Poème pour Alexandre
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| Il est extrêmement tard mais en fait il est très tôt Les oiseaux chantent déjà avec l'aube Les étoiles de bleu clair et de blanc se voileront bientôt, Tirant la nuit sur une autre partie du globe
Nos messages furtifs dans la pénombre Transpirent de beauté et de tendresse, Tirant nos esprits loin des décombres, Loin des histoires d'amours emplies de tristesses
Notre histoire s'inscrit dans les archives technologiques Comme la musique que tu crée sur un rythme tectonique Comme la poésie que je dessine sur un cahier trilogique Nous sommes l'un pour l'autre notre conte de fée unique
Veut tu bien être mon prince charmant ? Arrive à la course sur ton cheval blanc, Prend moi dans tes bras jusqu'à la fin des temps Récite moi ton bonheur débordant
Epelle-moi le mot que je ressent Susurre-moi dans l'oreille que tu es fier comme un paon D'être à mes côtés même si mon esprit de toi dépend Car j'ai besoin de ta tendresse, mon cher conquérant
Oui, car tu as sut découvrir le jardin de mon cœur Tu as sut te rapprocher de celui-ci sans erreurs Non, aucunes car tu as sut détourner les leurs Tu te tiens à mes côtés et je nage dans le bonheur
Tes promesses sembles trop belles pour être vraies Mais je veut y croire car tu sembles, pour moi, être fait Je ne touche plus le sol depuis que tu bourre ma taie De rêves incroyables auxquels toujours je veillerais
Oui, nous sommes tout deux artistes Toi qui utilise le rythme à l'improviste Moi qui gribouille des mots irréalistes Nous, tout deux des anticonformistes
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Le soleil est déjà levé, ses couleurs peignent la nuit
Je dois aller dormir, même si je te parlerais tout ma vie
Mes yeux se ferment lentement mais je suis alanguie
Je veut te revoir, ne plus être par le temps éconduis
Je te donne rendez vous demain soir, j'en ai envie
Te dire en boucle jusqu'à l'infinie
À quel point de mon âme j'ai envie
De murmurer à ton oreille les mots que je traduit
Depuis longtemps je n'ai pas la force de te l'avouer
De par se poème j'essaye de m'exprimer
Ne me repousse pas, n'essaye même pas d'y penser
Car je ne le dirais qu'un fois et après c'est terminer
Oui, je serais en milles morceaux éparpillés
Si tu me repousse j'aurais le cœur briser
Et je n'aurais pas la force de te le répéter
À quel point mon cœur peut t'aimer
Confessions d'un Coeur Brisé
Un jour nous nous réveillons milliardaires Le soir nous sommes six pieds sous terre Pas besoin de beaucoup de millénaires Pour franchir cette mince frontière Passer de l'ombre à la lumière Ou, bien à l'opposé de ses contraires, Ne juste pas lancer la pierre, Rester à l'abris de nos pairs, Loin de tout les cimetières. Mais pas tous aiment être solitaire...
Sortir dans les rues c'est ouvrir son âme au pire, Soit ne jamais connaître l'amour et souffrir Ou trop la connaitre et faire de ses corps son empire, Son seul salut devenant ses femmes qui soupirent.
Mais quand l'amour serat passé, Que restera de cette sensation abandonnée, Tel un lointain souvenir effacé, Brûlé, déchiré, brisé, abusé ?
Le chemin est-il déjà tout écrit ? La fatalité est-elle déjà en vie ? Tel un fruit empoisonné et pourri, Notre destin est-il tout déjà décrit ? Mais lorsque le glas sonnera, qui ? Qui viendra te prendre à moi, chéri ? |
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Tu me dit que tu es immortel mais l'est-tu vraiment ?
Tous un jour oublient, même les plus beaux moments.
La mémoire s'effrite et s'amenuise au cour du temps,
Personne n'est immortel, pas très longtemps.
Tous un jour s'éteindront tels la brise du printemps
Tous un jour nous seront remplacer par un coup de vent
Ce jour la, même nos écrits laissé ne traverseront le temps
Bien sûr, on se rappellera peut-être de toi avec tes terreur
Mais sache ce qui reste plus longtemps sont tes erreurs
Moi, je saurai outrepasser ce détail qui fait peur
Je percerai la glace de ton cœur remplis de malheur
Je poserai ma main sur ce cœur battant avec fureur
Peut importe ce qui nous sépare, je serait la douceur
Mais, je t'en prie, ne part pas, reste pour l'heure...
Laisse-moi contempler ton corps,
Laisse-moi dormir contre ton cœur.
Je me réveillerai milliardaire grâce à toi
Mais je serai six pieds sous terre loin, si loin de mon roi,
Pas besoin de plusieurs millénaire pour trouver mon toit,
Franchir cette mince frontière et trouver ma voie,
Passer de l'ombre à la lumière, se foutre de la loi,
Ou bien, à l'opposé de ses contraires, je te ferai mon choix,
Ne juste pas lancer la pierre, ne pas pointer du doigt.
Rester à l'arbrit de nos pairs, enlacé dans notre foi.
Loin de tout les cimetières, loin de toutes ses croix.
Mais pas tous aiment être solitairent. C'est pour ça que je t'ai toi.
Car La Vie N'Est Pas Toujours Rose
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Deux heures du matin Aucun espoir en demain Des souvenirs aériens Au cœur un chagrin
Pourtant je devrai être contente pour lui Il est en couple mais avec quelqu'un qu'il a fuit Cet homme qui m'a tellement fait mal depuis Il est partis mais mon âme garde un souvenir moisi
Une multitude de questions se bousculent dans ma tête Oui, non, peut-être et pourquoi sont invités à la fête Tant de non-réponse à satisfaire depuis nos ancêtres Tant de mystères abîmés sur les crêtes
Découvrir en choc, apprendre de soi ou se le faire dire ? Déchirer en deux cet amour qui pourrait terminer pire ? Que faire, je me le demande. Le laisser souffrir ? Lui qui m'a vu, de ses bras et de ses yeux, grandir ?
Je ne puis répondre à mes propres questions Je ne puis résoudre la famine de mes actions Mais puis-je taire mes pensées, ces abominations ? Ou tomberai-je de nouveau dans l'addiction...
L'hiver laisse tombé sa blanche neige Le printemps amène ses fleurs fraîches L'été souffle sur nous son chaud sortilège L'automne nous ramène le collège
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Combien de saisons encore s'éteindront,
Combien de tempêtes nous traverserons,
Combien de colères nous dissoudrons
Avant que tu ne réalise que ils s'en irons
Les gens sont la pour une raison, une saison ou la vie
Ne laisse pas ceux d'un raison te rendre affaibli
Ne laisse pas ceux d'une saison te rendre surpris
Laisse ceux d'une vie s'occuper de ramasser les morceaux
Que tu laisseras derrière ton cœur anéanti.
Partis Sans Faire de Bruits
A toutes les foits qu'elle vien, Tu remet ton masque de comédien Elle dit ne pas se sentir bien, Elle garde contre elle mon musicien
Elle joue une scène pour te prendre à mes bras Elle te déballe sans arrêt son charabia "La nuit est encore jeune, elle n'est pas la, Vien dans mon lit, vien dans mes draps, Personne ne sera au courant, je ne le dirai pas" Sera tu résister à l'appel de la geisha ? Vos corps enlacées écrivent la fin de notre saga
Nous avions pourtant un beau futur prévu Puis elle est arrivée dans ta vie, rien n'était prévu Elle t'a arracher à moi de par son corps nu Mais que pouvais-je faire face à cette inconnue ? Elle était la, t'étreignant de sa peau entretenue Elle à réussi à faire ce que je n'ai pas su, Te garder à mes côtés avant qu'une autre te prenne à mon insu
Certaines personnes peuvent croire à une trahison Mais d'autres voyant un cruel abandon Tu étais le seule à faire tomber mes résolutions Mais elle est venue te prendre à moi, quelle dérision Mais pourquoi est-elle venue te chercher toi, mon blanc rayon Pourquoi la mort t'a emportée malgré toutes les supplications.
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Mon Ange
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J'aurais dût me méfier, tu étais trop beau Je n'ai pas fait attention, tu étais trop gentil Je n'ai pas fait attention, tu était trop gentil Je n'avais que toi en tête
Je n'avais que l'Amour dans mon crâne J'ai délésé les autres, j'ai renier les miens Juste pour être avec mon ange Je ne veut pas que tu t'envoles
Je ne veut pas que tu parte Mais tu es comme les autres Tu as joué avec moi Tu m'es revenus pour mieu me détruire
Tu as été mon ange purificateur Et tu t'es halé de ténèbres, Tu t'es transformé en ange déchut |
Blessure
Une blessure s'est apposée sur mon coeur Son poid es lourd, je ne fait que tombée Quand je le voit, la blessure se réouvre Je lui ai offert mon coeur
Et il m'a poignardé Il m'a jeté, délésé et brisé le vent me ramène son visage Je passe mon chemin, la tête haute
J'ai relevé les épaules J'ai effacé ma peine Et tu m'as redemandé J'ai refusé et t'ai expliqué Qu'un coeur ne peut mourir deux foits
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Morte
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Le ciel s'es illuminée, La vie est sans pitié Alors que le vent t'as emporté, Te refusant un dernier bais., Laissant derrière tes rêves brisé Le soleil avait tellement brillé La vie t'avais laissé qu'une journée
Il reste de toi que poussière, Cette amie qui m'était chère De toi ne subsiste que grains de lumière, Les nuages enfin s'Assombrissent L'orage approche et puisque Tu as disparut de la terre Tu t'est envolé vers d'Autres sphères Ton histoire ancré dans nos mémoires Tu subsiste dans nos espoirs
À ma chère confidante Démolie par son départ Toi, à la joie si grande, Tu t'es détruite, laissée sans espoirs, Sans même de dernier au revoir. |
Pensée de Janvier
La vie est comme une pièce de théâtre L'attente du levé du rideau est tangible Tous attendent patiemment devant l'âtre Puis une cloche sonne, bien audible
Tous se ruent à leurs place, Les acteurs montent sur les planches Les applaudissements sont éparses Le rideau laisse place à un vide immense
Les actes défilants, le temps passant Les artistes incarnant les drames, Les spectateurs les suivants Les projecteurs éclairant les larmes
Puis, le point culminant arrivé Le méchant et le gentil dévoilé, Les cœurs résonnant de nouveau à l'unisson L'eau coulant à nouveau sous les ponts
Le sang éclate tel une pluie poisseuse Le carnage étrangle les acteurs Douce de lumière, entrée jardin de la faucheuse Black-out sur scène, dernière peur
Dernier salut, remerciement, Fermeture des lumières en dégradé Retour pour les plus importants Chute du rideau sur les roses fanées
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