Hoy, aujourd'hui présentation rapide d'un manga amateur qu'on ma présenté récemment et pour lequel j'ai eut un véritable coup de coeur.
Onani Master Kurosawa(Onanisme ; Ensemble des pratiques, notamment des pratiques auto-érotiques, utilisées pour parvenir à l'orgasme en dehors du coït normal.)
Ceci tient normalement sur deux page, mais bon, j'aime tellement le contraste entre la case du haut et celle du bas...
Voilà, en vous résumant avec cette image les 3 premières page du manga, je crois que vous avez du comprendre le trip. Kurosawa (me demandez pas les prénoms) est un collégien lambda comme vous et moi. Il est associal et reste à l'écart des autres qu'il considère généralement comme stupide. Sa narration détaché avec des commentaires pour lui même peut rappeler Kyon (Haruhi), mais là ou Kyon semble blazé, lui est hautain et méprisant. Vous le verrez souvent en classe, la tête dans la main, en train de regarder autour de lui combien ses camarades sont débiles de se réjouir pour telles ou telles futilités.
Bon, ça pourrait s'arrêter à ça. Un héros méprisant, mais qui reste encore dans les standards. S'il sort de celui "Je suis cool et je vis ma vie" ou "le raté a qui tout réussi", il est encore dans le "bad boy ténébreux", plus ou moins. Alors allons plus loin. La particularité de Kurosawa? Son "devoir journalier", ainsi qu'il le nomme. À savoir, après les cours, et ce systématiquement, monter dans les toilettes des filles inutilisés du 3eme étage, et se masturber... Voilà, c'est dit. Kurosawa ne manque
jamais à son devoir. Et tout est parfaitement orchestré pour que personne ne le pince.
Seulement voilà. Fin d'année, il se fait pincer. Et là, même si vous vous en rendez compte que quelque chapitre plus tard, l'histoire démarre vraiment.
Kitahara, celle qui était dans le couloir au moment ou Kurosawa s'en allait après son devoir journalier.
Sauf que pour le moment, fin de l'année, vacance etc etc. Nouvelle année commence. Kurosawa ne prête pas attention à celle qui l'a eut, l'urgence la plus vitale (on est ici au chap 2) est de "savoir la qualité des nanas de cette classe". Et de la qualité, il va y en avoir. Surtout qu'il se trouvera assis juste derrière... Kitahara! Et là il va se souvenir, et elle aussi, même si elle ne sait pas encore ce qu'il fait dans les WC. Suite a quelques séquences de vie de classe, Kurosawa va se rendre compte que Kitahara est martyrisé par d'autre filles qui pètent plus haut que leur cul. Dans une pulsion de justicier sadique, il va donc les punir "à sa manière". Et sa manière...
Ça doit sacrément dégouter, ça.
Voilà, le décor est planté. Maintenant je vous rassure, l'histoire ne parle pas que de branlette, loin de là, ça m'aurait pas marqué sinon. Ho, il y aura d'autre punition, Kurosawa va beaucoup fantasmer dans ces toilettes, et il va aussi se lier d'amitié avec quelques personne de sa classe.
Même si c'est pas de gaité de cœur...
D'ailleurs, je veux pas vous spoiler mais vous assisterez à une véritable métamorphose du héros qui se laisse totalement envahir par des sentiments nouveaux et inconnus qu'il ne maitrise évidemment pas. L'amour, la jalousie, la colère, l'absence totale d'émotion, la peine et le regret... Bref, le personnage vous semblera pendant un moment hautain et méprisant, détestable et invincible avant d'être vulnérable et touchant et finalement carrément appréciable. Une courbe qui va malgré tout assez vite, l'histoire tenant quand même sur seulement 31 chapitre.
Maintenant encore 2 détails. On a beau parler d'un branleur, il n'y a
aucune scène de sexe. Vous ne verrez jamais un sein ou un sexe ou quoi que ce soit d'autre. C'est très très suggestif, mais ça reste parfaitement licite.
Très suggestif vous dis-je!
En outre, n'oubliez pas que l'on parle d'un manga amateur qui ne sera donc probablement jamais édité. (Et par rapport à certain truc, Onani le mériterait amplement). Notre cher mangaka ne se soucie d'aucun copiryght et place des références grosse comme des avions. Déjà dans la première image, vous avez du voir la ressemblance avec Kira, et cette ressemblance reviendra très souvent. En voici deux autres, vous en verrez ptêt d'autre qui m'ont échappé.
Quelle bande d'otaku...
Avec cette pose, j'aurai bien surnommé ce mec Le louche... *sort*
Et enfin je termine sur un personnage extrêmement attachant (qui fait pour le moment l'unanimité dans mes connaissances ayant lus Onani, d'ailleurs).
Takigawa Magister, ou la fille parfaite.
Takigawa est une fille enjouée, très sociable, belle et surtout qui ne fait aucune distinction des personnes auxquelles elles s'adressent. Les "loosers" ou les "BG" d'une classe? Elle n'en a cure et s'entend bien avec tout le monde, ce qui la rend unanimement populaire. Elle aussi vous la verrez passer par bien des émotions et vous l'entendez même raconter des confidences sur un passé plus sombre qu'il n'y parait. Et pour peu que vous soyez un peu émotif, vous vous sentirez mal pour elle, à quelque moment.
Ah, et bien sur pour finir, voilà un lien pour dl tout ça en français.
http://nonametrad.wordpress.com/chapitres/