Le loup deviendra la brebis [PV avec Helrix]

La plaine d’Hurule est un endroit magnifique et très long à parcourir! L’on peut passer de la Vallée de Gérudo à presque n’importe quel lieu. La plaine est un endroit qui mène presque partout si l’on connaît ses endroits cachés et si on n’ait habille à les trouvés. C’est sur cette plaine qu’on entendit de pas de course. Son respire s’accélère mais sa course ressemble à quelqu’un qui flotte, tellement son corps est léger. Ses cheveux roux patines dans le vent ainsi que ses vêtements qui se collent contre son corps de femme. Elle jette un coup d’œil vers l’arrière, rapidement puis retourne son regarde. Elle arrive enfin ou l’un arbre puis sort un grappin. Toujours en courant, elle pique le grappin dans une des branches de l’arbre et y monte. Puis maintenant, elle ne bouge plus et se dissimule parmi les feuilles.

Trois hommes arrivent donc vers l’arbre et s’arrêtent à son pied. Ils regardent à gauche puis à droite essayant de voir ou la femme était partie. La femme de Gérudo arrête un moment son respire, contrôlant extrêmement bien sa respiration. Un des hommes fini par regarder en l’air et c’est à ce moment que la femme descend avec son grappin, agrippe l’homme puis remonte en quelque seconde (toujours à l’aide de son grappin). Elle bloque alors la respiration de celui-ci, avec son bras.

-Partez tout de suite… sinon

La voix entendue fut froide et neutre. Les deux hommes quittèrent ne voulant pas que leur ami soit blesser. Quand les hommes furent assez loin, elle lâcha le troisième qui tomba sur le sol. Avec l’équilibre d’un chat, la femme sauta en bas de l’arbre et envoya un regard menaçant à l’homme. Elle pointa avec le grappin l’homme pour ne pas qu’il bouge et sortie son couteau de cérémonie de son enveloppe de cuir. L’homme était terrifier et il voyait la mort arrivé, très rapidement. Céleste approcha le couteau de la gorge de l’homme, puis elle mit son visage à quelque pouce de son martyr. Ses yeux bougeaient en même temps que ses lèvres, traduisant exactement ça penser.

-Devrais-je te tuer pour montré l’exemple?

Elle pointait son couteau dans le cou de l’homme, comme si c’était presque jouissif de voir sa peur dans ses yeux. Puis soudain, un bruit de pas vint à son oreille. Elle leva alors la main et poussa violemment la tête de l’homme contre l’arbre.

-Toi, tu ne bouges pas!

L’homme semblait un peu sonné et le coup que l’écorce lui avait porté avait fait légèrement saigner à l’intérieur de sa bouche. La femme de Gérudo se leva et tourna le corps pour ne plus être de dos à celui qui s’approchait d’elle. Elle resta alors sur la défensive, essayant de ne pas tourner le dos n’y à l’homme n’y à l’autre. Puis soudain, elle posa les yeux sur un étrange être. Il avait un bandeau sur les yeux. Elle reconnut que cette méthode avait bien avantage à développé un ouie de combat parfais et qu’un jour, à son tour, elle devrait l’essayer, comme les véritables guerriers de sa tribu. Mais les mots sortant de la bouche de ce petit imbécile fit rager la femme fier. Elle serra les poings puis prit un grand respire. Elle regardait l’homme, son visage perdu dans cette rage qui semblait la guidé. Puis elle serra tellement fort son couteau de cérémonie qu’elle commença à avoir le bras légèrement engourdi.

-Tout homme est barbare, tu devrais le savoir… Tes mots sont barbares!

Céleste dit ce mot de manière sec et droit. Tant quelle ne sait pas ce que vaut son adversaire, elle n’essayera pas de le vaincre. Mais le ton provocateur que celui-ci utilise lui fait penser au genre d’enfant naïf qui croit sauvé le monde. Céleste penche son corps, finit par prendre une roche sur le sol et le tire en arrière de l’homme, pour en voir sa réaction et tout ses gestes sont très doux, pour évité le plus possible de se faire entendre.