté quelques secondes tétanisé en la voyant s'écorcher vive contre l'armure de l'inconnu jusqu'à ce que l'homme commette l'impardonnable. Car si il y avait quelque chose qu'Ephraim ne savait accepter, c'était qu'on frappe une femme. Et c'était encore plus inacceptable quand le coup n'était pas porté à main nue et que la femme en question était Uryan.

Il sentit une vague de chaleur monter en lui. Non, la violence ne résoudrait pas le problème. Il fallait... Respirer. Se calmer. Tout allait s'arranger.
Enfin c'est ce qu'il espérait. Mais l'insulte proférée par Divel ne cessait de se répéter dans sa tête. L'affront était trop vulgaire pour être toléré. Il attrapa l'homme par le col et le plaqua contre le batiment qui était à moins de deux mètres de lui. Sa prise était ferme, et l'effet de surprise lui avait permis de coincer l'homme. Il le fixa droit dans les yeux et parla sèchement.

Ephraim : Première règle : Ne jamais insulter ni donner d'ordres à une femme. Deuxième règle : Ne jamais lever la main sur une femme. Tâche de t'en souvenir.

Et avec le plus grand dédain il jeta le type plus loin, au grand malheur d'un autre homme qui approchait et qui se le prit en pleine face. Ephraim alla s'agenouiller près d'Uryan. Elle semblait tellement souffrir qu'Ephraim se retint durement de la soutenir ou de la prendre dans ses bras, il risquait de faire plus de mal que de bien en raison de la peau complètement à vif de la guerrière. Il se fichait royalement de ce qui se passait autour de lui, mais surveillait quand même du coin de l'oeil l'homme qui avait frappé Uryan et son compagnon.

Divel se releva, debaurdant de colère

Divel - Personne, ne m'avais fais sa, personne. Laisse moi te donner un bon conseil.
Tu ne sais pas qui je suis, tu ne sais pas d'où je vien. Si tu le savais tu n'aurais jamais fais sa. Tu as de la chance que je veux connaître votre race misérable humain.
Tâche d'être resspectuer envers moi, je vous donne la chance de sauver votre race et de sauver votre monde de mon peuple !!!
Et pouquoi elle m'a attaqué ? Hein ? Je regarder le spectacle moi je n'ai rien fait d'autre, sa fais longtemps que je n'ai plus vu un massacre pareil, j'ai adorer.
Desoler pour ton amie, mais se n'est pas une raison pour m'attaquer.
Mais pour cette fois je vous pardonne, car, sa doit être la première fois que tu dois perdre autant.

* " Ton corps souffre, c'est un fait. Mais rien n'est perdu. [...] Il suffit de le renforcer par l'esprit. " *

Les conseils de son vieux mentor revenaient du fin fond de souvenirs enfantins.

Ses mains étaient collantes par le sang coagulé de ses plaies. Ses jambes la brûlaient. Quant à son visage, le côtés gauche était comme ankylosé. Uryan tenta de parler mais sa mâchoire ne répondait plus. Elle tenta de nouveau mais cette fois c'était pire. Un craquement à lui soulever le coeur retentit. Elle ferma les yeux, sa tête heurtant le sol, soudainement accablée.

Pourtant les paroles de son éducateur lui revinrent, pleines d'espoir. Et puis il y avait Ephraim, de nouveau près d'elle. Cette chaleur réconfortante auprès de lui. Elle aurait pu s'y noyer entièrement. Il suffisait de fermer les yeux et se laisser aller, là-bas où les enfants ne meurts pas. Là où la vie est éternelle.

* Si près et loin à la fois... *

La guerrière ouvrit soudainement les yeux. Elle avait sentit une autre présence. Sa voix était calme, posée. Que faisait-il là ? Ne voyait-il pas la situation qui se déroulait sous ses yeux ?

Elle n'eut pas le temps de réfléchir plus. Ledit Divel s'était levé et commençait à rejeté de nouveau son venin. Cette fois la cible était l'empereur d'Assilfenn lui-même.

Uryan aurait pourtant préféré être insconsciente pour ne pas entendre les paroles de l'homme en armure. Selon lui, le carnage de tous les résidents du bar tenait lieu d'un spectacle. Il valait mieux être sourd que d'entendre ça et encore plus quand on insultait un empereur.

La colère n'était pas partie. Au contraire elle bouillonait devant tant d'inhumanité et d'irrespect.

* Rouaud... je suivrais vos précieux conseils ! *

Se lever parraissait le plus dur. Mais il fallait croire que la rage envers quelqu'un, tout comme l'amour, donnait des ailes à son détenteur. Une fois en position, Elle adressa un regad à Ephraim. Ne pouvant parler elle esperait tout de même qu'il comprenne ce regard qui se voulait rassurant.

* Je serais prudente... mon empereur. *

Uryan se concentra, les yeux fermés. La puissance montait. D'abord à la manière d'un verre se remplissant gouttes par gouttes, puis ce fut le soulèvement. Ses paupières se relevèrent d'un coup. Ses yeux n'était plus que des rubis brillants cerclés de noirs. Des symboles bleutés étaient aussi apparus sur son front jusqu'au dessus de ses joues rebondies par un rictus de haine. Le moment était venu.

Par sa vitesse décuplée Uryan se posta dans le dos du nouvel arrivant, la bouche collée à son oreille. Elle pu lui parler.

- Désolée, mais cette histoire ne te regarde pas.

Elle le poussa. Il se retrouva a demi allongé au sol, la tête durement plaquée contre un mur un peu éloigné du lieu du futur combat.

Sans se retourner elle parla d'une voix quasi gutturale, mais où la colère ne perçait absolument pas.

- A nous deux, vil chacal.

Le sol trembla. D'un seul coup des pics brillants tombèrent des cieux, étant tous dirigés sur le même individu ; Divel, autour duquel les mêmes symboles que ceux de Uryan se dessinèrent. L'un des pics se planta dans une de ses jambes, transperçant armure et autres protections futiles en ces circontances. Son sort de glace n'avait touché qu'un point de Divel. C'était suffisant.

Du sang se répandait par terre se mêlant à la terre encore humide des intempéries de ces derniers jours. De ce fait, sang et eau se complétaient, étant deux liquides, pour ne faire qu'un dans des teintes fluides et plus que agréables aux yeux d'Uryan.

Alors, elle se retourna enfin, montrant un visage toujours aussi serein. Ele sourait même.

- La fin serait-elle plus proche que ton ego ne le pense ? Ah, ah, ah, ah... Fini de rire !

Enfin son corps ne mouva une fois pour toutes. Ses bras se levèrent en direction du ciel, comme implorant les déesses de ce monde. Puis l'un se posa horizontalement sur le côté droit. L'autre fit de même pour le côté gauche. Enfin les deux se rejoignirent au milieu, les mains collées paume contre paume.

Un bruit sourd d'eau semblait s'approcher de toutes parts. On aurait dit que la mer se trouvait aux portes de la ruelle. Partout des clapotements se faisaient entendre. Uryan y était. Enfin ! Puis le bruit se calma comme s'éloignant. Pour enfin devenir celui d'une rivière. La puissance lui manquait. La panique venait à grands galots. La guerrière reprit le dessus, son regard s'étant posé sur Ephraim. D'une voix qui porta loin elle lui parla.

- Ne dit-on pas : " Qui sème le vent récolte la tempête " ?

C'était tout ce qu'elle pouvait lui dire. Sa concentration s'étant à peine égarée quelques secondes avait suffit à éloigner encore plus son attaque. Son regard se posa plus intensément sur sa cible. Oui, elle même savait que cela pouvait tourner mal pour elle. Mais n'était-ce pas le prix à payer pour sauver des innocents ? Dans ce cas-là de quel droit mêlait-elle directement l'empereur d'Assilfenn à ce genre d'offensive suicidaire ? Aucun. Sa décision était prise. Elle ne pouvait perdre ce temps précieux.

* Ne m'en tenez pas rigueur. Je ne pouvais prendre le risque d'attendre plus longtemps... ni de vous perdre... Je vous attendrais là-haut. *

D'immenses vagues apparurent alors. La ruelle se trouvait désormais entourée d'un piège aquatique, mais pas pour longtemps.

Dans un cri à se déchirer la gorge, Uryan abattit ses deux bras toujours collés l'un à l'autre. Contrairement à toute logique, les lieux ne furent pas immergés pour autant, seul un endroit avait été touché. Pour ceux qui avaient eu le courage de garder les yeux ouverts à ce moment un étrange spectacle s'offrait à eux. Une sorte de cercle d'eau entourait Divel, pour devenir rapidement un énomre tube tournant sur lui-même. Pour les plus observateurs, on pouvait remarquer qu'un mince file d'eau partait de ce piège et courrait sur le sol, rejoingnant directement Uryan.

Cette dernière, très concentrée, luisait de sueur. Elle tint bon encore deux minutes pour finalement s'effondrer de nouveau une fois au sol, une brume comme filtrée baignant entièrement son corps. De cette façon Uryan s'était inconsciement créee un bouclier.

L'esprit affaibli tout comme le corps, la jeune guerrière resta dans cette position.
Bientôt elle arriverait aux portes du gouffre.

Apres cette attaque, Divel resta à terre, il fesait le mort.

Penser - Je crois que je vais rester à terre, elle semble posseder une puissance inconnu, ses yeux on changer.
Mieux vos pour moi de ne pas bouger, je l'ai peut être tros fais souffrir..... En plus, avec se qu'elle ma fait à la jambe, je crois pas pouvoir me relever.
Si elle m'attaque encore une fois je me soignerais avec une des âmes de mes victimes et je la tuerais, elle est peut être tros dangeureuse pour ce monde, et si elle rentrait dans mon monde...... Et en temps qu'Empereur des Enfers, c'est mon devoir de faire tous se qui est possible pour proteger mon peuple, meme si je dois y laisser ma vie.
Le signe sur son front, se ne serais pas un signe de Tchar'zanek ? Je verais cela ce soir....

Apres cette pensée, Divel ne bougea plus, il fesait le mort.

Herms, aillant regardé le combat durant toute sa durée, saisi son arme.

Il vont s'entre-tuer!!!

Il se placa entre le corps de Divel et de Uryan, pris sont arme et la plaça sous le menton d'Ephraim.

N'y a t'il pas eu assé de sang versé comme cela?

Une auberge vien d'étre devastée, et vous ne trouvé rien d'autre a faire que de vous battre comme des chiens?

Il se tourna vers Ephraim.

Je ne vous connais pas, je ne connais pas votre ami, se combat ne nous concernai pas mais nous avons sauvé votre amie.
Et tout se qu'on y gagne est que mon ami est peut-être mort, que votre amie est elle aussi au porte de la mort. Je ne veut pas me battre vous ne connesez rien d'autre?
Si le pays en est la ce n'est en aucun cas en declanchant une guerre civil que tout va s'aranger...

Une larme coula sur sa joue.

Pourquoi je me bat? Pourquoi faire coulé du sang aussi facilement le monde ne se resume pas a sa tout de même?

Herms lacha son arme.

Si j'ai juré de vanger mon père ce n'est pas uniquement pour voir mourir des hommes. Et vous, vousn'avez aucune autre raison de vous battre?

Il alla voir si Divel etais vivant.

Il n'est pas mort, simplement inconsient.

Il se tourna vers Ephraim.

Tu veux finir la vangance de ton amie? Tue le, je ne t'en empecherais pas...

Herms alla recupéré sont arme puis parti dans une auberge proche sans dire un mot.
La violance et la guerre? C'est cela notre monde aujourd'hui?

Il s'assi et s'ecroula sur la table.

Divel leva la tete

Divel - Il a vraiment cru que j'etais inconcient ? Ah ah, il est marrant cette humain.

Divel se metta à genoux.

Divel - Deatheat !

Un homme apparus, son visage etais sombre, Divel lui coupa la jambe, il tomba par terre en hurlant. Divel posa la jambe et posa ses mains, la jambe disparut, et sa jambe etait guerris.
Divel se releva avec un sourire au coin du visage, il pris son épée, et massacra l'homme à terre.

Divel - J'adore faire sa...

Il se tourna vers l'Empereur, il s'approcha de lui et murmura.

Divel - Ton amie est peut être la menace qui détruira nos mondes, je n'ai rien contre vous, mais, essaye de faire quelque chose pour elle. Elle doit être le plus loin possible des horreurs de ce monde. Place la dans un endroit famillier et paisible pour elle, moi je vais chercher des informations sur le signe qu'elle a sur son front.
Tu dois te dire que j'ai rien à faire dans cette histoire, mais si c'est elle la menace, sa nous regarde tous.

Divel se retourna vers l'étranger, il n'avait rien d'humain lui aussi.

Divel - Toi, sa te dirais de m'accompagner ? Je dois te parler.

Divel - Vien je t'expliquerais tous sa en chemin. Aurevoir, Empereur...

Un peu plus loin.

Divel - Alors, je m'appelle Divel, l'autre qui a peté les plombs s'appelle Herms, celui que je vien de parler juste avant étais un Empereur, je ne connais pas son nom et la jeune femme non plus. Là on se dirige vers les traces de Herms, regarde, il a laissé des traces. Bon, toi comment t'appelle tu ? Tu est quoi en faite ? Tu n'est pas un humain, sa se vois au premier regard, sans vouloir t'insulter.

Divel regarda Mikau.

Divel - Un rêve ? Etrange tous ces rêves, c'est étrange que je ne veux pas te massacrer pour ton imprudence a venir pendant un combat de groupe, sa doit être un nouveau sentiment.... Bon alors tu sais que je vien du Crépuscule ?
C'est presque sa, je vien des Enfers, je fesais de guerre contre le Crepuscule mais maintenant nous somme alliés, bon vu que ton rêve ta presque indiquer toute mon identité, je vais te la reveler.
Je suis l'Empereur des Enfers, et je suis venu dans votre monde pour exterminer une menace.

Divel - Garde le, je la connais, les habitant du Crépuscule nous on appris beaucoup de chose, mais nous aussi. Bon, les traces s'arrète à ce petit bar, entrons.

Ils entrèrent dans le bar et vient Herms allongeait sur une table.

Divel - Bon ben, on vas prendre place, on essaye de pas le reveiller, bon je te paye la tournée, tu bois quoi ?

Divel montra toute les boissons alcooliser sur le mur.