Existence

Quatre ans ce sont écoulé depuis le combat finale contre le dieu du néant, chacun a repris sa vie mais peu on repris leur mort. Elementair s’étais isolé là où personne ne viendrait dans un but qu’il gardait secret. Explorant sans pudeur les secrets des arts les plus tabous, manipulent sans vergogne la vie et la mort de ceux qu’il arrache au repos éternel, Elementair pratiquait là ces sombre recherche sur ce qui aurais du resté secret.

Dans une salle sombre et profondément enfoncée sous terre, il enchaînait monstruosité sur monstruosité, créent d’abominable créature par de nombreux rituel, torturée par un retour à la vie trop prématuré mais qu’il retrouvait tout aussi tôt, de la main de celui qui les créait.

Elementair : Pourquoi ne sont-il pas parfait !! Cria-t-il avec toute ça colère. Celui-ci trop lent ! Dit-il en en jetant le cadavre d’une ignoble créature dans la fausse creusé à cet effet. Celui-là trop grand. Dit-il à nouveau en jetant un autre cops. J’ai tout essayé : nécromancie, magie noirs, blanche, rouge, runique, celtique, chaotique, mortel, divine, mais c’est inutile ! Tous sa est inutile. Continua-t-il d’hurler en renversent une table où reposais tout une pille de parchemin et de livre antique. Rien n’ait à la hauteur de mes recherches, comme si j’étais destiné à toujours échouer !! Attrapent une fiole contenant une flamme qui brûlait sans aucun combustible, il la lancent dans la fosse qui s’embrassa presque immédiatement suivi de crie effroyable provenant de créature qui avais survécu à leur blessure.

Reprenant son calme, Elementair alla redresser la table et s’assis sur une chaise à coté. Replongeant dans ces pensés, une phrase lui revint en tète : "Tu joue avec des force qui te dépasse", il se mit à rire.

Elementair : Je ne joue pas : mes recherches sont on ne peut plus sérieuse et si ces force me dépassaient je serait mort depuis bien longtemps. Non, la vérité est que je possède toute les connaissance sur les forces qui régisse ce monde et c’est là qu’ait le problème : elle ce limite à sa. Rien ne fait mention de force qui régisse ces forces qui nous régisse. En tout cas pas dans ce monde : je doit orienté mes recherche vers une énergie inaccessible ou impossible voir mythologique comme…l’énergie quantique ! Si cet légende que les dieu ce raconte est vrai alors je serais le premier à faire des recherche sur l’énergie la plus puissante qui existe, si tant ai que je puisse me procuré des donnés en nombre suffisantes ; enfin un défi à ma hauteur. Ce relevant de sa chaise puis ce dirigeant vers la sortie, Elementair ne cessait de pensé à la façon d’ont il pourrait procédé pour récupérer assez d’information mais aucune solution ne semblait plus facile qu’une autre il n’avait donc rien à perdre mais bien tout à gagné. Ce sera divertissent.

Invité

Tac. Tac. Tac. Les bruits de pas de bottes à talons. Une femme avait réussi à pénetrer dans la pièce soumis à l'isolement le plus total. Aphrodite n'aimait pas l'isolement. Par contre, Aphrodite aimait bien faire chier les gens, et il était certain que, pour une raison ou une autre, l'homme à la vue de la délicate diablesse voulait être seul.

Oh, c'était donc pour ça qu'il y avait autant d'obstacles à l'aller.

Mais franchement, en voyant le spectacle qu'elle avait sous les yeux, Aphrodite se disait qu'elle avait vraiment bien fait de venir. Toute cette violence, ces cadavres, ces cris de désespoir... La lueur malsaine qui régnait habituellement dans les yeux de l'enfant de Satan s'était décuplé. Elle avait même remué sa queue noire de contentement pendant une ou deux minutes, tapie derrière le mur de l'entrée. Quel spectacle plaisant que celui-là... Encore meilleur de la part d'un bel homme.

Et quand le gus se mit à parler seul, Aphrodite confirma à elle-même que ça allait être très amusant. Il avait l'air d'être aussi perverti qu'elle... Et Dieu, ou plutôt Satan, savait a quel point sa fille était pervertie. Mais ce n'était qu'une première impression théologique. A présent, il fallait passer à la pratique.

Lorsqu'il sortit, Aphrodite en profita pour se dégager de l'ombre du mur, et s'avança en observant la pièce, et plus longuement la fosse ou périssaient les cadavres.

Tac. Tac. Tac.

Alors, comme ça, il cherchait l'énergie la plus puissante qui soit ?

* Mmmh, ce mec a bien de la chance... *

Aphrodite se réserva quelques instants de plus devant la fosse, puis elle sortit sans aucune discrétion. Et arrivé presque derrière Elementair, elle lança d'une voix douce :

" Tes travaux ont été des plus divertissants pour moi, je t'en remercie du fond du coeur, bien que je n'en ai pas un. "

La demoiselle continua à avancer, de sa démarche dévergondée qu'elle utilisait lorsqu'un mâle était dans les parages.

Tac. Tac. Tac.

" Tu doit être le type le plus chanceux de cette misérable Terre, mon gars. "

Sans ajouter d'explications, la succube se retourna, posant ses mains sur ses hanches, son habituel sourire sadique n'ayant pas quitté son pâle visage.

Elementair était assis dos à l’intruse, pourtant il savait parfaitement à quoi il avait affaire.

Elementair : La chance ma abandonné il y a de cela des année mais je suis ravi que le spectacle t’ai plu bien qu’il m’ai été personnellement inutile. Dit-il avec beaucoup d’indifférence.

Malgré la présence de cette personne, il continuait de spéculer divers procédé morbide qui semblait tout à fait au goût de la succube mais fini par trouver quelque chose d’intéressent. Il se leva et ce dirigea vers une table où était attaché une personne anesthésier, elle avait été soigneusement ouvert de telle façon à ce qu’elle soit toujours en vie tout en permettent une vision parfaite des organe interne. Elementair arracha les organes un à un dans des cries effroyables de la victime qui se réveilla à l’instant même, un sourire sadique ce glissa sur le visage d’Elementair en même temps qu’il glissa ces quelque mots à l’oreille de la victime.

Elementair : La mort serait trop douce pour toi, je te garde pour ma prochaine expérience.

Il termina en arrachant une partie de la colonne vertébrale, chose à lequel la victime n’aurai pas survécu si Elemetnair n’avis pas déversé le contenu d’une bouteille : un parasite, il se glissa dans le corps et s’arrangea pour que, malgré les blessures subie, la victime demeure en vie.

En observent l’objet qu’il avait récupéré, il éclata d’un rire étonnamment noir. Il s’approcha d’un cercle gravé au sol au centre du quel ce trouvais une paire de gantelet couvert de symbole et de ligne inventé par Elementair. Il les pries, les enfilas, et posa le morceau de colonne vertébral au centre du cercle. Puis il écarta les bras, ce concentra et les lignes des gantelets commencèrent à s’illuminer d’une lueur sombre et malsaine ; le même événement se produisit à l’intérieur du cercle, absorbant le morceau qu’Elementair y avait mit. Seize seconde plus tard une créature sortie de la lueur du cercle comme si ce n’était que de l’eau, s’appuyant sur les bords pour sortir, elle était grande et extrêmement fine, un monstre métallique semblable à un squelette dont les mains comportais des doigts quatre fois plus long que la normale et étonnement aiguisé.

Elementair : Sa marche ! Finalement le procédé d’activation étai étonnement simple. Il se tourna vers la succube. Dit moi : sa te dirait de me servir de sujet pour ma prochaine expérience ?

Invité

Une personne ouverte sur une table, apparemment endormi et que son propriétaire avait bien pris soin de laisser poireauter avant sa dissection à vif. Wow, super spectacle. Appuyé contre un mur proche, la succube se décida à observer le spectacle avec plaisir. Car regarder des cadavres se faire jeter du haut d'une fosse, c'était une chose. Mais regarder un seul homme encore vivant souffrir sans mourir, c'était bien autre chose. Bon, c'était encore mieux de le faire souffrir soi-même, mais cet homme ne permettrait sûrement pas à une inconnue d'accomplir cette tâche... dommage.

Aphrodite ne regretta pas d'avoir ce qu'elle avait sous les yeux. A chaque organe arrachée et à chaque giclée de sang, un rictus de plaisir se dessinait sur son visage. La victime se tourna un instant vers la jeune fille, avec des yeux implorants. Aphrodite lui aurait volontiers donné quelques coups d'épée, si il lui avait servi d'esclave parmis tant d'autres. Elle ne supportait pas ces yeux-là. Non pas qu'ils lui faisaient pitié, mais ils montraient que la victime n'était plus en etat de se plaindre,e t ça, c'était sa plus grave erreur. Il n'y avait rien de pire qu'un corps vivant qui ne bougeait plus sous l'emprise de la souffrance. Pas intéressant. Pas marrant.

Mais celui-là, l'homme s'était débrouillé pour le maintenir en vie à l'aide du contenu d'un flacon, et c'était merveilleux.

En voyant la victime se trémousser, les yeux exorbités et la bave aux lèvres, une souffrance vaine, Aphrodite ne put s'empêcher d'éclater de rire avec le meurtrier. Mais son rire à elle n'était pas vraiment noir : c'était plus un rire d'enfant, un rire aigu, glacé, cruel. Elle pleurait tellement ça la faisait rire, et elle riait encore quand Elementair commença à enfiler des gantelets.

Se calmant peu à peu, Aphrodite regarda à nouveau l'expérimentateur avec un certain interêt. Allait-il recommencer ? Mais non, il ne faisait que traîner autour d'un cercle tracé au sol. Visiblement déçu, elle continua à observer tout de même le manège, et au bout d'un moment, un résultat apparut : un espèce de monstre métallique qui plut beaucoup à Aphrodite, par rapport au look.

Elle se tourna ensuite vers Elementair qui avait terminé ses manipulations pour lui lancer :

" Hé, t'es pas le premier péquenot de la cité à ce que je vois, toi... "

La succube posa sa main sur ses lèvres pour masquer un sourire. Il était bien plus intriguant que la plupart des personnes qu'elle avait pu voir sur cette stupide planète. Il avait sûrement encore bien des choses à faire.... Des choses très intéressantes. Elle n'en ferait pas un esclave, les esclaves étaient faibles, sans interêt, et lui, il avait l'air fort.

Seulement, quand il lui proposa d'être la prochaine victime de ses expériences, la demoiselle s'indigna. Bon, c'est sûr, avec ses grandes ailes et ses cornes, elle serait un sujet intéressant, mais elle n'avait pas la touche d'une sujette d'expérience... Le faire sur les autres, oui, mais pas sur elle. S'aurait été dégradant pour son image de diablesse.

" Oh, ne dis pas des choses aussi stupides. Je ne joue pas la victime, j'attribue le rôle. "

La succube s'approcha de la table ou reposaient encore la précedente victime, haletante. Ne se gênant pas, elle plongea sa main dans les entrailles encores chaudes du corps, et farfouilla en continuant de parler :

" J'ai beaucoup aimé la façon dont tu as torturé celui-ci. Tu as l'air d'avoir l'habitude... comme ça on est deux. "

Sa main s'arrêta sur la paroi de la poitrine, et elle retira ses doigts, pour les mettre dans sa bouche. Le sang avait un goût qui lui avait toujours plu.

" Tu m'as l'air amusant, mon cher humain. Si je n'avais pas une certaine expérience dans la torture, je pourrais presque dire que je t'admire. "

Toujours avec ses doigts dans sa bouche, elle fit fleurir un sourire qui en disait long sur son expérience sur ses lèvres. Comme ça, il comprendrait certainnement qu'il n'avait n'importe qui devant lui.

Elementair : Humain ? Il regardait la démone bizarrement, un regard non propre à un humain. Tout à l’heur, ce que je t’ai dit, ce n’était qu’une petite plaisanterie mais le faite que tu me traites d’humain, une simple créature inférieur, nous amène à égalité.

Très vite, Elementair reporta son attention sur sa nouvelle création mais continua de parler.

Elementair : Très intéressent, cette création. Et toi également. Dit-il en jetant un regard vers la succube …finalement ce n’est pas pour rien que je t’ai laissé venir jusque ici. Rare sont ceux qui survivent après avoir fouiné dans mes affaires, en particulier celui là, et son équipe. De simple archéologue, ils vont vraiment trop loin…Ne me l’abîme pas trop : j’ai besoin de lui comme émissaire pour transmettre un message. Il afficha un sourire mauvais, preuve qu’il prévoyait plus qu’un simple message.
Il re-concentra son attention encore quelque seconde sur sa création avant de s’exclamé subitement,

Elementair : Mais j’en oubli toute mes bonnes manière, mille excuse milady, laissé moi me présenter. Il se tourna vers son invitée et commença à se présenté en accompagnent ces parole d’une pseudo salutation qu’il devait avoir inventé mais qui ne manquait pas de charme. Je suis Elementair, unique scientifique de l’énergie que cette terre ait portée. Et vous milady ?

Invité

Pas humain, lui ? Il en avait pourtant l'apparence. Mais, en y réflechissant bien, un humain pouvait-il vraiment avoir autant de sadisme sur un simple sourire ? De plus, un simple humain l'aurait déjà sûrement abordé pour une conversaion un peu plus intime. Mais ce type-là l'avait à peine regardé.

Aphrodite n'avait pas le temps d'être vexé. Elle sentait déjà une bonne entente entre elle et cet espèce de sadique qui se disait non-humain.

Il avait reporté son attention sur la créature, marmonnant qu'elle était très intéressante, ainsi qu'elle-même. Puis il lui expliqua le prochain rôle de cette nouvelle création : transmettre un message. La succube l'écoutait en se couchant avec paresse sur un petit bout de la table sur laquelle était toujours attaché le mourant, les yeux mi-clos.

Enfin, il finit par lui faire une présentation très polie, et en béton. Bon, elle devait être prédestiné à n'importe quelle femme, mais la démone prit quand même la peine de se lever, et de se présenter à son tour, en battant des ailes pour les débarasser de la poussière de la table.

" Je suis la seule et unique fille du Diable que la Terre ait jamais porté. Mes esclaves m'appellent Maîtresse, et mon Père m'appelle Femelle, mais toi, tu peux m'appelle Aphrodite... "

La demoiselle acheva ses présentations en passant une main dans ses longs cheveux blonds d'un air dégagé. Elle pensa ensuite à quelque chose et reporta son attention sur Elementair, reprenant un sourire.

" Je parie que tu pensais que mes cornes et mes ailes étaient fausses. Non ? "

– Voila une idée bien peu scientifique.

Il rie doucement avant de reprendre son sérieux.

– Aphodite, un nom à la hauteur de sa porteuse ; mais trêve de flatterie. Je me sens de bonne humeur alors pourquoi ne pas sceller cette nouvelle amitié par un cadeau.

Elemenair s’approcha d’une étagère encastré au mur quant son attention fut attiré par l’apparition de trois sphère coloré dans un réceptacle de cristal. Il s’en approcha et ce saisi trois sphères en les regardent une par une.

– Trois intrus ont franchi le périmètre : deux mâle identifié comme étant Abysson et Iker, une femelle nom répertorié ; application du protocole de défense 37-B 98.

Il prononça ces mots d’une intonation morne et machinale. Elementair eu un sentiment de défaite : jamais personne ne l’avais entendu, sa petite fantaisie. Une seconde personnalité créer comme une intelligence artificielle, elle n’avais que comme seule raison d’être de supervisé et analysez les situation, comme celle-ci.

– Je crains que ce cadeau ne doive attendre un moment, je dois d’abor me débrasé de quelque gêneur.

Il se dirigea vers un mur, le seul mur où ce trouvait attaché une torche, et l’arracha. Cette partie du mur s’écroula et révéla un passage secret.

– Intéressé par une partie de chasse ?

Dit-il en se tournant vers Aphrodite.