Que l'aventure commence...

Invité

Après avoir quitté les terres Gerudo, Asaya se mit en route pour Parcourir les vastes terres d'Hyrule. En voyant les beaux paysages le jeune homme fut content de la décision qu'il avait prise, celui de quitter son territoire afin de voyager à travers les terres d'Hyrule et de découvrir les réponses aux questions qu'il se pose.

-Regarde Pionu, quand je pense que j'aurais ne jamais pu voir ces beaux décors.

En effet depuis qui vit chez les Gerudo, le seul aperçu qu'il a eu ce sont du sable et en encore du sable comme paysages. Il était étonné de voir autant d'herbe dans les plaines d'Hyrule, car les chevaux sont souvent nourris avec du foin et de la paille achetée et ramené dans la vallée en provenance du Ranch Lonlon.La chaleur du soleil devenait de plus en plus chaud, les espaces d'ombres se fessaient rare à cette heure de la journée. Asaya chercha donc dans son sac de quoi boire et se rendit compte qu'il avait oublié ses vivres sur la table de sa demeure.

-AHhhhhhhhhhhhhhh ! Mais quel abruti je fais ! J'ai totalement oublié de prendre de quoi boire et manger.

Le jeune homme réfléchis à ce qu'il pourrait faire, retourné dans la vallée Gerudo serais trop long et trop fatigant pour son cheval, vaut mieux trouver un endroit où ils pourront boire et manger. Un peu plus long de là où il se trouve, Asaya aperçois une jolie petite rivière et quelques Arbres à côté, de quoi se mettre au frais, de pouvoir se rafraîchir et sûrement pêché quelques poissons pour ce rassasier.

Avec un temps comme celui-ci, les poissons ne voulaient pas mordre à l'hameçon et ainsi le jeune garçon s'endormit contre l'arbre. 30 minutes plus tard, le jeune homme se réveilla et constata qu'il n'avait toujours pas fait de prise. Il regarda le ciel et dit.

-Ah ! Pionu, c'est une belle journée n'est-ce pas ?

-Mais le problème est que s'est stupide poissons ne morde pas, j'ai faim moi. T-T. C'est dur de résister à cette chaleur le ventre vide.

Regardant son cheval mangé il lui dit.

-Toi, tu as de la chance, l'herbe pullule sur le sol contrairement aux poissons. *dit-il d'un air désespéré*